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      Caroline Garcia privée de titre à Lyon après sa défaite face à Alycia Parks

      sport.movim.eu / LEquipe · Sunday, 5 February, 2023 - 17:24


    Alycia Parks a remporté son premier tournoi sur le circuit principal. (R. Prange/Afp7/Presse Sports) La Française Caroline Garcia s'est inclinée en finale du tournoi de Lyon face à Alycia Parks (7-6 [7], 7-5). L'Américaine de 22 ans, 79e mondiale, a été impériale derrière son service et s'offre son premier titre en carrière.
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      Caroline Garcia portée par le public de Lyon

      sport.movim.eu / LEquipe · Sunday, 5 February, 2023 - 08:30


    En battant la Colombienne Camila Osario samedi (6-2, 6-2), Caroline Garcia s'est qualifiée pour la finale du tournoi de Lyon. (L. Jonin/MaxPPP) La Française Caroline Garcia va chercher l'énergie du public depuis le début de la semaine. C'est nouveau et elle compte s'en servir pour la finale, dimanche, face à Alycia Parks.
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      Xavier Garbajosa après la victoire de Lyon contre La Rochelle : « On a un vrai groupe»

      sport.movim.eu / LEquipe · Saturday, 4 February, 2023 - 19:45


    Le LOU de Xavier Garbajosa s'est imposé sur le terrain de La Rochelle.  (A. Réau/L'Équipe) L'entraîneur lyonnais Xavier Garbajosa s'est montré très satisfait de la victoire acquise (16-20) samedi sur le terrain de la Rochelle, sur lequel le LOU n'avait jamais gagné.
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      Caroline Garcia qualifiée pour la finale à Lyon : « Je suis montée en puissance »

      sport.movim.eu / LEquipe · Saturday, 4 February, 2023 - 19:27


    Caroline Garcia (ici à l'Open d'Australie) est en finale chez elle à Lyon.  (Mike Frey/Presse Sports) Caroline Garcia, qui s'est qualifiée samedi pour la finale du tournoi de Lyon, estimait après la rencontre qu'elle jouait de mieux en mieux au fil de la semaine.
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      Caroline Garcia se qualifie tranquillement pour la finale à Lyon

      sport.movim.eu / LEquipe · Saturday, 4 February, 2023 - 18:03


    Caroline Garcia va enfin disputer une finale à Lyon. (Rob Prange/AFP7/Presse Sports) Autoritaire face à Camila Osorio (6-2, 6-2), samedi, Caroline Garcia s'est qualifiée pour la finale du WTA 250 de Lyon.
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      Acheter un ticket de métro avec son iPhone éteint, c’est possible à Lyon

      news.movim.eu / Numerama · Friday, 9 December, 2022 - 10:08

    Les Transports en Commun Lyonnais (TCL) viennent d’activer la fonction Apple Pay Express, qui permet d’utiliser son iPhone éteint ou sans batterie pour acheter un titre de transport. Lyon devient la première ville parfaitement adaptée aux titres de transport dématérialisés. [Lire la suite]

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      Policiers agressés à Lyon: un homme mis en examen et écroué

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 27 July, 2022 - 06:29 · 4 minutes

    Un homme mis en examen et écroué après l'agression de trois policiers à Lyon (photo d'illustration) Un homme mis en examen et écroué après l'agression de trois policiers à Lyon (photo d'illustration)

    FAITS DIVERS - Un des hommes ayant participé à l’agression de trois policiers en civil le 20 juillet dans le quartier de la Guillotière à Lyon alors qu’ils tentaient d’interpeller une personne suspectée de vol , a été mis en examen mardi 26 juillet, a annoncé le parquet.

    “Le mis en cause (...) a été mis en examen ce jour du chef de violences aggravées sur fonctionnaires de police et placé en détention provisoire”, a indiqué le parquet à l’AFP. Un premier homme en situation irrégulière avait été arrêté quelques jours plus tôt, avant d’être mis hors de cause.

    Deux policiers ont été blessés le 20 juillet au soir en tentant avec un collègue d’interpeller une personne suspectée de vol, au milieu d’une foule qui les a violemment pris à partie. Sur une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux , on peut voir trois policiers en civil, deux hommes et une femme, essuyer coups et jets de projectiles devant l’entrée d’une supérette dans le quartier sensible de la Guillotière.

    L’homme a présenté ses excuses

    Au cours d’une audience publique du juge des libertés de la détention, le jeune homme de 26 ans et en situation irrégulière, qui n’a pas de casier judiciaire, “n’a pas contesté les faits” et a “présenté ses excuses”, a décrit à l’AFP Me Laurent Bohé, avocat des trois victimes.

    Ces derniers sont “heureux de savoir qu’une première personne a été interpellée”, indique leur défenseur, ajoutant que sur les trois policiers, un a repris son service, et les deux autres sont toujours arrêtés.

    “Ils ont été assez chamboulés par les événements mais il est évident que d’apprendre les interpellations et les identifications des auteurs les rassure et ils sont satisfaits des moyens mis en oeuvre” car il est “important pour eux que les personnes qui s’en sont prises à eux puissent être présentées à la justice”, poursuit Me Bohé.

    Des tweets polémiques de Darmanin

    Le procureur de Lyon Nicolas Jacquet a indiqué à l’AFP que “les investigations se poursuiv(ai)ent activement pour identifier, localiser et interpeller les autres auteurs”. Il avait précisé lundi que “l’auteur de l’arrachage d’un collier à l’origine de l’intervention des policiers”, âgé de 18 ans, et “déjà condamné pour vols”, était “actuellement en fuite” et “activement recherché dans le cadre d’un mandat de recherches délivrés par le parquet”.

    Ce week-end, l’affaire avait pris un tour politique. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin avait réagi sur Twitter après l’arrestation du premier suspect, également étranger, indiquant qu’il serait expulsé. Une fois ce suspect mis hors de cause, il avait écrit, dans un second tweet: “en lien avec les événements ou non, connu pour de nombreuses mises en cause (...) cet individu n’a rien à faire dans notre pays”.

    Ces messages avaient notamment été condamnés par la gauche, qui accusait le ministre de jouer le jeu de l’extrême-droite. Pour le soutenir dans la tourmente, son homologue à la Justice Éric Dupont-Moretti avait validé sa décision: “Cet homme a déjà été condamné à de nombreuses reprises et il fait l’objet d’une décision de quitter le territoire français, ce qui est une décision administrative.”

    Une offensive sécuritaire contre les “délinquants étrangers”

    L’homme en question fait l’objet d’une obligation de quitter le territoire (OQTF) antérieure et doit en effet être expulsé, a précisé lundi à l’AFP une source proche du dossier. De son côté, Gérald Darmanin assume son tweet: “Je ne regrette rien. Quelqu’un de nombreuses fois condamné et par ailleurs en situation irrégulière, je n’allais pas le relâcher. Ben, non!”, a-t-il déclaré sur BFMTV.

    Par ailleurs, c’est dans ce cadre que le ministre a annoncé vouloir “se concentrer sur les étrangers qui commettent des actes délictuels”. “J’assume une forme de double peine”, a-t-il dit, en soulignant que le gouvernement avait retiré “70.000 titres de séjour” à des étrangers auteurs de délits.

    En début de matinée sur RTL, Gérald Darmanin avait annoncé la présentation ”à la rentrée de septembre” d’ une loi pour lever “les réserves” législatives empêchant l’expulsion du territoire d’étrangers délinquants. Il souhaite notamment la suppression de la disposition selon laquelle un étranger arrivé en France avant l’âge de 13 ans n’est pas expulsable. Il a précisé que cela ne s’appliquerait qu’en cas de “crimes et de délits graves”. Le matin, il avait cité comme autre disposition à supprimer le fait “d’avoir contracté un mariage”.

    À voir également aussi sur le Huffpost: L’Assemblée est-elle vraiment si indisciplinée? Ces archives permettent d’en douter

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      Darmanin annonce des mesures sur les étrangers délinquants

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 26 July, 2022 - 20:16 · 4 minutes

    Gérald Darmanin, le 4 juillet 2022. Gérald Darmanin, le 4 juillet 2022.

    JUSTICE - Malgré la polémique , le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a affirmé, ce mardi 25 juillet, “assumer une forme de double peine” pour les étrangers délinquants qui, en conséquence, une fois leur condamnation effectuée seront expulsés.

    Invité de BFMTV, il a fait valoir que le gouvernement avait “décidé de se concentrer sur les étrangers qui commettent des actes délictuels”. “J’assume une forme de double peine”, a-t-il dit, en soulignant que le gouvernement avait retiré “70.000 titres de séjour” à des étrangers auteurs de délits. “Quand on est étranger et qu’on arrive sur le sol national, on respecte les lois de la République ou alors on s’en va”, a-t-il lancé.

    “C’est une politique de bon sens. Nous, on juge les étrangers pour ce qu’ils font, pas pour ce qu’ils sont”, a-t-il estimé. En début de matinée sur RTL, Gérald Darmanin avait annoncé la présentation ”à la rentrée de septembre” d’une loi pour lever “les réserves” législatives empêchant l’expulsion du territoire d’étrangers délinquants.

    Relevant que “le droit actuel” autorisait le gouvernement ”à faire beaucoup de choses”, il a expliqué sur BFM souhaiter que cette loi supprime la disposition législative selon laquelle un étranger arrivé en France avant l’âge de 13 ans n’est pas expulsable. Il a précisé que cela ne s’appliquerait qu’en cas de “crimes et de délits graves”. Le matin, il avait cité comme autre disposition à supprimer le fait “d’avoir contracté un mariage”.

    Ouverture d’un nouveau centre de rétention administrative à Lyon

    Estimant qu’une telle loi confirmait “l’alignement sur les positions de l’extrême droite” de Gérald Darmanin, SOS Racisme a appelé à mettre “un terme à cette dérive digne de (Marine) Le Pen” et du Premier ministre hongrois ultra-conservateur Viktor “Orban mais indigne de la République”.

    Gérald Darmanin a souhaité en outre un allongement de la durée des ordonnances de quitter le territoire français (OQTF) à deux ans, contre un an actuellement, pour permettre les recours et appels. En 2020, moins de 10% des OQTF ont été appliquées. “Au premier semestre (2022), a fait valoir le ministre, on a augmenté de 25%” les expulsions avec 9685 sorties du territoire (éloignements forcés et aidés), selon le ministère.

    Le ministre a estimé en outre qu’il fallait augmenter le nombre de places en centre de rétention administrative (CRA) et annoncé l’ouverture “d’un nouveau centre à Lyon”.

    Expulsion d’un étranger, mis hors de cause après l’agression de policiers à Lyon

    Gérald Darmanin a tenu à expliquer qu’il “préférait garder sur le sol national un étranger, qui certes est irrégulièrement sur le sol national, mais veut travailler, s’insérer dans la société plutôt que de garder sur le sol national” un étranger délinquant.

    Selon le ministère de l’Intérieur, “depuis octobre 2020”, la France a éloigné “2751 auteurs de troubles à l’ordre public dont 25% d’auteurs de trafics de stupéfiants et 35% d’atteinte aux personnes (violences intrafamiliales, infractions sexuelles, etc.) et 770 étrangers connus pour des faits de radicalisation”.

    Ces annonces surviennent alors que Gérald Darmanin s’est retrouvé au centre d’une polémique ce week-end à propos de l’agression de policiers à Lyon. Il avait annoncé l’interpellation d’un homme en situation irrégulière. Le parquet avait ensuite précisé que ce suspect avait été relâché et mis hors de cause . Le ministre avait maintenu sa décision d’expulser cette personne.

    “Je ne regrette rien”, a-t-il dit sur BFMTV. “Quelqu’un de nombreuses fois condamné et par ailleurs en situation irrégulière, je n’allais pas le relâcher. Ben, non”, a-t-il déclaré.

    À voir également sur Le HuffPost : L’Assemblée est-elle vraiment si indisciplinée? Ces archives permettent d’en douter

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      Policiers blessés à Lyon: Darmanin veut expulser un étranger mis hors de cause, Dupond-Moretti valide

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 25 July, 2022 - 08:08 · 5 minutes

    Éric Dupond-Moretti a défendu la décision du ministre de l'Intérieur, évoquant une Éric Dupond-Moretti a défendu la décision du ministre de l'Intérieur, évoquant une "décision administrative" concernant l'expulsion d'un homme, un temps soupçonné d'être impliqué dans l'agression de policiers à Lyon, puis disculpé.

    JUSTICE - L’affaire prend une tournure politique. Ce lundi 25 juillet, Éric Dupond-Moretti a été obligé de défendre l’expulsion choisie par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin , suite à l’interpellation d’un suspect finalement relâché et blanchi, après l’agression de policiers à Lyon mercredi.

    Après le tweet polémique de Gérald Darmanin dimanche, le ministre de la Justice a réagi à la confirmation de cette expulsion par le locataire de la Place Beauvau , en raison “de nombreuses mises en cause”. Pour Éric Dupond-Moretti, “cet homme a déjà été condamné à de nombreuses reprises et il fait l’objet d’une décision de quitter le territoire français, ce qui est une décision administrative”.

    Prononcée dans des situations graves, liées à la protection de l’ordre public ou en cas d’atteinte à la sûreté de l’État, cette mesure administrative est prise par le préfet ou par le ministre de l’Intérieur. Ce type de procédure administrative doit être “justifié et encadré”, comme le rappelle le site officiel de l’administration française.

    “Gérald Darmanin a dit qu’elle serait exécutée. Moi, je n’ai rien d’autre à dire, je suis un fervent partisan de l’État de droit que je défends bec et ongles”, a alors ajouté le ministre de la Justice. Avant cela, il avait exprimé son “soutien total aux policiers” lyonnais, évoquant “des images absolument intolérables, des policiers agressés c’est la République que l’on agresse”.

    Darmanin accusé de bafouer la séparation des pouvoirs

    Suite à l’interpellation et la garde à vue de cet individu soupçonné d’être lié à l’agression de trois policiers dans le quartier de la Guillotière à Lyon, le ministre de l’Intérieur s’était fendu d’un tweet indiquant qu’un “délinquant étranger” avait été “interpellé (...), placé en rétention et (allait être) expulsé”.

    Sollicité par l’AFP, le parquet de Lyon avait indiqué peu de temps après que “la personne placée en garde à vue hier (samedi) dans le cadre de l’enquête ouverte à Lyon du chef de violences à l’encontre de policiers place Gabriel Peri, le 20 juillet au soir” avait été libérée.

    “Il s’avère en effet qu’elle a été totalement mise hors de cause dans le cadre des investigations menées. L’enquête se poursuit activement pour identifier, localiser et interpeller les auteurs des faits”, précisait alors le parquet.

    Gérald Darmanin, dans un second tweet, avait alors confirmé l’ expulsion prochaine de l’individu. “Cet individu n’a rien à faire dans notre pays qui est généreux si on le respecte”, a-t-il écrit, profitant de la situation irrégulière de cette personne et de son passée criminel pour prendre cette décision.

    Face à cette polémique, le maire écologiste de Grenoble Éric Piolle a réagi à son tour sur Twitter accusant Gérald Darmanin de “drague(r) ouvertement l’ extrême-droite en reprenant ses mots et ses idées” et de “passe(r) outre l’État de droit en prévoyant d’expulser un ‘délinquant étranger’ sans attendre le résultat des investigations”. “Encore un symbole d’une dérive consternante et inquiétante”, a-t-il estimé.

    Une critique sur l’extrême droite partagée par Sandra Regol , députée écologiste. “L’envie de Gérald Darmanin de pouvoir rivaliser avec Marine Le Pen et le RN en termes de façon de taper sur les immigrés l’a emporté sur ce qui est normalement le travail d’un ministre de l’Intérieur, à savoir vérifier ses informations”, a-t-elle déclaré sur BFMTV.

    Peu après, le maire de Grenoble a prolongé ses critiques sur BFMTV, interpellant directement la cheffe du gouvernement pour “recadrer” son ministre, afin de lui “rappeler la séparation des pouvoirs en France: entre l’exécutif, le délibératif et la justice”. Eric Piolle a également demandé à ce que Gérald Darmanin présente des excuses pour ses propos.

    Même constat pour Isabelle Ramet, adjointe au maire du 6e arrondissement de Lyon en charge de la sécurité. Ciblant Gérald Darmanin, elle dit regretter “la politique du gouvernement (qui) se fait à coup de tweets”.

    Isabelle Ramet a également invité à développer “une communication plus posée avec une concertation de toutes les instances et de tous les élus”.

    À voir également sur Le HuffPost: La promesse de débats apaisés du RN n’aura pas tenu longtemps