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      « Manu & Olaf, rien ne va plus ! ». L’édito de Charles SANNA

      eyome · Friday, 21 October, 2022 - 19:57

    Nous sommes des lions qui font "MIAOUUUUU !"

    #France, #Politique, #fr, #Economie

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      France: Le déficit budgétaire s'élève à 149,9 milliards d'euros à fin août

      eyome · Monday, 3 October, 2022 - 18:56

    Un article laconique alors que c'est encore un record 😔

    Un peu d'enthousiasme bon sang !

    "On est les Champions, on est les Champions... On est, on est, on est les Couillons !

    #France, #Politique, #fr, #Economie, #NousSommesEnGuerre.

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      Pouvoir d'achat: les députés adoptent le second volet de mesures

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 27 July, 2022 - 04:37 · 4 minutes

    Une vue générale de l'Assemblée national lors d'une motion de défiance le 11 juillet 2022 REUTERS/Sarah Meyssonnier Une vue générale de l'Assemblée national lors d'une motion de défiance le 11 juillet 2022 REUTERS/Sarah Meyssonnier

    ASSEMBLÉE - Au bout de quatre jours de débats nourris et souvent houleux, l’Assemblée nationale a adopté dans la nuit de ce mardi 26 à ce mercredi 27 juillet le second volet des mesures en soutien au pouvoir d’achat , avant son examen au Sénat.

    Les députés ont voté en première lecture ce projet de budget rectifié pour 2022 par 293 voix contre 146, et 17 abstentions. Les Républicains, auxquels l’exécutif a donné à plusieurs reprises satisfaction, ont soutenu le texte.

    Les députés du Rassemblement national, en revanche, n’ont pas pris part au vote: ils ont quitté l’hémicycle en protestation contre la manière dont l’Assemblée est revenue sur une revalorisation des pensions supplémentaire de 500 millions d’euros pour les pensions de retraite approuvée quelques heures plus tôt.

    Le gouvernement a demandé une seconde délibération pour annuler une mesure qu’il combattait, suscitant un débat houleux, avec des échanges virulents entre le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, la Nupes et le RN.

    Redevance, remise carburant, RTT ...

    Après moult débats, ce premier round, en forme de test pour le gouvernement Borne privé de majorité absolue, est enfin achevé: les députés ont joué les prolongations plus de deux jours durant.

    Vendredi au petit matin, l’Assemblée avait déjà adopté le premier volet, soit les 20 milliards d’euros du projet de loi d’“urgence” en soutien au pouvoir d’achat, face à l’inflation galopante.

    Le projet de budget rectifié ouvre lui 44 milliards d’euros de crédits, dont 9,7 rien que pour financer la renationalisation à 100% d’EDF.

    Poursuite du bouclier tarifaire sur l’énergie et de la remise carburant à 30 centimes le litre en septembre-octobre puis 10 en novembre-décembre, revalorisation du point d’indice des fonctionnaires, et encore suppression de la redevance audiovisuelle étaient également au menu.

    La proposition d’une taxe sur les “superprofits” des grands groupes, faite par la gauche, le RN et mezzo voce par la droite et certains dans la majorité, a été rejetée de justesse.

    Le patron des députés LR Olivier Marleix s’est dit satisfait du “bras de fer positif avec le gouvernement” qui a permis d’engranger une série de mesures sur le carburant, le rachat des RTT par les entreprises , et encore la défiscalisation des heures supplémentaires.

    A l’inverse, la gauche n’a pas voulu soutenir un texte “co-construit avec la droite” et dont “l’égalité et la justice sociale sont les grandes absentes”, selon un porte-parole des députés PS, Arthur Delaporte. Le groupe LFI prévoit un recours au Conseil constitutionnel concernant la suppression de la redevance.

    Côté RN, les élus ont déploré le rejet de leurs propositions de baisses de TVA, et plus globalement la politique économique et fiscale de l’exécutif.

    Bruno Le Maire a confirmé, par ailleurs que “d’ici la fin de l’année 2023 nous mettrons fin aux tarifs réglementés (du gaz) pour être en conformité avec les règles européennes”.

    Camouflet pour la majorité

    Le vote sur ce texte structurant pour les finances publiques a été beaucoup moins large que celui il y a cinq jours sur le premier volet. Il comprenait lui les revalorisations des pensions et prestations sociales, la hausse du plafond de la “prime Macron” et encore, voté dans un rare moment de concorde, la déconjugalisation de l’allocation adultes handicapés.

    Les échanges dans l’hémicycle, qui ont duré huit jours et nuits au total, ont été parfois chaotiques, et la majorité a été mise en minorité à plusieurs reprises.

    Mardi soir, par exemple, l’Assemblée a dénoncé, contre l’avis du gouvernement, l’extraterritorialité américaine qui impose aux citoyens français nés aux Etats-Unis d’y payer des impôts, en approuvant contre l’avis du gouvernement un amendement LR à portée avant tout symbolique.

    La veille, ils avaient déjà approuvé 230 millions d’euros pour les foyers se chauffant au fioul contre l’avis de l’exécutif, qui privilégiait lui une aide de 50 millions d’euros. Bruno Le Maire a d’ailleurs assuré qu’il allait “lever le gage au Sénat” sur cette mesure.

    Samedi, l’Assemblée a décidé d’allouer 120 millions aux départements qui versent le RSA en 2022, pour compenser intégralement la hausse de 4% de cette prestation programmée par l’Etat. La mesure a été obtenue par la conjonction des votes favorables de la gauche, du RN, des LR mais aussi des députés du groupe Horizons . C’est la première fois que ces alliés de la majorité marquaient leur différence.

    À voir également sur Le HuffPost: L’Assemblée est-elle vraiment si indisciplinée? Ces archives permettent d’en douter

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      L'idée d'une taxe sur les entreprises aux "super profits" divise la Macronie

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 21 July, 2022 - 11:11 · 4 minutes

    L'idée d'une taxe sur les entreprises aux L'idée d'une taxe sur les entreprises aux "super profits" divise la Macronie: Bruno Le Maire y est défavorable, mais des députés Renaissance ont déposé un amendement.

    POLITIQUE - Il y a deux sons de cloche dans le camp d’Emmanuel Macron sur la taxation des entreprises qui ont réalisé des “super profits” grâce aux conséquences de la guerre en Ukraine . Au gouvernement, le ton est plutôt défavorable tandis que chez les députés Renaissance, l’idée fait son chemin.

    Mercredi 20 juillet, deux interviews parues à quelques heures d’intervalles sont venues illustrer la fracture du parti présidentiel sur ce sujet. Dans Les Échos , Sacha Houlié, député Renaissance et président de la Commission des Lois a pris le contre-pied de la position tenue par Bercy. “Avec de nombreux députés de la majorité, nous sommes favorables à une contribution exceptionnelle sur les entreprises qui ont dégagé des profits liés à une situation de rente”, explique le député de la Vienne.

    Plus précisément, il souhaite cibler les entreprises des secteurs de l’énergie et des transports. À cause de la guerre en Ukraine, “les groupes pétroliers réalisent aujourd’hui des marges de raffinage de 150 euros la tonne, alors qu’elles s’élèvent en temps normal à 30-50 euros! Idem pour le fret maritime, qui profite d’une situation anormalement avantageuse. Ces deux secteurs émettent, en outre, énormément de carbone. Il y a donc une vraie logique à leur imposer cette contribution”, défend le président de la commission des lois.

    Une question de principe

    Cette logique, le ministre de l’Économie Bruno Le Maire ne la partage pas. S’il reconnaît que “quelques entreprises” de ces deux secteurs “ont fait des bénéfices importants”, le patron de Bercy appelle dans un entretien au Monde à “ne pas céder aux sirènes de l’opposition”. “En France, à chaque difficulté, on répond par une nouvelle taxe. Ce réflexe pavlovien n’améliore en rien le pouvoir d’achat des Français”, défend le ministre.

    Sur franceinfo ce jeudi 21 juillet, le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran,  a lui expliqué la philosophie du gouvernement: “Si on met une taxe, c’est l’État qui la récolte et qui ensuite, quelques mois, quelques années plus tard, va la répartir aux Français selon des mécanismes. Ce que nous souhaitons, c’est que ces contributions se fassent directement, de l’entreprise vers les Français”, explique Olivier Véran.

    Pour Sacha Houlié cependant, cette contribution n’est pas tant liée au pouvoir d’achat qu’à deux autres principes: “la justice sociale” et la “transition écologique”. “On ne peut prospérer sur des activités polluantes et/ou sur la crise”, martèle l’élu Renaissance.

    Un amendement Renaissance déposé

    À ce stade, le gouvernement a simplement demandé aux entreprises de faire “des efforts” et “de premiers engagements ont été pris”, rappelle Olivier Véran, citant la remise de 10 centimes par litre dans les stations Total sur les autoroutes. “Doivent-elles faire plus? Oui, certainement”, reconnaît Bruno Le Maire, et des discussions sont en cours pour “amplifier” les actions, avant des annonces éventuelles “d’ici la fin de la semaine”.

    Le ministre de l’Économie donne rendez-vous pour “faire les comptes” lors du projet de loi de finances 2023. Mais son calendrier risque d’être bousculé par certains élus de la majorité. La députée du Maine-et-Loire a ainsi déposé mardi 19 juillet un amendement au projet de loi finances rectificatives 2022 (examiné à la fin de la semaine) pour taxer les bénéfices 2022 des sociétés concernées, ”à hauteur de 15% de leur résultat imposable”.

    Avec cet amendement, les députés veulent “marquer (leur) exigence quant à l’aboutissement des négociations en cours sur cette contribution. Sans accord à la hauteur de l’enjeu, nous porterons des propositions législatives à l’image de cet amendement”, met en garde la députée de la majorité, Stella Dupont, dans Les Échos.

    Plusieurs anciens ministres issus de l’aile gauche du parti comme Barbara Pompili ou Stéphane Travert la soutiennent. Si un texte d’une telle nature arrive dans l’hémicycle, il pourrait faire consensus: RN et NUPES se sont déjà dits favorables, et même le patron du groupe LR Olivier Marleix a affirmé n’avoir “aucune hostilité” à mettre davantage à contribution les pétroliers.

    À voir également sur Le HuffPost : “Pas de compromis avec vous” : les propos de cette députée LREM ulcèrent l’opposition

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      Au Sri Lanka, les manifestants font irruption à la télévision publique

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 13 July, 2022 - 13:17 · 1 minute

    INTERNATIONAL - Les manifestants qui s’opposent au gouvernement du Sri Lanka ont fait irruption ce mercredi 13 juillet dans les locaux de la principale chaîne de télévision publique, dont ils ont perturbé les programmes, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.

    Un homme non identifié a pénétré dans le studio de la chaîne Rupavahini pendant un direct et a ordonné que seules les informations relatives aux protestations soient diffusées. La transmission a été coupée et remplacée par un programme enregistré.

    Les bureaux du Premier ministre envahis

    Des manifestants ont par ailleurs pénétré dans les bureaux du Premier ministre au Sri Lanka où l’état d’urgence a été instauré après la fuite aux Maldives de son président Gotabaya Rajapaksa .

    La foule a débordé les forces de l’ordre et est entrée dans le bâtiment, pour hisser des drapeaux du pays, alors que les forces de l’ordre avaient tenté de la repousser avec des gaz lacrymogènes et des canons à eau.

    Ces scènes rappellent la prise du palais présidentiel le 9 juillet qui avait obligé Gotabaya Rajapaksa à fuir avant de gagner les Maldives mercredi.

    Les dirigeants sri-lankais sont accusés d’avoir mal géré l’économie, menant à l’incapacité du pays, en manque de devises étrangères, à financer les importations les plus essentielles à une population de 22 millions d’habitants.

    Colombo a fait défaut sur sa dette extérieure de 51 milliards de dollars en avril et est en pourparlers avec le Fonds monétaire international (FMI) pour un éventuel renflouement.

    Le Sri Lanka a presque épuisé ses réserves d’essence. Le gouvernement a ordonné la fermeture des bureaux non essentiels et des écoles afin de réduire les déplacements et d’économiser du carburant.

    À voir également sur Le HuffPost: Deux otaries font fuir les vacanciers d’une plage de Californie

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      Après les "Uber Files", Macron a fait sienne une formule attribuée à Chirac

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 12 July, 2022 - 14:16 · 3 minutes

    "Ça m'en touche une..." Macron a fait sienne une formule attribuée à Chirac pour répondre aux UberFiles

    POLITIQUE - Qu’en pense Gérard Majax ? Emmanuel Macron a ressorti une vieille expression, un brin grivoise, attribuée à Jacques Chirac , pour montrer à que le scandale autour des “Uber Files” ne l’atteint pas. Il est question d’en toucher l’une, sans faire bouger l’autre.

    “Moi je suis extrêmement fier”, a-t-il dit au sujet de ses échanges avec les représentants de l’entreprise américaine de VTC lorsqu’il était ministre de l’Économie. “Il est très difficile de créer des emplois sans entreprises ni entrepreneurs”, a ironisé le chef de l’Etat en marge d’un déplacement dans l’Isère ce mardi 12 juillet, disant “assume(r) à fond” son action . “Je le referais demain et après-demain.”

    Et qu’importe si les révélations de la presse font hurler l’opposition de gauche. “Je conçois tout à fait qu’ils veuillent s’attaquer à ma pomme, ça fait cinq ans et demi je suis habitué”, a-t-il ainsi argué face à un journaliste de la chaîne franceinfo, comme vous pouvez le voir ci-dessous. Et d’ajouter: “rès sincèrement, comme disait l’un de mes prédécesseurs, ça m’en touche une sans bouger l’autre.”

    Une expression très appréciée par Jacques Chirac, et son sens de la formule, en son temps, selon les nombreux récits de son vieux compagnon de route Jean-Louis Debré. Un ton badin, repris par Emmanuel Macron, qui ne cache pas son agacement face aux attaques de la NUPES .

    Vers une commission d’enquête?

    “Ils ont perdu leur boussole (...). Quand on croit à l’égalité des chances il faut se battre pour que des jeunes qui viennent des milieux difficiles aient des emplois. Ça n’a jamais été leur combat, moi ça a été le mien. Des jeunes qui votent pour eux aujourd’hui ont eu leur emploi grâce à ça”, a encore avancé le locataire de l’Elysée ce samedi à propos de ses anciennes tractactions (polémiques) avec Uber.

    Dans le cadre des “Uber Files”, une enquête reposant sur des milliers de documents internes, Le Monde s’est intéressé aux liens entretenus par la firme américaine avec Emmanuel Macron quand il était à Bercy entre 2014-2016 et a conclu à l’existence d’un “deal” secret entre les deux parties.

    Le quotidien fait état de réunions dans le bureau du ministre, de nombreux échanges (rendez-vous, appels ou SMS) entre les équipes d’Uber France et Emmanuel Macron ou ses conseillers.

    Un scandale d’Etat, pour nombre d’élus de la NUPES. L’alliance des gauches à l’Assemblée réclame une commission d’enquête pour faire la lumière sur le dossier. La droite reste discrète... mais pourrait finalement se joindre à la partie, selon les dires d’Aurélien Pradié, le secrétaire général des LR. “Y a-t-il eu des contreparties?”, se demande-t-il sur Cnews en appelant, lui aussi, à une enquête parlementaire... et judiciaire.

    Si cela arrivait, Emmanuel Macron pourrait à nouveau puiser dans le répertoire chiraquien. “Les emmerdes, ça volent toujours en escadrille”, par exemple.

    À voir également sur Le HuffPost: Quand le nouveau ministre Christophe Béchu s’opposait au mariage pour tous

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      En plein "Uber files", Macron à Grenoble pour vanter le "succès" de sa politique économique

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 12 July, 2022 - 04:45 · 3 minutes

    Emmanuel Macron photographié lors d'une visioconférence Emmanuel Macron photographié lors d'une visioconférence "Choose France" en janvier 2021 (Photo by Ludovic MARIN / POOL / AFP)

    POLITIQUE - C’est l’histoire de deux actualités qui se télescopent. La première concerne les révélations au sujet du rôle controversé joué par Emmanuel Macron lorsqu’il était ministre de l’Économie pour aider Uber à s’implanter en France. La deuxième porte sur la cinquième édition du sommet “Choose France” , rendez-vous pro-business d’envergure instauré par le chef de l’État en 2018 et visant à inciter les acteurs économiques à investir dans l’hexagone.

    Ce mardi 12 juillet, c’est dans le cadre de cet événement qui s’est ouvert lundi à Versailles que le président de la République se rend du côté de Grenoble, à Crolles précisément, pour célébrer un investissement record sur le site de STMicroelectronics: 5,7 milliards d’euros.

    La multinationale franco-italienne spécialisée dans la fabrication de puces électroniques va construire avec un autre géant (américain) du secteur, GlobalFoundries une nouvelle usine sur place. Avec, à la clé, la création d’un millier d’emplois et la promesse d’une souveraineté industrielle sur cette filière aussi sensible que stratégique.

    “Un succès majeur”, se félicite l’Élysée, qui voit dans ce déplacement le résultat “de la politique d’investissement promue par le président de la République” visant à “créer de l’emploi dans les territoires” en travaillant directement avec les entreprises. Ce qui va au-delà du seul site de Crolles, puisque la présidence revendique sur tout le territoire 4000 “emplois pérennes” obtenus via Choose France depuis le mois janvier.

    “Le pays le plus attractif d’Europe”

    Une politique qui “produit des résultats”, insiste-t-on de même source, dans ce qui sonne comme une allusion discrète aux critiques adressées à Emmanuel Macron au sujet de sa proximité avec Uber au moment où la start-up cherchait à s’implanter à s’implanter en France dans des conditions favorables. Ce discours fait écho aux justifications brandies par la Macronie pour répondre à ces attaques, consistant à répéter que le volontarisme du chef de l’État pour attirer des investissements étrangers sur le territoire national n’est pas vraiment un scoop.

    “Si le nombre de projets et d’emplois issus d’investissements internationaux atteint des niveaux records, c’est grâce à la politique économique mise en place par Emmanuel Macron depuis 2017. Soyons fiers de ces résultats”, a tweeté le ministre de l’Économie Bruno Le Maire, qui, selon Le Monde , s’est lui-même personnellement impliqué dans le projet de Crolles. “C’est le plus grand investissement industriel des dernières décennies hors nucléaire et un grand pas pour notre souveraineté industrielle”, a-t-il ajouté.

    “Pour la 3e année consécutive, la France est le pays le plus attractif d’Europe”, se félicite de son côté la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher. Une façon de répondre, sans avoir l’air d’y toucher, aux oppositions qui dépeignent Emmanuel Macron en représentant d’intérêts privés étrangers.

    À voir également sur Le HuffPost: Il n’y a que deux chefs d’opposition que Borne n’a pas cité et ça en dit long

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      Dans cet aquarium au Japon, les pingouins refusent qu'on baisse la qualité de leur poisson

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 8 July, 2022 - 16:38 · 2 minutes

    INSOLITE - La hausse des prix et des matières premières n’a pas uniquement touché les entreprises et les ménages au Japon . Les pingouins et les loutres de l’aquarium d’Hakone-en, situé au sud-ouest de Tokyo , en ont ressenti les effets jusque dans leurs assiettes. Leur nourriture habituelle, du chinchard japonais ( aji ) gras a été remplacée par du maquereau tacheté ( saba ) moins cher. Et, comme vous pouvez le voir sur la vidéo ci-dessus , ça ne leur plaît pas du tout.

    Les soigneurs qui s’occupent d’eux au quotidien et les nourrissent sont obligés de faire preuve d’inventivité. Les pingouins refusent de manger le maquereau qu’on leur propose et détournent carrément la tête.

    Le saba représente une part croissante de l’alimentation des animaux de l’aquarium en raison de l’augmentation du prix du chinchard. La hausse est due à la hausse des coûts d’importation et des prix de l’énergie causée par les tensions sur l’économie mondiale dues à la pandémie de Covid et à la guerre en Ukraine .

    Le prix du chinchard a augmenté de 20 à 30% depuis l’année dernière contrairement à celui du maquereau qui reste contrôlé. L’aquarium, qui abrite 32.000 animaux dont des requins et des phoques, a été touché par l’inflation comme le reste du pays et de nombreuses économies mondiales. Dans le même temps, le coût de fonctionnement de l’aquarium a aussi augmenté de 20% en un an.

    Faire des économies

    Pour réduire les coûts, le zoo a opté pour une option moins chère, le maquereau. Cette dernière permet également de ne pas dépasser le budget consacré à la nourriture des animaux.

    Les vingt pingouins, cinq phoques et loutres de l’aquarium ont donc commencé à manger du maquereau, en mai dernier. À ce moment-là, cette protéine moins chère ne remplaçait que 10% de leur alimentation de base. Au fur et à mesure, avec l’inflation continuant de monter, ce poisson bon marché risque de représenter 30 à 40% de l’alimentation des mammifères.

    Pour réaliser des économies, le zoo a progressivement mis en place des restrictions. Les lumières sont éteintes le soir et la fréquence de nettoyage des cuves de filtration a été réduite, dans la mesure où cela ne nuit pas aux animaux. Mais, pour l’instant, l’aquarium n’envisage pas de répercuter la hausse des prix sur le prix du billet des visiteurs.

    À voir également sur Le HuffPost: En Australie, il repousse un crocodile avec des coups de poêle