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      WHO presses China for more data after COVID death tally leaps from 37 to 60K

      news.movim.eu / ArsTechnica · Monday, 16 January, 2023 - 22:49 · 1 minute

    Passengers wearing face masks wait to board a high-speed railway train in Guangzhou South railway station on January 15, 2023, in Guangzhou, China. China is currently experiencing Spring Festival travel season, where millions of Chinese travel around the country before celebrating the Chinese or Lunar New Year.

    Enlarge / Passengers wearing face masks wait to board a high-speed railway train in Guangzhou South railway station on January 15, 2023, in Guangzhou, China. China is currently experiencing Spring Festival travel season, where millions of Chinese travel around the country before celebrating the Chinese or Lunar New Year. (credit: Getty | Vernon Yuen/NurPhoto )

    China is now reporting that nearly 60,000 people had died of COVID-19 since early December when the country abruptly abandoned its zero-COVID policy and omicron subvariants began ripping through its population. The new death toll is a stark revision from China's previously reported figure for that period, which was just 37. But experts remain skeptical that the new, much larger tally is a complete accounting, and the World Health Organization continues to press the country to release more data.

    In a Saturday press conference in Beijing, the Medical Administration Director of China's National Health Commission (NHC), Jiao Yahui, told reporters that the country recorded 59,938 COVID-related deaths between December 8 and January 12. Of those, 5,503 deaths were specifically linked to respiratory failure, and 54,435 were associated with underlying conditions, such as cancer and cardiovascular disease.

    The new figures double the country's tally of COVID-19 deaths due specifically to COVID-19 respiratory failure, bringing the pandemic total to 10,775. Previously, those deaths—the ones due to COVID-19 respiratory failure or pneumonia—were the only deaths that China counted as caused by COVID-19, which drew criticism from WHO officials, who called the classification "too narrow."

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      De quoi les data centers sont-ils le nom ? – À propos de À bout de flux de Fanny Lopez

      news.movim.eu / LeVentSeLeve · Wednesday, 16 November, 2022 - 18:39 · 10 minutes

    Depuis quelques années, le système énergétique français est bouleversé par l’arrivée massive et sans précédents des opérateurs privés du numérique, qui transforment l’espace, les réseaux énergétiques et les consommations. C’est à ce « continuum électrico-numérique » que Fanny Lopez s’intéresse dans son dernier ouvrage À bout de flux (Éditions divergences, octobre 2022). L’historienne de l’architecture et des techniques revient sur le développement de ces infrastructures numériques, à la fois omniprésentes et invisibles, et sur les risques liés à leur insertion dans les télécommunications et infrastructures énergétiques nationales.

    Ces données qui modifient le territoire

    Moins visibles que les autres infrastructures de télécommunication, les centres de données, enjeu de stockage industriel et de traitement des données, sont le signe du déploiement sans précédent des infrastructures numériques. Fanny Lopez, auteure d’un rapport pour l’Ademe intitulé « L’impact énergétique et spatial des infrastructures numériques » (2019) revient dans son dernier ouvrage, sur leur insertion à la fois territoriale et énergétique dans les réseaux des télécommunications.

    À bout de flux, Fanny Lopez ((Divergences, octobre 2022)

    Accompagnant les besoins nouveaux des citoyens, mais surtout des entreprises, le nombre et la superficie des centres de données a explosé en quelques années, reconfigurant les territoires. La réduction du prix des câbles – les coûts ayant été divisés par dix pour une capacité multipliée par 50 en vingt ans – a en effet conduit à l’hyper-concentration de ces centres de données et au développement monofonctionnel des territoires, un phénomène que la maîtresse de conférence qualifie d’« effet magnet ». L’étude Data Gravity de l’Université de Berkeley [1] montre ainsi que les données échangées par les 2000 plus grandes entreprises mondiales s’accumulent autour de 50 villes dans le monde. En France, RTE prévoit une multiplication par trois de la consommation des centres de données à l’horizon 2050 [2] .

    Spatialement, cette hyper-concentration se traduit par l’émergence de grandes banlieues autour des grands hubs mondiaux, à l’instar de Ashburn en Virginie, au Nord de Washington qui compte 270 centres de données consommant 2000 MG soit l’équivalent de 200 centrales nucléaires.  Économiquement, le développement de ces « zones numériques monofonctionnelles » est corrélé à une tendance à la monopolisation croissante des acteurs. En 2019, Microsoft comptait 115 partenaires de centres de données, et 20 en 2022.

    Éclairer la matérialité du grand système technique électrique

    Ce renforcement économique et spatial de l’hyperconcentration des données incite Fanny Lopez à produire une déconstruction méthodique des présupposés idéologiques et technologiques qui guident ces processus historiques. L’objectif de l’auteure est de mettre en lumière les conséquences spatiales, environnementales, urbanistiques des « grands systèmes électriques » et les enjeux et perspectives inhérents à ces infrastructures, à l’heure où elles doivent être renouvelées. Selon l’auteur « Éclairer la matérialité du grand système électrique, c’est tenter de recomposer une intelligibilité technique. S’intéresser à la transmission et à la distribution, c’est revenir sur la forme et l’échelle des mailles du réseau et donc questionner les fondamentaux de l’urbanisme des flux : rapport centre-périphérie, production-consommation, densité-étalement, phénomènes de métropolitisation et de hubs ». En d’autres termes, la considération des effets de ces infrastructures invite mécaniquement à une réflexion critique sur l’imaginaire qui sous-tend ce qu’elle nomme « le productivisme des flux ».

    « Avec la digitalisation, les infrastructures numériques et électriques tendent à se confondre dans un continuum électrico-numérique »

    L’électricité a permis l’essor des télécommunications, en assurant la mobilité de toutes les machines. Mais c’est avec l’arrivée de l’informatique couplée aux possibilités permises par l’électricité qu’on assiste à une convergence des machines, et à une fusion de celles-ci dans le cadre d’un système d’interconnexion croissant. Dans la continuité de la pensée du philosophe Günther Anders, Fanny Lopez revient sur cette nouvelle « ontologie des appareils », avec l’idée que le développement sans limite de ces machines fait de l’homme un prolongement de celles-ci et non l’inverse. Ainsi, l’électricité couplée à l’outil numérique forme une « méga-machine » (Günther Anders). Du fait de l’interconnexion de celles-ci, les machines s’autorégulent et précèdent l’intervention humaine. Les échanges « d’individus à machine » (échanges de mails, envoi de données par smartphone, etc.) ne représentent que 20 % des flux de données, tandis que 80 % de la création de données est produite par les entreprises.

    « Il n’y a pas de problèmes de production d’électricité en France »

    Contrairement à l’opinion courante selon laquelle la numérisation des activités économiques et administratives permettrait d’alléger la facture énergétique de la planète, on constate au contraire que   les infrastructures numériques sur lesquelles reposent les services numériques pèsent de plus en plus lourd sur nos infrastructures électriques et, partant, sur notre consommation énergétique globale. En effet, les grands opérateurs privés très énergivores se rattachent au réseau de distribution ou de transport électrique selon l’importance de leur consommation pour leur usage quotidien, tout en s’assurant une production électrique de secours au besoin. Les centres de données disposent de générateurs de secours pour leurs besoins propres, en cas de panne sur le réseau électrique. Ainsi constate-t-on avec la digitalisation à la fois la hausse de la consommation de l’électricité et une redondance infrastructurelle, alors même que les opérateurs publics n’ont pas de leviers d’action vis-à-vis de cette demande croissante.

    D’un côté, les limites de notre modèle énergétique semblent évidentes. À l’heure actuelle, les réacteurs nucléaires vieillissent, l’ EPR de Flamanville ne fonctionne toujours pas . De l’autre, tous les grands scénarios énergétiques présentées par RTE à l’horizon 2050 prévoient l’augmentation de la production d’électricité en lien avec l’électrification des usages. À l’occasion de la présentation des scénarii « Futurs énergétiques 2050 », les dirigeants de RTE insistaient en outre sur la nécessité de restructurer les réseaux à court terme, en s’appuyant sur les outils numériques pour optimiser le réseau électrique. L’idée étant que le numérique assure une utilisation plus flexible de l’électricité, notamment avec les « smart grid » et l’Intelligence artificielle. Pour Fanny Lopez, cela revient à dire qu’« avec la digitalisation, les infrastructures numériques et électriques tendent à se confondre dans un continuum électrico-numérique ».

    « L’hégémonie technicienne repose sur la croissance et le renforcement du grand système électricité comme unique perspective »

    Les investissements économiques importants déployés pour soutenir ce modèle de grand système technique centralisé hérité du début du siècle semblent pourtant de plus en plus incompatibles avec les différentes limites planétaires. L’amélioration de l’efficacité énergétique ne garantit pas à l’heure actuelle des effets équivalents en termes des émissions de gaz à effet de serre à ceux qu’auraient des modifications structurelles des modes de productions qui les conditionnent et les déterminent. Notre modèle de production énergétique reste adossé à la production massive de données, encouragée par des acteurs privés et conduit à l’explosion de ces data centers qui transforment nos territoires. Ainsi, « l’hégémonie technicienne repose sur la croissance et le renforcement du grand système électricité comme unique perspective ».

    Tandis que le débat public énergétique tourne généralement autour des sources d’énergie et dudit « mix énergétique » sans jamais porter sur les infrastructures en elles-mêmes, Fanny Lopez soutient que « sortir de ce cycle infernal, c’est assumer une discussion sur la transformation de toute la structure du réseau, depuis la production jusqu’à la distribution ».

    De la privatisation croissante des infrastructures

    La crise de notre système électrique et énergétique actuel met en évidence les limites de notre modèle, et invite à prendre pleinement la mesure de la déstabilisation des territoires par l’arrivée massive des opérateurs numériques privés : « Alors que les politiques urbaines et les politiques publiques ont fait de la ville connectée, autrement appelé smart city , un objet de prospective urbaine, la réalisation de l’infrastructure reste aux mains d’une industrie privée poussée par la fièvre connectique et les parts de marché associées au grands projet de l’interconnexion des machines dont le nombre, la consommation électrique et le poids environnemental ne pourront se perpétuer, alors même que le cercle de la logique technologique du capitalisme tardif rend la technique de plus en plus étrangère aux besoins fondamentaux ».

    Le déploiement des infrastructures numériques se réalise aujourd’hui sous l’emprise d’entreprises privées. Or, comme le montre l’auteur, l’ampleur des infrastructures des télécommunications a été rendue possible par d’importants investissements publics. Dans le secteur des télécommunications, l’inflexion libérale a été particulièrement manifeste malgré l’invisibilité de ces infrastructures qui nous empêche de prendre la mesure de l’évolution du déploiement de celles-ci.

    Or la dynamique actuelle des infrastructures du numérique se révèle de plus en plus incompatible avec les missions remplies par les infrastructures des services publics, compris au sens large comme un « objet socio-technique dont l’usage partagé est réglementé dans une perspective d’accessibilité et de respect de l’environnement » (p. 33). En effet, les infrastructures numériques captent l’énergie des infrastructures publiques selon le principe de la file d’attente qui prévoit que le premier arrivé est le premier servi sans hiérarchisation ni priorisation des usages. En outre, la consommation électrique et numérique est favorisée, dans le cadre de ce que Günther Anders appelle la « mégamachine » susmentionnée, sans qu’une optimisation des usages ne soient envisagée à l’aune des impératifs climatiques. Pour ces raisons, Fanny Lopez estime ainsi que « les réseaux numériques se développent dans un « âge post-service public » .

    « Changer de société, c’est changer d’infrastructure » (Castoriadis)

    À l’heure où nous avons de nombreux débats publics autour des sources d’énergie et d’électricité, peut-être devrions nous réfléchir aux systèmes mêmes de nos infrastructures, caractérisées par leur interconnexion pour repenser des reconfigurations structurelles. C’est en tout cas ce à quoi ce livre nous invite.

    À la fin de l’ouvrage, Fanny Lopez propose ainsi des pistes de réflexion pour penser une alternative à notre modèle actuel de réflexion sur les infrastructures. Contre l’idée selon laquelle remettre en question notre modèle imposerait d’en passer par des positions technophobe ou réactionnaire, l’auteure avance des éléments de résolution pour reconsidérer notre technostructure électrique. Ce qui suppose d’éviter deux écueils. Le champ de cette réflexion est en effet selon elle considérablement limité, du fait de deux conceptions antinomiques de la technologie. L’imaginaire technique est soit cantonné à l’ « hégémonie culturelle libérale » très techno-solutionniste, soit restreint à l’« imaginaire effrondiste ».

    À rebours de ces conceptions réductrices, il faudrait selon elle réinvestir l’imaginaire des machines, pour nourrir l’idéal d’un réseau efficace et garant d’une égale distribution des services sur l’ensemble du territoire. Pour ce faire, elle invite à considérer deux échelles de gouvernance, nationale et communale : « Parvenir à re-utopiser la grande échelle infrastructurelle tout en tenant la technique proche serait un défi de l’hypothèse redirectionniste ». Cette dialectique du proche et de la grande échelle invite ainsi à penser des infrastructures « habitables », proches des besoins et soucieuses de prévenir les risques environnementaux.

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      L’application Uber dépasse le milliard de téléchargements !

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 16 August, 2022 - 09:45

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    L'application Uber a dépassé le milliard de téléchargements à vie sur iOS et Google Play onze ans et demi après son lancement en janvier 2011, selon les données de data.ai Intelligence.

    L’application Uber dépasse le milliard de téléchargements !

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      CDC to regain control of US hospital data after Trump-era seizure, chaos

      news.movim.eu / ArsTechnica · Monday, 15 August, 2022 - 22:33

    An older man in a business suit listens to a woman in a business suit.

    Enlarge / Former president Donald Trump, right, listens to Deborah Birx, former coronavirus response coordinator, as she speaks during a news conference in the White House in Washington, DC, on Thursday, April 23, 2020. (credit: Getty | Bloomberg )

    This December, the US Centers for Disease Control and Prevention will finally regain control of national COVID-19 hospital data—which the agency abruptly lost early in the pandemic to an inexperienced private company with ties to then-President Donald Trump.

    As SARS-CoV-2 raged in the summer of 2020, the Trump administration was busy sabotaging the once-premier public health agency . The administration's meddling included stripping the CDC of its power to collect critical data on COVID-19 patients and pandemic resources in hospitals around the country.

    According to multiple investigative reports at the time, then-White House Coronavirus Task Force Coordinator Deborah Birx was frustrated by the CDC's slow and somewhat messy process of collecting and tidying the data submitted by thousands of hospitals. The data included stats on admissions, patient demographics, bed availability, ventilator use, discharges, and personal protective equipment (PPE) supplies.

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      Discs vs. data: Are we helping the environment by streaming?

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 4 May, 2022 - 17:41

    Image of a pile of DVDs

    Enlarge (credit: Getty Images )

    Earth Day was April 22nd, and its usual message—take care of our planet—has been given added urgency by the challenges highlighted in the latest IPCC report. This year, Ars is taking a look at the technologies we normally cover, from cars to chipmaking, and finding out how we can boost their sustainability and minimize their climate impact.

    Gone are the days of going to Blockbuster to pick out a film for a night in. Physical media like CDs, DVDs, Blu-ray discs, Sony’s weird PlayStation Portable UMDs, and countless other formats have been thoroughly dethroned thanks to a barrage of streaming services like Netflix— itself ailing at the moment—Amazon Prime, and Spotify.

    For the first time in the past 17 years, CDs saw an increase in sales—of 1.1 percent , or 40.59 million units in 2021, compared to 40.16 million units the year prior. In 2021, people purchased 1.2 billion pieces of physical video media, compared to 6.1 billion a decade prior. Meanwhile, according to the Recording Industry Association of America, revenue from music streaming grew 13.4 percent to $10.1 billion in 2020.

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      Mathias Poujol-Rost ✅ · Friday, 10 December, 2021 - 14:30

      Contact publication

    Privacy International (@privacyint@mastodon.xyz)

    Original URL: https://datalandscape.eu/sites/default/files/report/EDM_D2.5_Second_Report_on_Policy_Conclusions_final_13.06.2019.pdf

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      Nab a Mobile Plan for under $30 per Month with These New Deals

      pubsub.dcentralisedmedia.com / LifehackerAustralia · Thursday, 18 February, 2021 - 05:10 · 2 minutes

    If you’re looking for a new phone plan, it makes sense to try and bag a bargain. After all, there’s always a telco or five slinging some sort of deal. If you can help it, why pay full price? With that in mind, here are five of our favourite mobile deals you can get in Australia right now.

    Telstra phone plans

    Telstra is offering a $480 discount on the newly released Galaxy S21 Ultra, which works out to be a $20 per month saving on a 24-month plan. Plans start at $112 per month with 40GB, but Telstra is also offering a $50 per month discount on its 180GB plan for your first 12 months. This means you’ll pay $122 per month for your first year, and then $172 per month thereafter. Of course, since the plans are contract-free you can always drop down to a more affordable Telstra plan after the discount runs out. This offer runs until February 21.

    gomo phone plans

    How does only paying $60 for six months of mobile service sound? If you sign up with gomo before February 21 (and activate your SIM before February 28) you’ll get your first month for just $10. You’ll pay $25 per month for your second two months, and then you’ll get your next three months free. Better yet, you’ll have 18GB each month to play with, and since the plan is prepaid, you can leave at any time.

    gomo is a new MVNO owned by Optus and powered by the Optus 4G network.

    amaysim phone plans

    amaysim is currently offering bonus data and a discount on your first three prepaid renewals. Instead of paying $30 for 30GB, you can get 35GB for $15. amaysim’s prepaid plans have a 28-day expiry. If you want to stick with amaysim after your first three recharges, you’ll go back to paying $30 for 30GB, but you can always love ’em and leave ’em.

    amaysim is powered by the Optus network.

    iiNet phone plans

    Most of us associate iiNet with broadband, but the telco also offers mobile plans powered by the Vodafone network. It’s currently offering 50% off the entire range, but the standout offer is the 14GB plan. Instead of paying $24.99 per month, you’ll pay just $12.50 per month for your first six months. Spending this little on a phone plan typically only gets you a couple of gigs, so having 14GB to play with is a nice bonus.

    Once again, this plan is contract-free, so you’re free to bail whenevs.

    Vodafone phone plans

    If you’re looking for a big data SIM-only plan, Vodafone is hard to beat: $35 per month will get you 50GB. Just be aware that this pricing will only last for your first year with Vodafone, after which you’ll pay $40 per month. Since the plan is contract-free, there’s no issue with leaving when the discount runs out, however. Better yet, you’ll also get three months of free access to Amazon Prime – valued at $6.99 per month.

    If you’re between 18 and 25, and you can save a further 10% off plan fees for your first year, bringing it down to $31.50 per month.

    Alex Choros is Managing Editor at WhistleOut , Australia’s phone and internet comparison website.

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