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      C’est dans les volcans qu’on se prépare à explorer Vénus

      news.movim.eu / Numerama · Sunday, 17 September, 2023 - 16:05

    Lave trouvée dans le Holuhraun, en Islande

    Une expédition organisée par la Nasa a été menée en Islande cet été 2023. Son but : préparer la mission VERITAS, qui doit décoller à destination de Vénus. Ce type de séjour est essentiel pour savoir bien utiliser les instruments qui iront sur une autre planète. [Lire la suite]

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      La Nasa a retrouvé sa sonde Voyager 2, qui émet de nouveau

      news.movim.eu / Numerama · Saturday, 5 August, 2023 - 09:12

    Après avoir perdu tout contact avec sa sonde interstellaire Voyager 2 à la suite d'une erreur de manipulation, la Nasa annonce être parvenue à rétablir la connexion. C'est une bonne nouvelle, alors que certains pensaient Voyager 2 perdue pendant des mois. [Lire la suite]

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      Les larmes du royaume de Zelda

      news.movim.eu / Korben · Wednesday, 21 June, 2023 - 12:00 · 3 minutes

    — Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

    Vous êtes forcément au courant de la sortie du nouveau Zelda : Tears of the Kingdom . Vous êtes forcément au courant, dans les grandes lignes du moins, qu’il s’agit d’une suite à l’excellent Breath of the Wild , avec pas mal de nouveaux trucs… Non franchement, soyons honnêtes, tout a été dit dessus… Sauf que je ne vous ai pas donné mon avis, et en quoi ce nouvel opus a réussi à me surprendre et m’émerveiller de nouveau ! Alors c’est parti !

    Avant son arrivée dans les magasins IRL, en ligne voire virtuels, on ne savait pas énormément de choses sur Zelda TotK : c’est le même univers que le précédent, y a des îles flottantes (mon dessert préféré), on peut construire des machins en assemblant des bidules… Et c’est à peu près tout. Ah oui, on a de nouveaux pouvoirs aussi. Sauf que ça change tout !

    Grâce à l’infiltration par exemple, on appréhende différemment l’exploration des lieux ! Grâce à l’amalgame, on fusionne des armes/boucliers, ça renouvelle pas mal les affrontements ! Grâce à la rétrospective, oulalah, on fait plein de choses auxquelles, à mon avis, les développeurs n’avaient pas pensé. x) Et je ne parle pas du pouvoir phare, l’emprise, qui permet de construire tout et n’importe quoi. Vraiment n’importe quoi !

    Ça pourrait être un joli bordel, être compliqué à utiliser, et ça ne l’est pas. Bon ok, parfois on cherche le bon bouton (normal vu le nombre d’actions possibles), mais tout s’utilise de manière intuitive, c’est impressionnant. Le savoir-faire de Nintendo n’est plus à prouver, que ce soit dans le gameplay pur ou dans les phases d’exploration, c’est une MASTERCLASS comme disent les jeunes.

    Le jeu nous guide sans qu’on s’en rende forcément compte ; en laissant un objet traîner sur notre chemin, en mettant en évidence, de manière naturelle, des éléments que notre cerveau va enregistrer… C’est littéralement de l’ inception . 🤯 L’équilibre entre le côté familier de l’univers (bah oui, on se retrouve malgré tout sur la même carte !) et la nouveauté (plein de changements + sous-terrains + ciel) aurait pu être casse-gueule, mais là aussi, vous l’avez deviné, c’est une réussite.

    Avec ce type de gameplay émergent , soyons honnêtes, le scénario reste secondaire. Ça n’empêche pas l’intrigue d’être mystérieuse et prenante, proposant quelques surprises et des personnages attachants. Les rencontres sont nombreuses, y a plein de petites quêtes secondaires sympa comme tout, clairement y a de quoi faire, le contenu est gigantesque !

    La patte graphique est toujours superbe, avec une ambiance un peu + sombre, le jeu est fluide et se contrôle super bien… D’ailleurs, techniquement c’est assez balèze : on peut assembler plein de bidules ensemble, leurs propriétés physiques sont respectées, avec aussi les spécificités de chaque matière/élément (bois qui prend feu par exemple), et surtout on peut faire revenir en arrière n’importe quel objet, franchement c’est n’importe quoi ! 🤩 C’est fou que le matos daté de la Switch soit capable de faire tourner ça.

    Je n’ai même pas parlé des musiques ni rien, alors que c’est fabuleux, mais bref. Je me doutais que le jeu serait cool. Ils ont passé 7 ans dessus, ils ont pris le temps de bien faire, tout en bénéficiant d’une base extrêmement solide. Et ce qui me tue, c’est que je le trouve encore mieux que ce que je pouvais imaginer. Plein de bonnes surprises, plein de bonnes idées, je m’amuse de fou alors bien sûr, je suis obligé de lui mettre la note ultime de ❤️❤️❤️❤️❤️/5

    Acheter Zelda: Tears of the Kingdom sur Amazon (c’est un ordre !)

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      Tchia : ton airMUSICAL NOTE sous les tropiques

      news.movim.eu / Korben · Tuesday, 11 April, 2023 - 16:23 · 3 minutes

    — Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

    Envie de changer d’air ? De découvrir de nouveaux paysages, une nouvelle culture, de nouvelles coutumes ? Ça tombe bien car Tchia , le premier jeu d’Awaceb disponible sur Playstation 4/5 et PC ( Epic Game Store , bientôt Steam ), nous propose un voyage dans une contrée imaginaire fortement inspirée de la Nouvelle-Calédonie, avec sa faune, sa flore, sa musique, sa cuisine, et une pincée de magie…

    Tchia , c’est le nom de la jeune héroïne trop mignonne qu’on incarne tout au long de l’aventure, à la recherche de son père, enlevé juste après la séquence de tuto… C’est ballot. 👏😅 On part en vadrouille avec un ukulélé, un lance-pierre et plein de bonne volonté, à l’assaut de cet open world tropical !

    Alors on peut courir, nager, se balancer d’arbre en arbre, planer, utiliser notre radeau ou escalader avec nos petites mains, c’est super fun mais il y a plus pratique : prendre le contrôle des animaux ! Un poisson sera beaucoup plus rapide pour traverser une étendue d’eau, un oiseau nous permettra d’atteindre des hauteurs insoupçonnées… En fait, tout ce qui est visible à l’écran est accessible ! Comme dans Zelda BotW (hors-sujet : bientôt la suite !).

    En route pour l'aventure !

    D’ailleurs, la comparaison ne s’arrête pas là : si les mouvements et la mécanique d’exploration sont très similaires, on retrouve aussi le système de « camps » ennemis ou bien les temples pour étendre nos pouvoirs. En fait, c’est un genre de Zelda mais sans aucun point frustrant : les combats sont moins nombreux et très simples, tout est fluide et agréable, satisfaisant, et en dehors de certaines phases vers la fin, on ressent peu de tension.

    Au-delà de l’exploration et des énigmes (le cœur du jeu), il y a des petits challenges (courses, plongeons…) qui permettent de débloquer des cosmétiques, notamment de nouveaux ukulélés. On peut s’assoir au bord d’un feu de camp et gratter quelques accords à tout moment, ou manger de bons petits plats typiques. 🙂 Tout est zen et charmant.

    Le ukulélé !

    Niveau contenu, c’est assez fourni et le postgame invite à revenir se balader dans les îles. J’ai adoré la quête de chasse au trésor, et je le précise car je crois que c’est un objectif secondaire. Et d’ailleurs, la carte n’indique pas notre position, il faut affûter son sens de l’orientation et apprendre à se repérer (même s’il est possible de « tricher » en mettant un marqueur sur la map 🤫).

    C’est une aventure qu’on parcourt à son rythme, on peut rusher ou prendre son temps, en se laissant emporter par l’ambiance ensoleillée et apaisante. Graphiquement, c’est pas d’une finesse incroyable mais entre les effets de lumière / reflets et la profondeur de champ, c’est super joli, on en prend plein les mirettes. Y a un appareil photo à l’ancienne qui est intégré : il faut faire les réglages manuellement et développer soi-même la pellicule pour voir les photos ! Les musiques elles aussi sont excellentes (j’ai failli verser ma petite larme à un moment…).

    Tchia sous la pluie

    Le plaisir du jeu tiens énormément de sa découverte, alors je ne vais pas en dire beaucoup plus. Simplement, c’est une expérience, un voyage, que j’ai sincèrement kiffé. Très rarement frustrant, toujours mignon, généreux, bienveillant, parfois très drôle… Ça fait vraiment du bien ! Un jeu qui réchauffe le cœur. Et en plus, on a l’impression d’être allé à la rencontre d’une culture située à l’autre bout du monde. Je recommande : 🌞🌞🌞🌞☀️/5

    Acheter Tchia sur Playstation 4/5 ou PC ( Epic Games Store , bientôt Steam )

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      Mondes polaires : dialogue cosmopolite avec Paul-Émile Victor

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Saturday, 11 March, 2023 - 03:30 · 1 minute

    Un globe terrestre a été offert à Paul-Émile Victor pendant son enfance. Ce globe, où certains pays sont marqués d’une épingle ou au feutre, l’accompagnera toute sa vie.

    Né à Genève, l’explorateur Paul-Émile Victor est décédé le 7 mars 1995 à Bora-Bora. L’école publique de Saint-Grégoire (en Bretagne) porte son nom.

    Chaque semaine du 7 mars invite les citoyens à se remémorer le film documentaire Odyssées blanches et le contexte de ruée vers les pôles pour explorer les dernières terrae incognitae de notre planète. Le Palais de la Porte Dorée à Paris compte parmi ses collections plusieurs éléments passionnants sur le parcours et les origines familiales de Paul-Émile Victor.

    L’archétype de l’explorateur

    En 1929, pendant son service militaire dans la marine à Toulon, Paul choisit de se faire appeler Paul Émile. C’est sous ce nom que le futur ethnologue deviendra l’emblématique explorateur et fondateur  des Expéditions Polaires Françaises (EPF). Il embarque en 1934 sur le fameux Pourquoi-Pas ? du  Commandant Charcot, pour sa première mission ethnologique au Groenland.

    Tout au long de sa carrière et même après qu’il se soit établi à Bora-Bora pour sa retraite, Paul-Émile  Victor parcourt le globe et avec un talent de communication précurseur fait découvrir aux Français la  richesse et la diversité des peuples et des mondes polaires. À son décès en 1995, un hommage national  lui est rendu et il est immergé dans l’océan Pacifique depuis un navire militaire.

    À l’époque de Paul-Émile Victor, autour de 1930, les pôles demeurent largement terrae incognitae ,  c’est pourquoi il les choisit pour terrain d’exploration. Parallèlement à une démarche scientifique profondément respectueuse des peuples autochtones , Paul-Émile Victor organise de façon magistrale et inédite la médiatisation de ses expéditions.

    Les multiples conférences, publications et films qu’il produit permettent à la fois de nourrir l’intérêt du public et de financer les missions à venir. Cette renommée populaire l’installe comme la figure de l’explorateur français moderne. Son goût de faire connaître le monde s’est d’ailleurs perpétué à travers son fils, Jean-Christophe Victor (1947-2016), auteur, concepteur et animateur de l’émission  géopolitique de référence « Le dessous des cartes ».

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      C’est historique : des plantes ont poussé sur du sol lunaire

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 12 May, 2022 - 15:00

    Récolte d'Arabettes qui grandissent dans du sol lunaire

    Rendre la Lune plus verte, c'est possible. Ou en tout cas, envisagé. Les recherches montrent que si faire pousser des plantes dans le sol lunaire est plus difficile, c'est bien une technique qui fonctionne. Il suffit de mieux comprendre ce qui rend cette croissance difficile. [Lire la suite]

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    It's just the beginning
    It's just the beginning by Tohad #adventure #exploration #journey #rock #stones #trip #valley #walk #wild