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      Le DRM Denuvo d’Hogwarts Legacy enfin cracké

      news.movim.eu / Korben · Friday, 5 April - 09:53 · 2 minutes

    Ça y est, après 6 mois de travail acharné, le développeur Maurice Heumann a réussi un sacré tour de force : craquer la protection Denuvo du jeu Hogwarts Legacy ! Il n’a évidemment pas fait ça pour pirater le jeu à tout va puisque son but était d’en décortiquer les mécanismes pour comprendre comment ça fonctionnait dans les entrailles de la bête Denuvo.

    Du coup, il est resté assez vague sur les détails techniques pour éviter que ça parte en vrille. Mais ce que je peux vous dire, c’est que Denuvo c’est du costaud. Ce DRM utilise tout un tas d’astuces pour vérifier que vous avez bien acheté le jeu en créant une sorte « d’empreinte digitale » de votre PC. Ensuite, un petit ticket Steam est envoyé pour prouver que vous possédez bien le jeu. Ce ticket part direct sur les serveurs de Steam qui vérifient alors que tout est en règle. Une fois validé, un jeton Denuvo est généré, mais attention, il ne marche que sur le PC avec la bonne empreinte !

    Et c’est pas fini puisque pendant que vous jouez, le jeu va régulièrement vérifier cette empreinte pour s’assurer que vous n’êtes pas en train de tricher. Notre ami Maurice en sa qualité de Gryffondor (ou un Serpentard , on ne sait pas trop) a donc réussi à détourner le système après des mois de reverse engineering pour identifier la plupart des vérifications d’empreinte, sans compter sur un coup de bol incroyable qui lui a permis de trouver le dernier déclencheur. Résultat des courses : avec environ 2000 rustines maison, il a pu lancer le jeu sur son laptop en utilisant un jeton généré sur son PC fixe.

    Il a aussi voulu tester si Denuvo ralentissait vraiment les performances, comme beaucoup le pensent. Alors certes, il n’a pas pu faire des benchmarks dans les règles de l’art mais il a regardé à quelle fréquence Denuvo faisait ses petites vérifications.

    Et surprise : les bouts de code Denuvo ne s’exécutent qu’une fois toutes les quelques secondes , ou lors des chargements. Donc pas de quoi fouetter un chat niveau performances. Ça rejoint d’ailleurs ce que Denuvo avait déclaré officiellement. Alors bien sûr, le crack de Maurice n’est pas parfait puisque le jeu plante encore de temps en temps mais son but c’était surtout d’arriver à lancer le jeu et atteindre le menu principal. L’idée une fois encore c’était de comprendre comment ce fameux DRM fonctionnait et il a réussi son coup ! Par contre, ne comptez pas sur lui pour vous donner tous les détails techniques… Un magicien sait garder ses secrets ^^.

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      Mario Kart 8 – Optimisez votre setup grâce à Pareto

      news.movim.eu / Korben · Friday, 5 April - 05:47 · 3 minutes

    J’adore Mario Kart , ça a toujours été l’un de mes jeux préféré et j’y joue encore aujourd’hui. Bien sûr je préfère la version Super NES mais Mario Kart 8 sur la Switch est pas mal aussi. Mais saviez-vous qu’au-delà du plaisir de la course, se cache une véritable science de l’ optimisation ?

    Eh oui, choisir son pilote, son kart, ses roues et son parachute, ce n’est pas juste une question de style. C’est une décision cruciale qui peut faire la différence entre la victoire et la défaite. Avec des dizaines d’options pour chaque élément, chacune ayant ses propres statistiques (vitesse, accélération, etc.), les possibilités de combinaisons sont quasi-infinies.

    On le sait tous, si on veut maximiser notre vitesse, le choix il est vite répondu comme dirait l’autre. C’est soit Bowser soit Wario… Mais attendez une seconde… Et l’accélération dans tout ça ? Car oui, la vitesse c’est bien, mais il faut aussi pouvoir repartir rapidement après avoir mangé une carapace bleue !

    Alors, comment s’y retrouver dans cette jungle de choix ? Comment trouver le setup ultime qui vous mènera tout droit sur la plus haute marche du podium ? La réponse, mes amis, se trouve dans un concept vieux de plus d’un siècle : la frontière des possibilité de Pareto ou front de Pareto.

    C’est là que le front de Pareto entre en jeu . Ce concept, inventé par l’économiste italien Vilfredo Pareto, permet d’identifier les options qui ne sont jamais dominées à la fois sur la vitesse et l’accélération. Prenez ce pauvre Koopa par exemple. Avec sa vitesse et son accélération médiocres, il est complètement dominé par Peach Chat qui a plus de vitesse à accélération égale, et par Toadette qui a plus d’accélération à vitesse égale. Désolé Koopa, mais si tu veux gagner, il va falloir céder ta place !

    En identifiant tous les pilotes efficaces qui forment le front de Pareto, vous pouvez ainsi éliminer d’office les choix sous-optimaux. Mais attention, tous les points du front ne se valent pas. À vous de trouver le juste équilibre entre vitesse et accélération en fonction de votre style de jeu et de vos préférences.

    Et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg ! Car en pratique, vous devez choisir un combo complet de pilote, le châssis, les roues et le parachute. Autant dire que le nombre de possibilités explose ! Mais rassurez-vous, le front de Pareto sera toujours là pour vous guider vers les builds les plus prometteurs.

    Cela nous rappelle que les compromis et l’ optimisation sont possibles partout dans notre vie. Que ce soit pour choisir un resto de qualité également abordable, un job épanouissant et bien payé, ou même un système d’imposition juste et efficace ^^, nous sommes constamment confrontés à des problèmes d’optimisation multi-objectifs.

    Bien sûr, si vous connaissez déjà les poids exacts que vous voulez attribuer à chaque critère, vous pouvez réduire le problème à une optimisation mono-objectif. Mais dans la vie, nos préférences sont souvent floues et incertaines. C’est là que le front de Pareto devient votre meilleur ami, en vous aidant à éliminer les options dominées et à expérimenter avec les choix efficaces pour trouver celui qui vous convient le mieux.

    Alors la prochaine fois que vous lancerez une course sur Mario Kart 8, prenez le temps de réfléchir à votre stratégie d’ optimisation grâce à ce site d’Antoine Mayerowitz.

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      Le retour du Roi (pas du tout)

      news.movim.eu / Korben · Thursday, 4 April - 13:37 · 2 minutes

    — Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

    Mini article pour un mini jeu, mélangeant puzzle et petites histoires : celles d’un jeune homme qui rêve d’être roi. 👑 À nous de le mener vers le bon chemin ! Plusieurs histoires car si l’on démarre toujours au même endroit, différentes issues sont possibles dans Storyblocks: The King . Disponible en téléchargement sur Switch, PS4/PS5, XBox et Microsoft Store depuis… Aujourd’hui ! 😮

    Le principe est tout simple : on dispose de tuiles, toutes identiques, elles ont la forme d’un domino. Il faut les positionner pour créer un chemin menant notre point de départ à une des sorties disponibles sur le terrain. Quelques contraintes : le chemin ne doit pas proposer de « fourches » ou de boucles, et doit absolument utiliser toutes les tuiles proposées !

    Dit comme ça, cela pourrait sembler super facile… Et ça l’est. 😀 Hormis quelques moments où on doit réorganiser nos tuiles pour tomber tout pile sur une sortie, il y a peu d’erreurs possibles. Il manque une vraie part de réflexion : peut-être avec des tuiles différentes, des passages obligatoires… Dommage.

    Aussi, les contrôles, sur console en tout cas (jeu testé sur Switch), requièrent trop de précision, le stick est trop sensible. Donc on se goure souvent… Ça casse parfois les couil… le côté zen de l’expérience. La partie sonore est sans grand intérêt. Les différents petits récits, débloqués à chaque nouvel embranchement que l’on choisira d’atteindre, sont malheureusement trop basiques. Pas très bien écrits, peu recherchés.

    Bon vous l’aurez compris, ce petit jeu dispose d’un concept sympa mais qui aurait mérité d’être creusé avec des mécaniques supplémentaires, des histoires plus travaillées, un gameplay + agréable… C’est une petite déception. 🙁 Mais alors pourquoi en parler ? La première raison c’est que j’ai reçu une version du jeu pour le tester, donc je respecte mon engagement. La deuxième, ce sera pour vous éviter de perdre une poignée d’euros en voyant ce concept et cet habillage si sympa, si jamais vous le croisez par hasard sur un store et qu’il vous fait de l’œil. 😉 En espérant qu’ils fassent mieux lors d’un 2nd volet ! 🙏

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      Apex Legends – Un hacker sème le chaos lors d’un tournoi majeur

      news.movim.eu / Korben · Wednesday, 27 March - 13:54 · 2 minutes

    Est ce que vous avez entendu parler de ce qui s’est passé lors du tournoi ALGS d’ Apex Legends ? C’était complètement dingue ! Un hacker qui se fait appeler Destroyer2009 a réussi à s’introduire dans le jeu en plein milieu d’un match et a filé des cheats (aimbot, wallhack…) à des joueurs pro sans qu’ils ne demandent rien.

    Déjà, mettez-vous à la place des joueurs concernés, ImperialHal de l’équipe TSM et Genburten de DarkZero . Vous êtes tranquille en train de jouer le tournoi le plus important de l’année et d’un coup, PAF, vous vous retrouvez avec des hacks que vous n’avez jamais demandés ! Voir à travers les murs, avoir un aimbot pour mettre dans le mille à coup sûr… La totale quoi. Évidemment, ils ont dû quitter la partie direct, impossible de continuer à jouer dans ces conditions.

    Mais le pire, c’est que ce hacker a fait ça « just 4 fun » ! Il voulait montrer à Respawn qu’il y avait des failles dans leur système de sécurité EAC (EasyAntiCheat). Bah mon gars, t’as réussi ton coup, bravo ! Tout le tournoi a été interrompu et reporté à plus tard. Les organisateurs étaient furax et je les comprends.

    Bon après, faut reconnaître que ce Destroyer2009 est un sacré filou. Il a quand même réussi à pirater un des plus gros jeux du moment en plein milieu d’un événement majeur, c’est pas rien. Et en plus, il a fait ça sans toucher aux PC des joueurs, juste en passant par le jeu. Un vrai petit génie du hacking.

    Mais quand même, ça fout les jetons de voir que même un mastodonte comme Apex Legends peut se faire avoir comme ça. Ça montre qu’aucun jeu en ligne n’est à l’abri, même avec toutes les protections anti-triche du monde. Et puis ça gâche la compétition pour tout le monde, les joueurs, les spectateurs, les organisateurs…

    Après ce bad buzz monumental, Respawn a dû réagir au quart de tour. Ils ont balancé dans la foulée une flopée de mises à jour de sécurité pour colmater les brèches. Espérons que ça suffira à calmer les ardeurs des petits malins qui voudraient s’amuser à reproduire ce genre de coup fourré.

    M’enfin, le mal est fait et ce tournoi ALGS restera dans les annales pour cette raison. Ça aura au moins eu le mérite de remettre un coup de projecteur sur l’importance de la sécurité dans l’e-sport. C’est un milieu qui brasse de plus en plus de thunes et forcément, ça attire les hackers en tout genre.

    L’essentiel, c’est que le tournoi a fini par reprendre et aller à son terme, même si on a dû attendre un peu. Et puis ça nous aura permis de voir que même les plus grands joueurs peuvent se retrouver démunis face à un hack imprévu. Ça les rend plus humains ! mdrrr.

    Allez, amusez-vous bien sur Apex ou ailleurs !

    Merci à Ayden et Halioss pour l’info

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      L’Atari 400 Mini débarque

      news.movim.eu / Korben · Wednesday, 27 March - 05:43 · 2 minutes

    Si vous aimez le rétro-gaming qui sent bon le neuf, je tiens à vous présenter aujourd’hui l’ Atari 400 Mini ! C’est le dernier joujou rétro qui déboule tout droit des années 80, mais avec un bon coup de boost côté fonctionnalités modernes.

    Atari et Retro Games se sont dit « Et si on faisait renaître l’Atari 400 de 1979, mais en version mini ? « . Je me demande bien où ils ont été pêché cette idée (coucou Sega et Nintendo). Bref, ni une ni deux, les voilà qui nous sortent ce petit Atari 400 pile poil pour fêter les 45 ans de la bête.

    Niveau look, c’est du pur vintage puisqu’on retrouve le design si distinctif de l’Atari 400, mais réduit de moitié. Ça a de la gueule, faut l’avouer ! Et ils ont aussi recréé à la perfection le mythique joystick Atari CX-40, rebaptisé pour l’occasion THECXSTICK avec un câble long de 1,8 m. Il y a également 5 ports USB qui vous permettront de brancher des manettes et des claviers supplémentaires.

    Mais la vraie claque, c’est ce qui se cache sous le capot puisque cette mini console est capable d’émuler toute la gamme 8 bits d’Atari, des séries 400/800 aux XL/XE, en passant par la 5200. Et pour les jeux, la bonne nouvelle c’est qu’il y en a 25 préinstallés, dont des classiques indémodables comme Berzerk , Millipede , Miner 2049er , M.U.L.E. ou encore Star Raiders II . De quoi vous scotcher devant votre écran pendant des heures !

    Côté image, ce sera du 720p (HD) avec connecteur HDMI et ils ont également pensé à des fonctionnalités bien pratiques, comme la possibilité de sauvegarder et reprendre sa partie à tout moment, ou même de rembobiner jusqu’à 30 secondes en arrière dans le jeu. Et plutôt que d’attendre qu’elle soit crackée et qu’on puissent y mettre n’importe quelle ROM, ils ont préféré prendre les devant en nous permettant de jouer à nos propres jeux directement depuis une clé USB. Va falloir allumer le RomStation .

    Si ça vous chauffe, l’Atari 400 Mini sera disponible dès le 28 mars 2024 à un prix plus qu’abordable. Et si vous êtes pressés, vous pouvez même la précommander dès maintenant sur Amazon en passant par ce lien affilié.

    Amusez-vous bien !

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      Sagres : Pierre, Papier, Pirate !

      news.movim.eu / Korben · Thursday, 21 March - 16:45 · 3 minutes

    — Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

    1480, Portugal, l’âge d’or de l’exploration. Jeune navigateur de retour au pays, vous retombez sur Lucia, votre amie d’enfance, à la recherche de son père… Et décidez de partir ensemble à la découverte du monde, tout en cherchant des indices pour le retrouver ! D’une PIERRE deux coups. 🙂

    Sagres est un jeu de gestion et d’exploration, avec un brin de tactique. Vous débutez avec un petit bateau ; pour commencer il vous faut recruter un équipage, vous fournir en rations de nourriture et d’eau, et choisir une destination. Pour cela, ça tombe bien, la guilde nous propose des “missions”, il s’agit principalement de lieux ou points d’intérêts (pyramide de Gizeh, le Mont St Michel…) à découvrir.

    À savoir que la carte du jeu représente notre belle planète Terre, avec les pays qu’on connaît, les principales villes, les ports, les véritables « merveilles » de notre monde… ! C’est super sympa car naviguer nous fait réviser notre géographie. 🧑‍🎓 Et ça permet de savoir replacer / contextualiser certains lieux et constructions que l’on doit dénicher.

    Pour mener à bien une expédition, si on a aucune idée d’où aller : soit on y va à l’aveugle (je conseille pas), soit on discute dans les tavernes pour trouver des indices (vers quelle ville se diriger, etc.). Quand on remplit un contrat, on gagne de l’or et de la réputation, pour être mieux vu auprès du royaume, monter en grade, et s’approcher de la vérité concernant le papa de Lucia.

    Pour contrôler le bateau : haut, bas, gauche, droite, et avec la souris on tourne la voile pour prendre le vent. Facile. Parfois, un événement se produit : une avarie, un trésor à récupérer, une rencontre hasardeuse… Il peut se passer pas mal de choses, il va falloir optimiser les skills de notre fiche personnage et les utiliser intelligemment. Et quand on tombe sur des pirates (ou pire…) : BASTON !

    Les combats se déroulent au tour par tour, à base de pierre, papier, ciseaux ! Ce n’est pas complètement du hasard, heureusement, puisque notre jauge d’intuition permet de deviner certains choix de l’adversaire. On pourra aussi modifier son “deck” de “coups” disponibles pour optimiser nos chances. Gagner booste le moral de l’équipage, qu’il va falloir maintenir de différentes manières (la meilleure : se bourrer la gueule au bistrot). 🍺

    Différents pays, donc différents langages. Quand on tombe sur un dialecte inconnu, des caractères bizarres s’affichent à l’écran : on comprend rien. Notre personnage principal pourra apprendre progressivement de nouvelles langues (et donc parfois, seuls certains mots seront compréhensibles), mais surtout, on va pouvoir recruter des navigateurs / traducteurs, et ainsi obtenir facilement de nouveaux indices ou de meilleurs prix sur les marchandises.

    Les navigateurs demandent une chambre perso, et puis les marchandises ont besoin de place sur le bateau, pareil pour les vivres et l’équipage… Il va falloir améliorer son navire, l’optimiser selon nos besoins / envies, ou alors carrément en acheter un meilleur. 🤩 Bref, comme dans tous les bons jeux de ce genre : il y a plein de branches de gameplay à assimiler. Au début ça fait un peu peur, mais au final on appréhende chaque élément au fur et à mesure, et la progression se fait tranquillement, c’est super satisfaisant.

    J’espère avoir réussi à vous expliquer un peu à quoi ressemble Sagres . Les musiques et le graphisme ( pixel art ) sont mignons comme tout, la boucle de gameplay est assez répétitive mais originale, avec de temps en temps des petits trucs pour renouveler. C’est très chill , agréable à jouer. Je lui donne ⚓⚓⚓/5

    Disponible uniquement sur PC et en anglais, pour 20€ je trouve ça un poil cher, mais avec une petite réduc’ c’est parfait. Le jeu est long et complet. 👌 Et puis : une démo est dispo pour se faire sa propre idée, je vous conseille d’y jeter un œil ! 🦜

    Acheter Sagres sur Steam

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      NES Hub – Le réveil du port d’extension oublié de la Nintendo

      news.movim.eu / Korben · Thursday, 21 March - 09:57 · 1 minute

    Vous vous souvenez de la mythique Nintendo Entertainment System (NES) ? Cette bonne vieille console 8 bits qui a bercé l’enfance de toute une génération de gamers (la mienne en l’occurence) ? Et bien accrochez-vous, car un bidouilleur de génie vient de remettre au goût du jour un trésor caché dans ses entrailles !

    Figurez-vous que la NES possède un mystérieux port d’extension 15 broches, resté inexploité durant des décennies car Nintendo n’a jamais sorti le moindre accessoire pour en tirer parti. C’est kro kro kriste. C’est donc un port fantôme condamné à l’oubli éternel. Enfin ça, c’était avant l’arrivée du NES Hub !

    Ce petit device conçu par RetroTime , un hackeur de génie, se branche directement sur le port d’extension de la NES et là, c’est le feu d’artifice ! D’un seul coup, la vénérable console se transforme en bête de course gavée aux stéroïdes. Au menu des réjouissances :

    • Support pour 4 manettes sans fil (adieu les câbles qui s’emmêlent !)
    • Compatibilité avec les manettes SNES (pour un confort de jeu inégalé)
    • Prise en charge expérimentale des périphériques de la Famicom (la grande sœur japonaise de la NES)
    • Et le meilleur pour la fin : de l’ audio étendu pour profiter de sons inédits dans certains jeux !

    Cerise sur le gâteau, le NES Hub est ouvert aux add-ons tiers. Les possibilités sont quasi infinies ! On parle même d’un adaptateur pour lire les disquettes du Famicom Disk System . De quoi faire saliver les collectionneurs les plus acharnés.

    Bon, pour l’instant, le NES Hub n’est encore qu’un prototype. Mais RetroTime compte bien le peaufiner et le commercialiser d’ici peu, notamment sur le site 8bitmods .

    35 ans après, voir encore des trucs sortir sur la NES, ça me fait toujours autant triper !

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      Le glitch de la clé dans Zelda sur NES – Un mystère enfin résolu

      news.movim.eu / Korben · Thursday, 21 March - 06:22 · 2 minutes

    Vous vous souvenez de The Legend of Zelda sur NES ? Un classique parmi les classiques, pas vrai ? En bon vieux, j’y ai évidemment joué et on pourrait croire qu’après toutes ces années, ce jeu n’a plus aucun secret pour nous autres, les geeks de la vieille école.

    Eh bien, détrompez-vous ! Il restait encore au moins un mystère à élucider, et c’est grâce aux YouTubeurs The Bread Pirate et Sharopolis qu’on en sait plus aujourd’hui.

    Le premier gars a fait une vidéo sur un glitch de clé dans Zelda que personne n’était capable d’expliquer. En gros, dans le tout premier donjon du jeu, vous avez une porte verrouillée juste en face de vous. Normalement, faut trouver une clé pour l’ouvrir, logique. Sauf que… Si vous ressortez du donjon pour y retourner direct, la porte s’ouvre comme par magie, sans clé ! WTF ?!

    The Bread Pirate s’est donc demandé pourquoi ce glitch se produisait. Aucune autre porte verrouillée du jeu ne réagit comme ça. Il a testé un paquet de trucs et a découvert que le bug se déclenchait uniquement en entrant dans le donjon. Chelou…

    Pour comprendre ce mic-mac, il a donc fallu explorer le code source du jeu, qui a été désassemblé et annoté par un certain Aldo nunz (bien joué, mec 👍). C’est un vrai travail de reverse engineering , un truc de malade qui permet de voir comment le jeu fonctionne de l’intérieur. Et en examinant méticuleusement le code, Sharopolis a fini par identifier la source du problème.

    En fait, quand Link entre dans un donjon, le jeu est censé enregistrer la direction par laquelle il est arrivé. Genre, s’il est entré par le nord, le jeu considère qu’il a traversé la porte verrouillée, donc il déverrouille l’autre côté pour éviter que Link se retrouve bloqué comme un idiot. Sauf que… Les développeurs ont visiblement zappé un truc. 😅

    Quand on arrive dans le donjon, le jeu ne réinitialise pas la direction ! Du coup, il garde en mémoire le dernier écran visité et s’imagine que Link vient de là. Et s’il s’agit du bon écran, celui au nord du premier donjon, bah la porte s’ouvre direct ! Un beau raté qui est passé inaperçu pendant des années.

    Ce glitch existe depuis la première version de Zelda, celle sur Famicom. Il a survécu à toutes les rééditions du jeu, sur NES, Game Boy Advance, la Console Virtuelle… Nintendo n’a jamais pris la peine de le corriger. Faut dire que c’est pas un bug bien méchant et que le réparer sur NES, c’était pas une mince affaire à l’époque.

    Tout ça pour dire, les amis, qu’il y a encore des mystères à percer dans nos jeux old-school préférés. Heureusement qu’il y a des passionnés comme Sharopolis pour mener l’enquête avec talent !

    J’en reviens pas du boulot de reverse engineering qu’il a abattu, les mecs est trop fort.

    Allez, à plus et n’oubliez pas : « It’s dangerous to go alone! «

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      Le pack Daft Punk dans Beat Saber est la meilleure raison d’acheter un casque VR

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 20 March - 19:05

    Disponible sous la forme d'un DLC payant à 12,99 euros, le pack Daft Punk, dans le jeu musical Beat Saber, permet de danser sur le rythme des robots. Il est une incroyable réussite, pouvant justifier à lui seul de se laisser tenter par un casque Meta Quest (ou un autre casque VR sur lequel le jeu est disponible).