• chevron_right

      « On attend toujours d’être indemnisé » : la galère des entreprises victimes de rançongiciel

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 26 May, 2022 - 17:01

    Le nombre d'entreprises touché par ce type d'attaque explose depuis deux ans, et le fait d'être assuré ne garantit pas d'être indemnisé. [Lire la suite]

    Abonnez-vous aux newsletters Numerama pour recevoir l’essentiel de l’actualité https://www.numerama.com/newsletter/

    • Co chevron_right

      Comment mieux gérer vos réunions

      Alain Goetzmann · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 4 March, 2022 - 03:30 · 2 minutes

    Aujourd’hui, les participants aux réunions viennent bardés de leur portable , tablette, phablette ou smartphone, dans le but légitime d’enregistrer plus rapidement les notes à prendre. En réalité ils en profitent pour consulter subrepticement les informations entrantes, mails, SMS et autres alertes Internet .

    Gérer les réunions pour améliorer la productivité de l’entreprise

    Les réunions devraient être un moyen d’améliorer la productivité de l’entreprise. Quand on réunit toute une équipe dans une pièce pendant une heure pour travailler ensemble sur un sujet important, il vaudrait mieux que le retour sur investissement soit positif.

    L’essentiel de la valeur ajoutée d’une réunion est de permettre à ses participants de se concentrer ensemble pour élaborer des solutions et mettre en œuvre des plans d’action. Les discussions devraient être ouvertes et les échanges fructueux. Or, cette fusion ne peut pas se produire lorsque les différents cerveaux autour de la table se trouvent sur des planètes différentes en train de vérifier leur messagerie ou de réfléchir aux réponses à apporter aux sollicitations apparues à l’instant sur leur engin électronique.

    Ce n’est pas une question de génération. C’est la question de savoir si, dans une réunion, nos compagnons électroniques peuvent servir à autre chose qu’au traitement des sujets à l’ordre du jour.

    Assurer la discipline

    Nous ne pouvons faire qu’une chose à la fois et perdons énormément en efficacité lorsque nous tentons de devenir multi-tâches. Quelques-uns d’entre nous souffrent même d’une addiction à la technologie et aux nouvelles informations, qui nous détournent de ce qui se dit autour de nous. Il est impossible alors de se concentrer pour participer aux débats, les commentaires clés n’y sont pas entendus et les nuances des différentes interventions totalement ignorées. Les autres participants peuvent alors, à juste titre, se sentir maltraités et même insultés, considérer que ces réunions indisciplinées sont une perte de temps, qu’au lieu d’être résolus les problèmes posés ont été amplifiés.

    Que faire alors ? Le mieux est d’instaurer une discipline. Moins de réunions, des réunions moins longues et l’obligation de garder les outils électroniques dans les poches, éteints. Bref rien qui puisse détourner l’attention des participants. Si le sujet exige une réunion plus longue, instaurez le 50/10. Cinquante minutes de concentration, dix minutes de pause pour consulter mails et messages. Nous sommes à l’âge de l’information reine et disposons d’outils puissants. C’est bien. Mais gardons-en le contrôle et surtout, sachons ne pas nous laisser distraire lorsque notre cerveau doit s’exprimer avec clarté et interagir intelligemment en collectivité.

    Léonard de Vinci avait raison quand il affirmait que « La rigueur vient toujours à bout de l’obstacle » .

    Sur le web

    • Co chevron_right

      Le Code du travail : le troisième frein à l’entreprise

      Claude Goudron · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Monday, 22 February, 2021 - 04:45 · 5 minutes

    code du travail

    Par Claude Goudron.

    Tout d’abord une petite anecdote. C’était en 2007, Nicolas Sarkozy venait d’être élu et une de ses premières annonces a été : « nous allons dépoussiérer le Code du travail. »

    J’ai bien entendu applaudi à cette nouvelle et j’ai patiemment attendu le passage à l’acte. C’est donc en 2008 que ce Code du travail dépoussiéré est arrivé, une experte du droit du travail est venue nous le présenter.

    Je lui ai posé une question préalable :
    « Pouvez-vous aller à la dernière page et nous donner le numéro de celle-ci ?
    Elle m’a répondu :
    « 3200 »

    La version avant dépoussiérage ne comptait que 2800 pages. Sans commentaire !

    Une exception française

    Le Code du travail en Suisse est inférieur à 200 pages, au Danemark il n’y en a pas et une récente étude européenne confirme que c’est justement dans ce pays que les employés se sentent le plus en sécurité, principalement grâce à la flexisécurité mise en place depuis 20 ans.

    Le Code pénal français compte 3041 pages, celui du travail 3800 pages, uniquement pour les conflits en entreprise privée. Pour le passage aux 35 heures ce ne sont pas moins de 400 pages qui y ont été ajoutées. Une histoire de fous !

    Le même Code du travail pour les TPE et au Cac 40

    À part quelques obligations liées au passage des différents seuils d’effectifs , le Code du travail s’applique à tous les salariés… mais pas aux fonctionnaires !

    Nul n’étant censé ignorer la loi, le petit artisan perd un temps fou dans ce maquis réglementaire et se trouve dans l’illégalité en permanence et sans le savoir.

    Exemple de stupidité du Code du travail avec la création en 2001 du document unique de sécurité en entreprise . Un chef d’entreprise ne peut pas y être opposé. Le problème est que ce document s’ajoute aux 72 registres qu’une entreprise se doit par décret de tenir à jour et mettre à la disposition de l’inspection du travail à partir de dix salariés.

    Devançant l’incrédulité des représentants de l’État invités par notre député Michel Zumkeller pour le projet CIEL du ministre Renaud Dutreil , j’avais au préalable demandé à mon responsable qualité d’en faire la liste avec numéro, date du décret et décret d’application.

    Après l’avoir découvert, le représentant de l’État m’a répondu : « Mais on n’a pas pu faire ça ! »

    Mais si, ils l’ont fait et en ont même ajouté depuis !

    Un seuil mortifère à 50 salariés

    Une des plus stupides obligations du Code du travail est le passage de 49 à 50 salariés. En effet, il déclenche une liste de contraintes aussi impressionnantes que décourageantes.

    Parmi les contraintes que chacun peut découvrir sur un site internet (la liste est trop longue pour les citer ici), le plus démotivant est le surcoût de 4 % supplémentaire sur la masse salariale.

    Une conséquence de cette stupidité est qu’en France on compte 1600 entreprises à 49 salariés et seulement 600 à 50 salariés. Donc 1000 entreprises bloquent leur développement pour ne pas passer ce cap ! (source Insee)

    Des textes d’un autre âge qu’on ne peut supprimer

    Il existe dans notre Code du travail certaines aberrations qui ont la vie dure.

    On peut citer le cas des boulangers qui ont obligation de fermer leur magasin un jour par semaine alors que le pain peut être vendu 7 jours sur 7 dans un magasin d’alimentation.

    Aucune boisson alcoolisée autre que le vin, la bière, le cidre et le poiré n’est autorisée sur le lieu de travail, à boire « sans modération » car aucune limite n’est imposée.

    Les mineurs n’ont plus le droit de monter sur un escabeau … Mais ils peuvent faire de l’alpinisme.

    Les salariés qui travaillent pendant leurs congés peuvent être poursuivis… C’est tellement mieux de travailler au noir.

    Des locaux dédiés à l’allaitement sont toujours obligatoires pour les entreprises de plus de 100 salariés … Mais pas le droit de venir avec un bébé.

    Les 12 000 articles du Code du travail, qu’aucun patron n’est censé ignorer, ne doivent pas manquer d’autres contradictions !

    Code du travail et prudhommes

    Les deux sont extrêmement liés et là encore c’est une exception française. Nous avons vu que l’URSSAF disposait de sa propre  juridiction ; le Code du travail aussi, en l’occurrence, le conseil de Prud’hommes .

    En France on aime bien complexifier les choses jusqu’à ce qu’elles deviennent des  monstres administratifs d’une lourdeur qui n’a aucun équivalent dans le monde judiciaire des pays évolués.

    Le conseil des Prud’hommes se nourrit des complexités de notre Code du travail. Un chef d’entreprise qui n’a pas encore eu affaire à lui ne peut pas comprendre sa  nuisance ; et dans le cas contraire il prie pour ne pas y retourner, quitte à faire des concessions que les syndicats maitrisent bien.

    La seule et première fois que j’ai été aux Prud’hommes j’ai été roulé dans la farine : pour un motif non contestable j’ai choisi de ne pas trop charger un salarié dans le cadre de sa démission afin qu’il ne soit pas handicapé pour trouver un autre emploi… ça m’a coûté à l’époque 40 000 francs.

    Pour les rares cas de licenciements suivants, l’accompagnateur du salarié cherchait systématiquement à me faire dire que j’avais l’intention de le licencier. C’est un piège grossier mais que peu de chefs de petites entreprises connaissent, car admettre cette intention signifie que le procès est perdu, quel que soit le motif du licenciement. En effet, aux Prud’hommes on juge majoritairement sur la forme. La loi m’obligeant à un délai de réflexion de 48 heures, j’aurais perdu d’avance. J’en étais venu à lire bêtement un texte pré-imprimé et ne surtout pas en dévier.

    En conclusion

    Il faut supprimer le Code du travail dans sa version actuelle, le revoir en partant d’une feuille blanche et en limiter le nombre de pages à 200.

    Il faut supprimer cette exception française que sont les Prud’hommes, qui datent de Napoléon, et utiliser la voie judiciaire classique.

    Tout le monde serait gagnant et cela libérerait des finances que l’on pourrait transférer à notre justice qui en manque cruellement.

    En France, avec à ce jour 3800 pages, nous restons en conflit permanent, y compris pendant la pandémie.

    • chevron_right

      Contact publication

      CNT 31 · Thursday, 17 September, 2020 - 06:35

    https://upload.movim.eu/files/7b4a27eed4cd52381dd25ae94920402e838b41d3/7cJpryDrO7zb4h6vwvOISMgkwa8lCqxZQWHCUkOj/1024px-Airbus_Lagard%C3%A8re_-_A%C3%A9roconstellation.jpg

    #Airbus : le ton monte sur la menace des #licenciements secs

    https://www.europe1.fr/economie/airbus-les-departs-volontaires-seront-insuffisants-annonce-le-pdg-aux-salaries-3992002

    https://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/haute-garonne/toulouse/airbus-face-aux-difficultes-du-groupe-departs-contraints-pourraient-etre-envisages-1873256.html

    Le patron d’Airbus cherche à préparer les esprits à des départs contraints. Airbus s’est gavé pendant des années sur le dos des salarié-e-s : 2,36 milliard d’euros de bénéfice net en 2017, 3 milliard en 2018. En 2019, les bénéfices de l’ #entreprise ont été plombés par des amendes pour #corruption (3,6 milliards d’euros), cela n’avait pas empêché une augmentation de 9% des dividendes. Fin 2019 la trésorerie net s’élevait toujours à 12 milliards d’euros. La richesse il y en a et c’est nous qui la produisons.

    Salarié-e-s des donneurs d’ordre et des sous-traitants : même #crise, même #industrie, même combat.

    Ne négocions pas la longueur de la chaîne. 0 licenciement, 0 baisse de salaire. Imposons par la #lutte nos solutions : contrôle ouvrier sur la #production et les aides publiques, baisse du temps de #travail, blocage des dividendes, reconversion industrielle…

    #syndicalisme #économie #social #politique #société #actualité #toulouse #haute-garonne #chômage #capitalisme
    • At chevron_right

      Gérer plusieurs parcs informatiques (Partie 0 : Présentation)

      raspbeguy · pubsub.gugod.fr / atomtest · Sunday, 18 October, 2015 - 22:00 · 3 minutes

    Salut à tous, Voici le premier tutoriel en temps réel présenté sur Hashtagueule. Il s'agit tout simplement de résoudre un problème "costaud" en plusieurs parties, qui sont publiées à chaques fois que l'auteur achève de formaliser son idée. Cette idée de temps réel reflète le fait que l'auteur travai...

    Salut à tous,

    Voici le premier tutoriel en temps réel présenté sur Hashtagueule. Il s'agit tout simplement de résoudre un problème "costaud" en plusieurs parties, qui sont publiées à chaques fois que l'auteur achève de formaliser son idée. Cette idée de temps réel reflète le fait que l'auteur travaille sur la solution en même temps qu'il écrit le guide.

    Que les soucieux se rassurent, cela ne veut pas dire que les solutions présentées sont bancales ou non testées. À chaque partie publiée correspond beaucoup d'heures d'essais et de prototypage. Ne vous inquiétez pas, on sait rester pro chez Hashtagueule :)

    Il va sans dire que vous êtes encouragés à partager vos propres solutions, demander des précisions, suggérer un détail ou réagir pour n'importe quel motif, en commentaires, sur les forums ou bien par IRC. Nous vous écouterons avec le plus grand plaisir et le plus grand intérêt.

    Venons-en au fameux problème auquel j'ai été confronté il y a quelques semaines. Sa formulation en elle même est assez délicate, et les contraintes sont assez, comment dire, "contraignantes". Enfin bon, essayons tout de même.

    Mettre en place une administration collective de plusieurs réseaux virtuels dont les adressages IP sont indépendants et possiblement conflictuels

    Là. Je vous avais dit que la formulation était indigeste. Si vous avez tout compris du premier coup je vous en félicite. Pour les autres comme moi, voici une petite explication grosso modo.

    • Il s'agit de donner un accès facilement révocable indépendamment à plusieurs personnes à plusieurs parcs informatiques. Une personne ayant été exclue de ce groupe ne doit plus pouvoir s'y connecter après coup.
    • Les parcs informatiques sont gérés par des personnes indépendantes qui ont mis en place la plupart du temps un VPN pour que nous puissions nous y connecter. Ces VPN étant eux-mêmes indépendants, les conflits IP sont monnaies courantes (beaucoup d'adresses en 192.168.0.0/16 ou 172.16.0.0/16 par exemple).
    • Les technologies de méthodes d'accès sont différentes d'un parc à l'autre. Par exemple on peut avoir du OpenVPN, VPNC, IPsec, etc. sur les VPN, et pour la connexion SSH on peut avoir de l'identification par clef ou par mot de passe.

    Voilà, ça fait pas mal de contraintes, hein ? Ben devinez quoi, c'est l'objet de notre tutoriel.

    La question qu'il est légitime de se poser à ce niveau, c'est : Mais Raspbeguy, à quoi ça peut bien servir, et pourquoi tu gaspille notre temps avec des inepsies pareilles ? À cela je vous répondrai que ce genre de problèmes ne sort pas spontanément de mon esprit dérangé, mais bel et bien d'une situation réelle, et en l'occurence bloquante. Les gens capables de concevoir des horreurs pareilles sont les entreprises offrant un support technique informatique à d'autres entreprises ayant une infrastructure relativement imposante. Si vous n'êtes pas dans ce cas, ne fermez pas tout de suite votre onglet ; si vous êtes un peu curieux, ce tutoriel pourrait vous donner des idées, car au delà d'une application précise, il permet de comprendre un peu plus certains mécanismes réseau et/ou Linux. Donc tout le monde y gagne :)

    Et ce tutoriel, ma foi, nous ne le commencerons pas aujourd'hui. Non non. Mais bientôt je vous le promet. J'ai réfléchi longuement à ce problème pour le décomposer en sous-parties. Voici mon plan d'attaque :

    1. La gestion de conflits LAN to LAN : résoudre les problèmes de routage induits par les conflits exposés ci dessus.
    2. L'uniformisation des accès VPN, ou comment éviter à l'utilisateur de se prendre la tête avec 50 commandes faisant toutes la longueur de mon bras.
    3. La gestion des droits : autoriser un groupe de personnes à effectuer des actions précises et uniquement ces actions.

    Donc je vous donne rendez-vous pour la première partie de ce tutoriel consacrée à la mise en place du terrain fertile pour y planter nos tunnels. En attendant, dites-nous ce que vous en pensez :)

    • Ha chevron_right

      Gérer plusieurs parcs informatiques (Partie 0 : Présentation)

      raspbeguy · pubsub.gugod.fr / hashtagueule · Sunday, 18 October, 2015 - 22:00 · 3 minutes

    Salut à tous, Voici le premier tutoriel en temps réel présenté sur Hashtagueule. Il s'agit tout simplement de résoudre un problème "costaud" en plusieurs parties, qui sont publiées à chaques fois que l'auteur achève de formaliser son idée. Cette idée de temps réel reflète le fait que l'auteur travai...

    Salut à tous,

    Voici le premier tutoriel en temps réel présenté sur Hashtagueule. Il s'agit tout simplement de résoudre un problème "costaud" en plusieurs parties, qui sont publiées à chaques fois que l'auteur achève de formaliser son idée. Cette idée de temps réel reflète le fait que l'auteur travaille sur la solution en même temps qu'il écrit le guide.

    Que les soucieux se rassurent, cela ne veut pas dire que les solutions présentées sont bancales ou non testées. À chaque partie publiée correspond beaucoup d'heures d'essais et de prototypage. Ne vous inquiétez pas, on sait rester pro chez Hashtagueule :)

    Il va sans dire que vous êtes encouragés à partager vos propres solutions, demander des précisions, suggérer un détail ou réagir pour n'importe quel motif, en commentaires, sur les forums ou bien par IRC. Nous vous écouterons avec le plus grand plaisir et le plus grand intérêt.

    Venons-en au fameux problème auquel j'ai été confronté il y a quelques semaines. Sa formulation en elle même est assez délicate, et les contraintes sont assez, comment dire, "contraignantes". Enfin bon, essayons tout de même.

    Mettre en place une administration collective de plusieurs réseaux virtuels dont les adressages IP sont indépendants et possiblement conflictuels

    Là. Je vous avais dit que la formulation était indigeste. Si vous avez tout compris du premier coup je vous en félicite. Pour les autres comme moi, voici une petite explication grosso modo.

    • Il s'agit de donner un accès facilement révocable indépendamment à plusieurs personnes à plusieurs parcs informatiques. Une personne ayant été exclue de ce groupe ne doit plus pouvoir s'y connecter après coup.
    • Les parcs informatiques sont gérés par des personnes indépendantes qui ont mis en place la plupart du temps un VPN pour que nous puissions nous y connecter. Ces VPN étant eux-mêmes indépendants, les conflits IP sont monnaies courantes (beaucoup d'adresses en 192.168.0.0/16 ou 172.16.0.0/16 par exemple).
    • Les technologies de méthodes d'accès sont différentes d'un parc à l'autre. Par exemple on peut avoir du OpenVPN, VPNC, IPsec, etc. sur les VPN, et pour la connexion SSH on peut avoir de l'identification par clef ou par mot de passe.

    Voilà, ça fait pas mal de contraintes, hein ? Ben devinez quoi, c'est l'objet de notre tutoriel.

    La question qu'il est légitime de se poser à ce niveau, c'est : Mais Raspbeguy, à quoi ça peut bien servir, et pourquoi tu gaspille notre temps avec des inepsies pareilles ? À cela je vous répondrai que ce genre de problèmes ne sort pas spontanément de mon esprit dérangé, mais bel et bien d'une situation réelle, et en l'occurence bloquante. Les gens capables de concevoir des horreurs pareilles sont les entreprises offrant un support technique informatique à d'autres entreprises ayant une infrastructure relativement imposante. Si vous n'êtes pas dans ce cas, ne fermez pas tout de suite votre onglet ; si vous êtes un peu curieux, ce tutoriel pourrait vous donner des idées, car au delà d'une application précise, il permet de comprendre un peu plus certains mécanismes réseau et/ou Linux. Donc tout le monde y gagne :)

    Et ce tutoriel, ma foi, nous ne le commencerons pas aujourd'hui. Non non. Mais bientôt je vous le promet. J'ai réfléchi longuement à ce problème pour le décomposer en sous-parties. Voici mon plan d'attaque :

    1. La gestion de conflits LAN to LAN : résoudre les problèmes de routage induits par les conflits exposés ci dessus.
    2. L'uniformisation des accès VPN, ou comment éviter à l'utilisateur de se prendre la tête avec 50 commandes faisant toutes la longueur de mon bras.
    3. La gestion des droits : autoriser un groupe de personnes à effectuer des actions précises et uniquement ces actions.

    Donc je vous donne rendez-vous pour la première partie de ce tutoriel consacrée à la mise en place du terrain fertile pour y planter nos tunnels. En attendant, dites-nous ce que vous en pensez :)