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      Ces bentos japonais sont aussi appétissants qu'esthétiques

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 23 June, 2022 - 14:03 · 1 minute

    CUISINE - Le pays du Soleil-levant ne nous a pas encore révélé toutes ses surprises culinaires . La créatrice japonaise Miki Matsuura, connue sur Instagram sous le pseudo nancychannel s’illustre sur les réseaux sociaux en créant des bentos artistiques , ces célèbres coffrets repas nippons. Elle s’est lancée en 2018 après une carrière de designer et d’illustratrice. Elle s’inspire de la culture japonaise et occidentale pour ses créations , comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessus .

    Par la suite, elle donne vie à ses réalisations dans des vidéos qu’elle poste sur les réseaux sociaux et sur son blog. Elle s’inspire de son entourage pour trouver des idées qui parlent au plus grand nombre. Ses plats font souvent référence à la pop culture ou à des personnages célèbres tels que Bruce Lee, Donald Trump ou Che Guevara. Elle reproduit aussi des couvertures de livres pour enfants dans ses bentos, notamment ceux que son enfant a pu lire.

    Parfois, elle publie de petites histoires graphiques où elle se met en scène pour accompagner ses nouvelles recettes. Depuis qu’elle a rencontré le succès, elle expose ses œuvres lors d’événements publics organisés dans des magasins, des bibliothèques ou des expositions. Elle a récemment écrit un livre de recettes où sont rassemblés 160 bentos, parmi ses meilleurs, répartis en treize catégories.

    À voir également sur Le HuffPost: Après la canicule, des chutes de grêle ont surpris par leur violence

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      L’impression 3D, c’est aussi pour les pâtisseries !

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Saturday, 18 June, 2022 - 09:00

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    Combattre l’asservissement des moules et de la gravité, c’est le combat plutôt noble de la Pâtisserie Numérique ! Cette entreprise a développé Patiss3, une imprimante 3D culinaire.

    L’impression 3D, c’est aussi pour les pâtisseries !

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      Louise Bourrat, gagnante de "Top Chef" 2022, revient sur sa victoire

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 16 June, 2022 - 15:33 · 8 minutes

    Louise Bourrat est la grande gagnante de la saison 13 de Louise Bourrat est la grande gagnante de la saison 13 de "Top Chef" sur M6

    TÉLÉVISION - Après 18 semaines de compétition, Louise Bourrat a gagné la treizième saison de Top Chef , ce mercredi 15 juin sur M6. La candidate franco-portugaise a réussi à s’imposer face à Arnaud Delvenne , sur un score de 56,19% contre 43,81%.

    La protégée d’ Hélène Darroze permet à sa cheffe de brigade de remporter le concours culinaire pour la troisième année consécutive. La jeune femme de 27 ans devient le troisième femme sacrée du concours, après Stéphanie Le Quellec (2011) et Naöelle d’Hainaut (2013).

    Après sa victoire, elle a accepté de répondre à quelques questions posées par Le HuffPost pour revenir sur les coulisses de cette finale et cette aventure hors du commun.

    Vous attendiez-vous à remporter Top Chef?

    Au tout début, absolument pas. Ça ne m’a même pas traversé l’esprit. Je pense que j’ai eu un déclic lors de ma qualification aux quarts de finale. À partir de ce moment-là, j’ai réalisé où j’étais arrivée et je me suis dit qu’avec la chance que j’avais, je pouvais aller en demies, en finale et gagner le concours. Sauf que dans ma tête, je me suis dit que c’était trop de responsabilités (rires) .

    Réalisez-vous maintenant?

    Non toujours pas, alors qu’on a les résultats depuis un mois. Je ne sais pas si c’est dû à la peur de ce qui peut arriver ensuite. Je suis peut-être encore un peu trop attachée à ma vie d’avant que je l’adore et j’ai peur qu’elle change.

    Cette finale a été compliquée pour vous à cause de votre endométriose . Heureusement vous avez pu compter sur l’aide de votre brigade mais aussi sur celle d’Arnaud.

    J’ai trouvé que c’était un geste de grande classe et je lui en suis vraiment reconnaissante. On a vraiment fait cette finale main dans la main. Ce que vous ne savez pas, c’est que la vieille au soir, Arnaud a eu des soucis de santé et je suis restée à son chevet une bonne partie de la nuit.

    Pour nous, le plus important n’était pas de gagner, mais qu’on soit présent l’un pour l’autre jusqu’au bout. J’aurais fait la même chose pour lui. Je suis vraiment très émue et très touchée par son geste. Avant de se lancer dans la finale, on s’était arrangés entre nous pour la constitution des brigades. On a tous les deux essayé qu’elle se passe du mieux possible. Le but n’était pas de mettre des bâtons dans les roues de son adversaire.

    “L’idée qu’une femme gagne dérange”

    Que représente cette victoire à vos yeux, vous qui devenez la troisième femme de l’histoire de Top Chef à remporter le concours?

    Ça s’inscrit dans la lignée de ces femmes cuisinières, artistes, exploratrices, ou encore médecins, qui réussissent dans des milieux où on ne les attend pas forcément et où elles ne sont pas forcément valorisées. Des femmes indépendantes, courageuses et passionnées.

    Ça ne doit pas être aux autres de nous dire si on en est capable ou pas. C’est à nous, en tant qu’individu, de fixer nos propres limites. Pour moi, cette victoire est avant tout symbolique. Oui on peut y arriver et oui il faut croire en ses rêves. J’espère que ça en inspirera plus d’un et plus d’une.

    Comment expliquez-vous les nombreux commentaires négatifs, parfois même sexistes, portés à votre égard sur les réseaux sociaux?

    Je n’ai pas lu tous les commentaires car j’essaye de m’en préserver même si c’est difficile. Je pense que ma personnalité est très forte et que je ne peux pas plaire à tout le monde. Mes traits de personnalité ne reflètent pas ceux qu’on attend d’une femme. On a dit de moi que j’étais arrogante, prétentieuse, pas du tout humble dans la victoire, etc. En fait, en analysant mon comportement avec celui des autres candidats garçons, on voit que je suis comme eux.

    Personnellement, je l’explique par le fait qu’on attend d’une femme qu’elle soit discrète, qu’elle parle correctement, sans mots d’argot ni de verlan, etc. On n’attend pas non plus qu’elle gagne et je pense que cette idée dérange. Donc il faut qu’elle ait la victoire discrète.

    Pensez-vous que le montage a pu jouer sur l’image qui a été renvoyée de vous?

    En 18 semaines de compétition et avec 15 candidats, on n’a pas le temps d’aller creuser chez tout le monde et il doit y avoir une espèce de ligne directrice sur chacun, pour que l’audience ne s’y perde pas et qu’elle arrive à nous identifier. Mon rôle a été celui de la femme indépendante, déterminée et ambitieuse visiblement, ce qui fait partie de ma personnalité, mais je ne suis pas que ça. Il existe une partie de moi beaucoup plus vulnérable, qui doute beaucoup, très empathique. Peut-être que cette partie-là a été plus effacée et qu’on a voulu mettre plus en avant le côté guerrière.

    La réussite est un petit peu tabou en France et dans les pays latins et celle d’une femme pose des questions. Les gens pensent que c’est truqué et qu’on est favorisée. On ne peut pas assumer qu’une femme réussisse parce qu’elle le mérite. C’est dommage.

    Que vous a apporté l’aventure?

    J’étais un petit peu dans une zone de confort dans ma manière de cuisiner. Je n’avais plus trop d’inspiration. Top Chef m’a vraiment reboosté en matière de créativité. Après, ça m’a apporté de la confiance en moi et ça m’a permis de mettre des mots sur la cuisinière que je suis.

    Quelles ont été vos motivations pour participer au concours?

    Il y a eu suffisamment de signes qui m’ont fait comprendre que je devais le faire. Comme par exemple, la venue de Michel Sarran dans mon restaurant. Ce jour-là, il ne m’a pas donné de conseils mais c’est lui qui a fini de me convaincre. On a échangé sur le sujet et il m’a dit qu’il sentait qu’avec ma cuisine, je pouvais me lancer dans l’aventure et que si j’avais l’opportunité, ce serait une expérience incroyable. Il m’a dit de ne pas avoir peur car je pouvais le faire et il m’a toujours encouragée.

    Top Chef était l’occasion de rencontrer d’autres cuisiniers passionnés, de pousser ma créativité, d’apprendre de moi-même, des autres, et puis d’être en France. Ça fait 10 ans que je n’y habite plus et je pense que j’avais besoin de me reconnecter avec mon pays et ma culture. Je suis vraiment venue sans aucun objectif, avec beaucoup d’humilité, de bienveillance et de passion.

    “Il n’y a pas de femme étoilée au Portugal”

    Qu’allez-vous faire de votre chèque de 56.190 euros?

    Je n’y ai pas pensé avant de l’avoir dans les bras (rires). Mon cœur me dit de m’installer dans la campagne portugaise. Je vais peut-être essayer de m’acheter un petit terrain pour y construire ma maison, faire mon potager, avoir mes plantes, mes chats, mes chiens, mes poules. Vivre assez simplement en fait.

    Je pense qu’avec tout ce qui va m’arriver, ça peut être bénéfique d’avoir un endroit où me ressourcer. Un endroit qui me rappelle ce qui est important pour éviter de me brûler les ailes. Et puis je réfléchis aussi sur le long terme, à savoir qu’on vit dans un monde qui va mal et que potentiellement dans quelques décennies, il ne serait pas idiot d’avoir un petit peu de terre.

    Qu’en est-il du tatouage d’Hélène Darroze?

    Ce n’est pas encore fait mais j’ai commandé ma machine. Normalement je le fais à la main et à l’aiguille, mais c’est long. Sauf qu’Hélène Darroze a un agenda assez chargé, et je n’ai pas envie de lui prendre 5 heures de son temps. Si je lui fais les 3 étoiles, il faut que ce soit un tatouage trois étoiles, c’est Hélène Darroze quand même (rires). On va organiser ça quand je serai de retour à Paris ou qu’elle viendra me rendre visite à Lisbonne.

    Avez-vous une anecdote de tournage à partager?

    Je me rappelle que pendant le tournage, Tania m’a appris à faire du pain. Pendant 3 heures, elle est venue dans ma chambre d’hôtel et elle m’a tout expliqué. J’avais potentiellement une épreuve sur le pain et je ne savais pas faire. Donc même si on n’était pas dans la même équipe, il y avait toujours cette entraide.

    Votre prochain objectif est-il de décrocher une étoile Michelin?

    Je mentirais si je disais que non. Ce n’est pas quelque chose que je recherche forcément. Le plus important pour moi, c’est que les clients qui viennent manger dans mon restaurant repartent heureux. En revanche, j’aimerais obtenir l’étoile pour la symbolique. Il n’y a pas de femme étoilée au Portugal et ça manque cruellement. Pour l’instant, vu le paysage gastronomique actuel, nous sommes deux à pouvoir y prétendre.

    J’ai quand même une brigade majoritairement féminine et ce serait un bel accomplissement pour elles et pour toutes les femmes qui évoluent dans un monde assez masculin où elles ont tendance à rester dans l’ombre. Leur montrer que c’est possible, qu’il faut y aller, qu’il y a de la place pour nous, qu’on le mérite et qu’il ne faut pas avoir peur.

    À voir également sur Le HuffPost: Les candidats de cette saison de “Top Chef” sont repartis avec un souvenir indélébile

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      L'art du découpage maîtrisé à la perfection par ce chef canadien

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 15 June, 2022 - 16:05 · 1 minute

    CUISINE - Vous êtes en difficulté dès qu’il s’agit de couper des légumes avec un couteau . Dans ce cas, l es vidéos oddly satisfying ” de ce chef cuisinier canadien sont pour vous.

    Wallace Wong découpe des aliments en tous genres en très fines lamelles de quelques millimètres d’épaisseur seulement. Il va des légumes aux bonbons, en passant par les gâteaux et les condiments, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo ci-dessus .

    Face au succès grandissant de ses vidéos sur TikTok, il demande aux abonnés de lui proposer des aliments à découper pour leur plus grand plaisir. Il n’a pas commencé à poster s es vidéos pendant la pandémie mais c’est à ce moment-là qu’elles sont devenues virales, la plus populaire dépassant aujourd’hui les 118 millions de vues.

    @w2sixpackchef

    Reply to @roblox_fanas The end tho😌 #knifeskills #foodchallenge #cucumber #cucumberchallenge #asmr #asmrsound #asmrfood #satisfying #sosatisfying #oddlysatisfying #oddlysatisfyingvideo #didyouknow #tiktokfood #sustainability

    ♬ Chopin Nocturne No. 2 Piano Mono - moshimo sound design

    Ancien candidat de plusieurs émissions de télévision culinaire, Wallace Wong met à profit sa nouvelle notoriété pour se lancer dans de nouveaux projets professionnels.

    En véritable entrepreneur, il donne des cours de cuisine à des particuliers ou des entreprises. Il a écrit un livre de recettes et a créé un service de préparation et de livraison de repas imaginés par des chefs de restaurants.

    Ses talents ne se limitent pas à la cuisine car il a également été bodybuilder professionnel. Son slogan “bien manger, être en forme et bien vivre” témoigne de la place qu’occupe également le sport dans sa vie.

    À voir également sur Le HuffPost: En Australie et Nouvelle-Zélande, l’éruption aux îles Tonga continue de transformer le ciel

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      Séparer deux bols en céramique sans les casser? Sur Twitter, ce casse-tête a passionné les internautes

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 9 June, 2022 - 15:35 · 4 minutes

    La vaisselle en céramique est particulièrement fragile. La vaisselle en céramique est particulièrement fragile.

    INSOLITE - Plus de 140 000 likes, 22 000 retweets et 11 000 “tweets cités”. Depuis lundi 6 juin, ce n’est ni pour de la politique, du sport ou pour une émission télévisée que les internautes se passionnent sur Twitter , mais pour une histoire de bols en céramique. Oui, oui, vous avez bien lu.

    “J’ai empilé un bol en céramique dans un autre en faisant la vaisselle et maintenant les deux sont collés. Comment retirer le plus petit bol sans les casser tous les deux?”, s’est ainsi interrogée l’artiste new-yorkaise Chi Nguyen , avant de dédier un thread entier à ses différentes tentatives.

    “J’ai passé deux jours à essayer de résoudre le problème, je ne peux pas abandonner maintenant”, justifie-t-elle dans son premier message, demandant l’aide des internautes. Qui ont, quant à eux, partagé leurs conseils, et surtout, suivi avec attention chacun de ses essais.

    “J’ai jeté les bols sur un oreiller”

    Utilisation d’eau chaude savonneuse, application d’ huile sur les bords des bols, passage au congélateur... Heure après heure, Chi Nguyen liste sur son compte Twitter ses tentatives, qui se révèlent toutes infructueuses. “ Still stuck ” - “toujours coincé” - écrit-elle régulièrement à la fin de ses messages.

    L’artiste fait également preuve d’humour dans ses techniques, expliquant avoir essayé les “commentaires passifs-agressifs” sur l’un et l’autre des bols ainsi que les “blagues d’autodérision”. Toujours sans succès.

    “Avec compassion, mais fermement, j’ai jeté les bols sur un oreiller. Il n’y a pas d’autres manières de le dire: le plus petit bol a un éclat maintenant”, finit même par écrire Chi Nguyen.

    C’est finalement ce jeudi 9 juin que Chi Nguyen parvient à résoudre son casse-tête. “Mon dieu, on a réussi!”, s’exclame-t-elle en lettres majuscules, avant de dévoiler sa technique. Son secret? Placer les bols à l’envers sur une serviette pendant un certain moment, utiliser une ventouse puis taper sur le sol.

    “Je pense que c’est le fait de l’avoir laissé [le bol] seul pendant un certain temps à l’envers + ventouse + choc sur le sol!”, écrit-elle en effet sur son compte Twitter . “Aimé” par plus de 49 000 internautes, le conseil devrait, en tous cas, aider tous ceux qui tiennent à leur vaisselle.

    De multiples réactions

    Au fil de son récit du quotidien, ce sont plusieurs milliers de personnes qui ont suivi l’évolution de ses tentatives. Avec, parfois, beaucoup d’attention. “Je prends le reste de ma journée pour regarder ce drama Twitter”, écrit avec humour cette internaute. Une autre déclare: “Je n’ai pas de conseil pour vous, mais j’ai besoin d’un update, s’il vous plaît”.

    Face à la difficulté du casse-tête, certains internautes n’ont pas hésité à faire leurs propres suppositions... “Peut-être qu’ils ne veulent pas être séparés? Ils ne se font pas des câlins, ils jouent au bowling”, plaisante celle-ci, en jouant avec le mot “ bowl ”, signifiant “bol” comme “jouer au bowling” en anglais .

    D’autres proposent leurs astuces et services. “As-tu essayé de demander poliment au plus petit bol de partir?”, suggère cet internaute.

    Ingénieur au “Jet Propulsion Laboratory”, l’un des centres de recherche spatiale de la NASA, Bobak Ferdowsi se questionne tout aussi sérieusement. “Quelle est l’éthique de l’utilisation des ressources de la NASA pour résoudre ce problème ?”, écrit-il avec dérision.

    Tous, enfin, s’accordent à certifier ce thread Twitter comme l’un des meilleurs du réseau social. A l’image de cet internaute qui affirme, ci-dessous, que “c’est peut-être l’un des meilleurs threads Twitter que j’ai lu en 15 ans”.

    A voir également sur Le HuffPost: “En Suède, une anecdote sur une vieille “tradition” enflamme le pays”

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      “Top Chef 2022”: Sébastien Renard réagit à son élimination

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 8 June, 2022 - 21:50 · 7 minutes

    Sébastien Renard, le candidat éliminé de la compétition de Top Chef réagit Sébastien Renard, le candidat éliminé de la compétition de Top Chef réagit

    TÉLÉVISION - Une joie de vivre à toute épreuve. Après avoir changé trois fois de brigade au cours de la saison, Sébastien Renard a définitivement rendu ses manchettes violettes aux portes de la finale de Top Chef ce mercredi 8 juin.

    Lors de ce dix-septième prime diffusé sur M6, Arnaud, Louise et Sébastien avaient les cartes en main sur le choix des épreuves. Chacun a imposé sa propre thématique pour tenter de gagner sa place pour la grande finale. Malheureusement pour le candidat de Paul Pairet, ses assiettes n’ont pas réussi à dépasser celles de Louise et Arnaud, qui sont les deux grands finalistes de cette treizième saison.

    À 27 ans, Sébastien Renard perçoit la cuisine comme un moyen de se faire plaisir et de voir les gens sourire. Son leitmotiv ? “C’est beau quelqu’un qui sourit et ça ne coûte rien” . Après avoir commencé sa carrière dans le Nord, il a fait ses armes à Paris aux côtés des chefs Alain Ducasse et Christophe Saintagne. Désireux de retrouver sa famille, il revient dans sa région natale et rejoint l’équipe de Marc Meurin, qu’il considère aujourd’hui comme un second papa.

    Son côté excentrique et sa bonne humeur inébranlable ne l’empêchent pas d’avoir une grande technicité et une rigueur qu’il a su démontrer tout au long du concours. Après son élimination, il a accepté de répondre à quelques questions posées par Le HuffPost :

    L’aventure “Top Chef” s’arrête pour vous aux portes de la finale. Avez-vous des regrets?

    En arrivant à “Top Chef”, je n’avais rien à perdre. Donc je n’ai aucun regret et je trouve ça génial d’arriver à ce niveau-là de la compétition. J’ai gagné 5 ans d’expériences professionnelles grâce aux belles rencontres des chefs venus des quatre coins du monde et ça, ça n’a pas de prix. J’ai eu la chance de faire goûter ma cuisine à Yannick Alléno par exemple, c’était un rêve de gosse; mais aussi de défendre des causes qui me tiennent à cœur, comme le harcèlement scolaire . Si grâce à ce message, j’ai pu permettre à une personne d’en parler également, j’ai tout gagné.

    Qu’est-ce qui a pu vous manquer cette semaine?

    Je n’ai peut-être pas choisi la bonne épreuve. Après avec des “si”, on refait le monde. Je suis resté moi-même, j’ai gardé mon sourire et j’ai avancé. Si ce n’est pas passé cette fois-ci, c’est que ça devait être comme ça.

    Pensiez-vous arriver jusqu’en demie-finale?

    Honnêtement, non. À chaque dernière chance, on se dit toujours que c’est la dernière fois qu’on est dans les cuisines de “Top Chef” et que ça peut s’arrêter tellement vite. Je ne pensais pas du tout aller jusqu’en demie-finale. Je n’ai jamais appréhendé le concours en me disant que je devais atteindre un certain palier. J’ai avancé petit à petit en faisant un pas devant l’autre.

    “Paul Pairet m’a permis de prendre confiance en moi”

    En parlant de dernières chances, vous êtes celui qui en a fait le plus. Certains candidats vous ont même surnommé “le boucher des dernières chances”.

    Il faut savoir que j’avais pris un petit abonnement. On a une chance exceptionnelle de pouvoir faire plein d’essais et je me suis dit qu’il fallait en profiter (rires). Certaines fois, j’aurais bien fait l’impasse sur cette épreuve car c’est très fatiguant, énergivore, chronophage et stressant. Mais ça m’a permis de mieux me connaître et de grandir.

    Je me suis rendu compte que parfois, en étant pied au mur et avec très peu de temps, il faut aller à l’essentiel et ne pas se lancer dans des choses compliquées. Le conseil de la cheffe Dominique Crenn, “Less is More” , était vraiment très bon. Je l’ai appliqué lors de cette épreuve et ça a payé. Je ne sais pas si le terme de “boucher des dernières chances” est vraiment approprié, mais à chaque fois, j’avais une envie intrinsèque de rester dans le concours et d’aller le plus loin possible.

    Vous êtes le seul candidat qui a changé trois fois de brigade au cours de la saison. Quel chef vous a le plus apporté?

    Je me suis dit que je devais recevoir des conseils de tout le monde. C’est con, il me manque Hélène Darroze ( rires ). C’est une question difficile car ils m’ont tous permis de grandir et de trouver la bonne définition de ma cuisine. Sans Philippe Etchebest, je ne serais pas rentré dans le concours. C’est lui qui m’a donné les premières clés et les premiers conseils pour évoluer. J’ai beaucoup aimé Glenn Viel , qui était autant émerveillé que nous pendant le tournage.

    Et Paul Pairet?

    Je crois que c’est le chef avec qui j’ai réalisé le plus d’épreuves. On commençait à bien se connaître. Il m’encourageait tout le temps et il m’a permis de prendre confiance en moi. Je pense que pour aller loin dans le concours, il faut avoir un sacré mental. Et parfois, il faut savoir se relever d’un loupé car les épreuves s’enchaînent et qu’il ne faut surtout pas regarder derrière. Paul Pairet me le disait très souvent et c’est aussi ce qui m’a permis de grandir. C’est un chef très impressionnant.

    “Après Le Larousse, il y aura Le Sébastien”

    Vos expressions telles que “cuisine laser” et “Je suis une tempête” ont rythmé cette treizième saison. Où les trouvez-vous?

    C’est une bonne question. Il y a Le Larousse et Le Petit Robert , maintenant il y aura Le Sébastien (rires). Je ne sais pas d’où elles viennent, mais en tout cas, je suis resté moi-même pendant toute la durée du concours, avec mon originalité et ma façon d’être.

    Dès le début de la saison, les internautes vous ont trouvé une ressemblance avec Justine Piluso de la onzième saison. Qu’en pensez-vous?

    Je la connaissais grâce à sa participation à “Top Chef” et je l’ai croisée dans les studios d’enregistrement. Pendant qu’on tournait, elle est venue pour participer à l’émission “Top chef: Le chef des chefs”. C’était drôle parce qu’on a fait une photo ensemble à ce moment-là et je l’ai partagée sur Instagram. C’était sympa d’échanger avec elle.

    Cette saison est marquée par votre tatouage commun réalisé par Louise. Faites-vous partie des candidats tatoués?

    Il y a un grand monsieur, Marc Meurin, qui disait souvent que sur une Ferrari, on ne mettait pas d’étiquette. J’ai toujours trouvé cette image assez drôle. (rires). Je n’ai pas fait de tatouage car je n’en ai pas. “Top Chef” est tatoué et à jamais ancré dans ma tête. Être confinés tous ensemble dans un hôtel parisien a été une grande chance car ça nous a énormément soudés. C’était vraiment une grosse colonie de vacances.

    “L’équipe de production a préparé un gâteau pour mon anniversaire”

    Avez-vous une anecdote de tournage à partager?

    J’ai fêté mon anniversaire sur le tournage. C’était le 25 novembre et l’équipe de production m’avait préparé un petit gâteau, une petite surprise. C’était très émouvant et c’était super cool. Il faut savoir qu’on a une équipe géniale et il faut les mettre en valeur parce qu’ils sont vraiment à nos petits soins.

    Quels sont vos projets futurs?

    J’ai pour projet d’ouvrir un restaurant sur la Côte d’Opale, dans ma région des Hauts-de-France. Je souhaite y écrire mon histoire et mettre en valeur les producteurs de ma région. C’est là où j’ai grandi et où je me sens bien. En parallèle, j’ai également lancé une société de prestations à domicile, de formations, de consulting et de créations de cartes.

    J’ai envie de faire des projets qui ont du sens. Après l’épisode sur le harcèlement scolaire, je suis intervenu dans une cantine d’un collège de la Côte d’Opale. J’y ai proposé mon dessert chocolat/betterave sous forme d’une verrine, le tout adapté pour un service de 450 élèves. Par le biais de la nourriture, on a parlé de plein de choses avec les élèves et certains se sont confiés sur leurs problèmes. C’est un format que je compte dupliquer et je vais continuer à faire des choses avec mon cœur.

    À voir également sur Le HuffPost: Un “Top Chef” édition All Stars? ”Ça pourrait arriver”, selon Stéphane Rotenberg

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      L'oeuf durci au sel, ce plat ancestral asiatique star de TikTok

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 3 June, 2022 - 16:18 · 2 minutes

    CUISINE - Envie de changer du fromage râpé sur les pâtes, de la sauce barbecue sur le poulet frit ou des cookies au chocolat ? Alors, laissez-vous tenter par la nouvelle attraction culinaire sur Tiktok, le jaune d’oeuf durci au sel. Ce plat traditionnel très répandu en Asie commence à gagner en popularité de l’autre côté de l’Atlantique.

    Sur TikTok, les vidéos dans lesquelles les internautes s’essayent à préparer ce plat ancestral sont de plus en plus nombreuses. Le hashtag #saltedeggyolk cumule plus de neuf millions de vues. Tout le monde s’essaye à préparer ce plat simple et savoureux.

    Bien que nouveau en Europe et aux États-Unis, le jaune d’oeuf séché au sel est un plat très ancien et consommé dans plusieurs pays d’Asie. A l’époque, e n l’absence de réfrigération, les œufs étaient plongés dans une saumure d’eau salée pour prolonger leur durée de conservation.

    Demande en hausse

    Apprécié pour sa polyvalence, le jaune d’oeuf durci au sel est utilisé dans la préparation de plats sucrés et salés. On peut en trouver dans les pâtisseries, les gâteaux, le pain à l’ail et même sous forme de chips.

    Il est généralement râpé sur les plats. Le jaune d’oeuf ainsi mangé prend à la fois l’apparence et un goût presque similaire à celui du fromage. Les magasins asiatiques situés aux États-Unis constatent une hausse de la demande de produits à base de jaune d’oeuf durci au sel. Parmi les nouveautés, la commercialisation d’un sirop à base de jaune d’oeuf.

    Une recette simple

    Autre raison de son succès, la simplicité de sa recette. Il suffit de plonger des jaunes d’oeufs dans un récipient rempli de sel et de sucre et de les recouvrir délicatement avec le mélange. Mettre ensuite les jaunes d’oeuf à reposer au frigo pendant une semaine.

    Vous n’avez plus qu’à sortir les jaunes d’oeufs du réfrigérateur, les rincez soigneusement à l’eau pour retirer le sel et les mettre au four pendant une heure environ. Pour cette recette, vous pouvez utiliser des oeufs de poule ou de canard.

    À voir également sur Le HuffPost: Trois recettes de desserts au barbecue pour changer de la banane au chocolat

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      “Top Chef 2022”: Mickaël Braure réagit à son élimination

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 18 May, 2022 - 21:42 · 5 minutes

    Mickaël Braure, le candidat éliminé de la compétition de Top Chef réagit. Mickaël Braure, le candidat éliminé de la compétition de Top Chef réagit.

    TÉLÉVISION - Une élimination aux portes des quarts de finale. Après avoir remporté un grand nombre d’épreuves au sein de la brigade bleue de cette treizième saison de Top Chef , Mickaël Braure a définitivement quitté le concours ce mercredi 18 mai.

    Lors de ce quatorzième prime diffusé sur M6, les cinq candidats encore en lice se sont affrontés dans les cuisines de Jean Imbert, au sein du Plaza Athénée.  Ils devaient séduire l’ancien vainqueur de Top Chef en revisitant le vol-au-vent. Arrivé en seconde place de l’épreuve, Mickaël a dû défendre sa place sur une épreuve autour de la tomate où il a été épaulé par le chef Alexandre Gauthier. En ballottage à l’issue de cette deuxième épreuve, il s’est retrouvé en dernière chance face à Sébastien pour une épreuve sur l’agneau. Et si les quatre jurés ont été interpellés par son assiette totalement noire, son tartare d’agneau à l’encre de seiche ne lui a pas permis de garder sa place dans le concours.

    Passé par de prestigieuses maisons du Nord de la France, Mickaël Braure a décidé de voler de ses propres ailes. À 25 ans, il ouvre son premier restaurant le Bistrot du “Witloof” où il revendique une cuisine paysanne et sexy. Sa devise : “Le gras, c’est la vie”.

    Après son élimination, il a accepté de répondre à quelques questions posées par Le HuffPost :

    Vous quittez les cuisines de Top Chef aux portes des quarts de finale. Qu’est-ce qui vous a manqué cette semaine pour aller plus loin?

    C’est quand même dommage de partir maintenant, aussi proche des quarts de finale. Je dirais qu’il m’a simplement manqué 30 secondes pour réussir la cuisson de mon ris de veau sur la première épreuve. Ça m’aurait permis de me qualifier directement. C’était une bonne expérience et les autres ont été meilleurs, c’est tout.

    On voit que Philippe Etchebest est très touché par votre départ. Comment se sont passées ces quatorze semaines de compétition à ses côtés?

    C’était magnifique d’être aux côtés de ce super chef. Je ne sais pas si j’aurais pu aller aussi loin dans l’aventure si je n’avais pas évolué à ses côtés. C’était un peu comme un papa parce qu’il était tout le temps présent quand on avait un problème ou des questions. Il y avait un lien très paternel entre lui et ses candidats. Il est très touché par mon départ et ça me fait mal au coeur de quitter Top Chef car je savais que j’allais arrêter plus ou moins cette relation avec le chef Etchebest. On est toujours en contact et il m’appelle très souvent pour prendre des nouvelles.

    Que vous a-t-il apporté?

    Il m’a apporté une assurance, une stabilité et une confiance dans ma cuisine. Il a su me faire confiance à chaque épreuve, en me donnant de bons conseils. Donc je ne pouvais qu’y arriver correctement.

    "Je pense que Pascal va devenir un très grand chef”

    Si vous aviez été qualifié, vous seriez passé chez les violets. Auriez-vous eu du mal à quitter votre brigade d’origine?

    Je n’avais pas pensé à ça. Franchement j’aurais été partagé. J’aurais été content de gagner ma place mais déçu de quitter le chef Etchebest. Je n’ai rien contre Paul Pairet mais mon chef c’est Philippe Etchebest. Je me voyais aller au bout de l’aventure avec lui et personne d’autre.

    Et avec Pascal, quel lien avez-vous eu avec lui?

    J’ai eu un lien très protecteur avec Pascal. J’ai voulu le protéger pendant les épreuves et même à l’extérieur. J’avais envie qu’il soit bien et rassuré. Il y avait un lien un peu paternel. Je suis hyper surpris de sa capacité et de son talent. Je pense très sincèrement qu’il va devenir un très grand chef.

    Quelles ont été vos motivations pour participer à l’aventure?

    Je voulais me dépasser et montrer qu’on peut faire une cuisine bistronomique dans la vie de tous les jours et prétendre à faire une cuisine de haute voltige comme dans Top Chef . Pour l’anecdote, c’est un ami et ancien candidat qui m’a inscrit: Damien Laforce , candidat de la saison 10.

    Vous faites partie des candidats tatoués de la saison. Racontez-nous l’histoire derrière votre tatouage commun?

    Il a été fait dans une chambre très tard la nuit (rires). C’est Louise qui nous les a faits. Ce n’était pas la meilleure idée qu’on ait eu ce jour-là, mais c’est très drôle et je ne regrette pas du tout de l’avoir fait.

    Avez-vous une anecdote de tournage à partager?

    J’ai adoré les moments où l’on se retrouvait tous ensemble dans le petit salon, avant le début des épreuves. On faisait les cons et on essayait de se détendre les uns et les autres. C’était des moments de pression mais en même temps on essayait tellement de passer ça à la rigolade. On a donc fait beaucoup de conneries (rires). Top Chef c’était une véritable colonie de vacances. En même temps, on a tous le même humour, on aime les mêmes choses et on a été confinés tous ensemble pendant 2 mois et demi. Donc forcément ça crée des liens.

    “Un concept autour de la saucisse ne pouvait que fonctionner”

    Comment se passe votre restaurant de la guerre des restos: Philo Saucisses?

    Ça cartonne, les gens sont très contents et le cadre est magnifique. C’est vraiment un super outil de travail.

    Vous attendiez-vous à remporter cette épreuve?

    Un concept autour de la saucisse, ça ne pouvait que fonctionner (rires).

    Quels sont aujourd’hui vos futurs projets?

    Je suis en train d’ouvrir un nouvel établissement. Il sera situé juste à côté de là où j’ai déjà mon premier établissement, le bistrot de Witloof. En fait, on est en train de rénover un corps de ferme. Il y aura une micro brasserie où on fera notre propre bière. Il y aura également un bar à tapas autour de la saucisse et une partie restauration. Il y a beaucoup de travaux à réaliser donc l’ouverture est prévue pour 2023.

    Un petit prono?

    Au début de Top Chef , je ne misais sur aucun des quatre encore en lice (rires). Maintenant, je dirais Louise et Pascal, car ils ont les capacités pour y arriver.

    À voir également sur Le HuffPost : On a testé le restaurant de la “guerre des restos” dans “Top Chef”