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      Un marché noir de médicaments émerge en Chine face à l’explosion du covid

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 10 January, 2023 - 13:26

    Depuis la fin de la politique « zéro Covid » en Chine et la réouverture des frontières, le pays est submergé par le nombre de nouveaux cas. Les médicaments sont en forte demande, au point où un marché noir s'est créé. [Lire la suite]

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      Comme au début du covid, la vente en ligne de Doliprane et de Dafalgan redevient interdite

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 4 January, 2023 - 16:54

    paracétamol dafalgan médicament

    La triple épidémie constatée en France, l'explosion du Covid-19 en Chine, les difficultés croissantes d'approvisionnement compliquent l'accès à certains médicaments basés sur le paracétamol. Depuis le 4 janvier, leur vente sur Internet est provisoirement interdite. [Lire la suite]

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      Médicaments : pourquoi c’est important de les prendre au bon moment

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 15 December, 2022 - 08:00

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    Un spécialiste de la chronothérapie insiste sur l'importance du timing dans la prise des médicaments, autant pour les patients que pour l'industrie pharmaceutique.

    Médicaments : pourquoi c’est important de les prendre au bon moment

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      Inefficaces ou dangereux : voici les médicaments à éviter en 2023

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 8 December, 2022 - 13:00

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    Un panel de scientifiques et de médecins a dévoilé la liste des médicaments dangereux ou inefficaces.

    Inefficaces ou dangereux : voici les médicaments à éviter en 2023

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      La vaccination contre la rougeole en recul record : 40 millions d’enfants à risque

      news.movim.eu / Numerama · Friday, 25 November, 2022 - 14:28

    La vaccination contre la rougeole atteint des records... de recul. L'OMS alerte sur les interruptions et retards dans les programmes d'immunisation des enfants contre cette maladie, qui peut s'avérer très grave. [Lire la suite]

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      Contre la variole du singe, la piste prometteuse d’un « vieux » vaccin antivariolique

      news.movim.eu / Numerama · Saturday, 13 August, 2022 - 13:58

    variole du singe monkeypox

    Pour faire face à la variole du singe, qui se diffuse dans le monde, un vaccin antivariolique bien connu, le MVA-Imvanex, offre des perspectives encourageantes. [Lire la suite]

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      Canicule: ces médicaments peuvent empêcher notre thermorégulation

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 18 July, 2022 - 10:17 · 3 minutes

    Certains médicaments peuvent Certains médicaments peuvent "majorer les effets de la canicule sur l’organisme", souligne l'Assurance maladie.

    CANICULE - “En cas de fortes chaleurs, certains médicaments peuvent empêcher ou gêner la thermorégulation du corps”, prévient sur son site l’Assurance maladie, en citant le syndrome d’épuisement-déshydratation et le coup de chaleur , les deux principales conséquences d’une thermorégulation insuffisante.

    “Certains médicaments augmentent l’élimination d’eau au niveau des reins et peuvent donc majorer une déshydratation liée à une température élevée [...]. D’autres médicaments peuvent empêcher le fonctionnement normal des mécanismes de refroidissement du corps [...]”, explique également l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé .

    “Certains médicaments peuvent aussi aggraver les effets de la chaleur, en abaissant la tension artérielle ou en altérant la vigilance”, ajoute l’ANSM. Quels sont alors les médicaments concernés et auxquels il faut prêter attention?

    Aspirine et paracétamol déconseillés

    En cas de fortes chaleurs, l’Assurance maladie déconseille “fortement” de prendre de l’ aspirine ou du paracétamol pour traiter la fièvre ou les maux de tête. “Le paracétamol est inefficace en cas de coup de chaleur, et l’aspirine peut perturber la thermorégulation de l’organisme”, indique l’organisation.

    D’autres traitements peuvent “majorer les effets de la canicule sur l’organisme, ou gêner l’adaptation du corps à la chaleur”, poursuit-elle. Parmi eux, l’Assurance maladie cite notamment :

    • les médicaments pouvant provoquer ou aggraver une déshydratation “en augmentant les pertes d’eau au niveau du rein”, comme les diurétiques

    • les médicaments susceptibles de perturber le fonctionnement rénal: anti-inflammatoires non stéroïdiens , aspirine, certains antihypertenseurs, antibiotiques, antidiabétiques, antiviraux, etc.

    • les médicaments pouvant aggraver des problèmes de thermorégulation: certains neuroleptiques , antiparkinsoniens, antidépresseurs , etc.

    • “les médicaments qui limitent l’augmentation du débit cardiaque comme les diurétiques et les bêta-bloquants”

    • les antimigraineux , “qui quelquefois empêchent la vasodilatation [augmentation de la taille des vaisseaux sanguins] ou réduisent la transpiration”

    • les somnifères ou les anxiolytiques, “médicaments qui diminuent la vigilance et la capacité à adapter son comportement pour lutter contre la chaleur”

    L’Assurance maladie indique par ailleurs que l’action de certains médicaments peut être modifiée en cas de forte chaleur . “De façon générale, il faut faire attention aux dispositifs transdermiques (patchs), dont l’efficacité peut être modifiée par la transpiration”, précise-t-elle. L’élimination des antiépileptiques ou des antidiabétiques oraux peut aussi être modifiée par la déshydratation.

    Sur son site Internet, l’ANSM énumère plus en détail la liste des médicaments pouvant amplifier les effets de la canicule sur le corps.

    “Cela ne justifie pas d’arrêter de sa propre initiative un traitement”

    “Même si certains médicaments peuvent jouer un rôle dans l’aggravation des problèmes liés aux fortes chaleurs, cela ne justifie jamais d’arrêter un traitement de sa propre initiative, ni même de le réduire ou de l’interrompre quelques jours”, appuie néanmoins l’Assurance maladie. Il revient en effet à son médecin traitant d’évaluer la situation au cas par cas.

    L’ANSM souligne par ailleurs que des études menées sur les facteurs de risque de décès suite à la canicule d’août 2003 ont montré que si des traitements médicamenteux pouvaient “favoriser la survenue d’un coup de chaleur”, elles ne concluaient pas pour autant à “l’existence d’un lien de causalité entre la prise d’un médicament et le décès”.

    “Dans la plupart des cas, un médicament ne représente pas un risque à lui tout seul, surtout s’il est bien utilisé. D’autres facteurs de risque, comme la maladie ou le grand âge, doivent être pris en considération”, rappelle en ce sens l’ANSM.

    À voir également sur Le HuffPost: “Canicule ou vague de chaleur, comment faire la différence?”

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      Affaire Dépakine: Sanofi condamné à indemniser une famille

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 14 May, 2022 - 08:10 · 2 minutes

    Le tribunal a estimé que le risque était connu du laboratoire, et qu'il avait le devoir de le mentionner dans la notice. Le tribunal a estimé que le risque était connu du laboratoire, et qu'il avait le devoir de le mentionner dans la notice.

    MÉDICAMENTS - Nouvelle condamnation pour Sanofi dans le scandale Dépakine . Ce jeudi 12 mai, le tribunal de Nanterre a condamné le laboratoire français à indemniser une famille dont la fille, exposée à la Dépakine in utero , est née avec des malformations. Montant de l’indemnité réclamée? 450.000 euros.

    La mère, suivie pour des crises d’épilepsie, a pris ce médicament depuis 1982. En 2004, au cours de sa grossesse, elle prenait 4 comprimés par jour. À l’âge de sept mois, sa fille a été hospitalisée pour une bronchiolite. Il a alors été noté un “retard d’acquisitions global”. Des retards de développement psychomoteurs ont été ensuite observés durant toute son enfance. En 2016, ses parents ont assigné Sanofi devant la justice.

    “Un tournant pour la reconnaissance individuelle des enfants exposés”

    Le tribunal estime que le risque de troubles autistiques en lien avec la Dépakine était connu du laboratoire, au moins en 2005, et qu’en conséquence il avait le devoir de le mentionner dans la notice, selon le jugement consulté ce samedi 14 mai par l’AFP.

    Utilisé depuis 1967 dans le traitement de l’épilepsie et des troubles bipolaires, le valproate de sodium (principe actif de la Dépakine) augmente le risque de malformations physiques (absence de fermeture de la colonne vertébrale, anomalies cardiovasculaires...) et de troubles neuro-développementaux (retard de langage, troubles du spectre de l’autisme...) chez les enfants exposés dans le ventre de leur mère.

    “Cette décision de condamnation du laboratoire marque un tournant pour la reconnaissance individuelle de chacun des enfants exposés à la Dépakine”, a réagi auprès de l’AFP, l’avocat de la famille, Me Charles Joseph-Oudin, appelant le groupe à “changer de comportement dans toutes les procédures”. Selon lui, le laboratoire “doit désormais se ranger à la raison et prendre en charge dignement les familles durement touchées” par le médicament.

    Vers d’autres condamnations?

    Selon le jugement, le laboratoire a reconnu que dès 2003 il avait connaissance des risques en particulier neuro-développementaux, il avait donc dès lors le devoir d’informer les patients dans la notice. C’est seulement en 2006 que la notice déconseillera la Dépakine pendant la grossesse et préconisera la consultation rapide d’un médecin en cas de découverte d’un tel état, précise le jugement.

    À Nanterre, ce dossier est le premier d’une longue série à être jugé au fond. En tout, le tribunal est saisi de 23 dossiers dont un regroupant 272 demandeurs, selon une source judiciaire.

    Une action de groupe lancée en 2017 par l’association de victimes Apesac a été jugée recevable par le tribunal judiciaire de Paris, qui a estimé le 5 janvier que Sanofi avait “commis une faute en manquant à son obligation de vigilance et à son obligation d’information”. Le laboratoire a annoncé un appel.

    À voir également sur Le HuffPost: Mon enfant est atteint d’autisme parce qu’on m’a prescrit de la Dépakine pendant ma grossesse

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      Les éléments du progrès : les produits pharmaceutiques (10)

      Tony Morley · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Sunday, 7 March, 2021 - 04:25 · 4 minutes

    pharmaceutiques

    Par Tony Morley.
    Un article de HumanProgress

    En 1853, Charles Frédéric Gerhardt , un chimiste français, a fait une découverte remarquable. Il a maîtrisé la connaissance de la salicine , un composé chimique naturel dérivé de l’écorce des saules – et a réussi à synthétiser chimiquement l’acide salicylique, une forme synthétique de salicine naturelle et le premier analgésique synthétique de la civilisation. Ce faisant, il a contribué à lancer la révolution pharmaceutique.

    Pour traiter la douleur, les hommes utilisaient sans le savoir la salicine présente dans de nombreuses plantes, mais surtout dans l’écorce de saule, depuis au moins 1500 avant Jésus-Christ, depuis la Mésopotamie et l’Égypte. Mais savoir qu’une plante contient un principe actif et comprendre comment le synthétiser artificiellement à partir de rien sont deux choses très différentes.

    Il a fallu plus de trois mille ans pour maîtriser ce saut technologique dans la chimie pharmaceutique. Outre le soulagement de la douleur, la salicine présentait un autre grand avantage : elle pouvait réduire l’inflammation et faire tomber la fièvre, en particulier chez les enfants.

    Entre 1897 et 1899, un chimiste allemand, Felix Hoffmann , a affiné le processus de synthèse de l’acide acétylsalicylique, une forme raffinée et améliorée de l’acide salicylique synthétique, alors qu’il travaillait pour la société pharmaceutique Bayer basée en Allemagne. Le nom que Bayer a donné au premier médicament produit en masse est aussi connu aujourd’hui qu’au début du siècle. C’est l’aspirine.

    En 1950, l’aspirine était devenue l’analgésique le plus consommé au monde. Aujourd’hui, nous consommons plus de cent milliards de comprimés d’aspirine par an. La mise au point de la chimie et de la technologie nécessaires à la production d’acide acétylsalicylique a été la première d’une série de dizaines de milliers de composés pharmaceutiques naturels et synthétiques produits entre le sommet de la révolution industrielle et aujourd’hui.

    Il est si facile d’oublier à quel point les produits pharmaceutiques modernes ont transformé nos vies. De l’insuline aux contraceptifs modernes, de l’acétaminophène au paracétamol, ces composés non seulement améliorent la vie mais sauvent des vies.

    La Food and Drug Administration (FDA) américaine réglemente à elle seule environ 20 000 médicaments sur ordonnance et composés chimiques utilisés pour traiter des milliers d’affections. Les composés pharmaceutiques dont nous disposons ont contribué à réduire considérablement la morbidité dans les pays développés et en développement.

    Le progrès scientifique stimulé par un réseau commercial en expansion et largement libéralisé, a contribué à faire progresser à la fois le développement et l’utilisation des principales découvertes pharmaceutiques. Il n’est pas exagéré de dire que certains des médicaments les plus importants ont eu un impact significatif sur les moyennes d’espérance de vie, ainsi que sur notre bien-être général.

    Dès l’aube de la révolution industrielle, la société a commencé à produire une série de médicaments révolutionnaires, d’antibiotiques, de vaccins et bien d’ autres choses encore . Parmi ces médicaments clés, on trouve l’éther et la morphine, de puissants antalgiques, inventés respectivement en 1842 et 1827.

    L’insuline, un traitement efficace contre le diabète , a été mise au point en 1922 ; la pénicilline , un antibiotique puissant, en 1942 ; les traitements médicamenteux contre la tuberculose en 1951 ; les contraceptifs oraux dans les années 1960 ; le salbutamol pour traiter l’asthme en 1966 ; et une série de médicaments de chimiothérapie et d’inhibiteurs du VIH efficaces dans les années 1990.

    L’humanité a accompli tout cela et bien plus encore. De puissants anesthésiques, antibiotiques, antipaludéens ou vaccins modernes qui ont également sauvé des centaines de millions de vies – en particulier celles des enfants.

    Aujourd’hui, le marché des produits pharmaceutiques représente plus de 1100 milliards de dollars américains, avec une croissance de plus de 5 % par rapport à la seule année précédente. Les mêmes forces du marché, qui ont contribué à fournir une énergie abondante et peu coûteuse, ainsi que des communications et des voyages rapides et fiables, ont également contribué à faire progresser une industrie qui a amélioré la santé et le bien-être de milliards de personnes.

    Aujourd’hui, la plupart des habitants des pays développés ont un accès relativement peu coûteux à une vaste gamme de médicaments en vente libre et sur ordonnance, dont même les chimistes les plus optimistes de la fin du XIXe siècle ne pouvaient rêver.

    Pour moins cher que le prix d’un café, vous pouvez vous débarrasser d’un mal de tête, prendre une dose d’antibiotique pour traiter une infection, faire baisser la fièvre d’un enfant, fournir une dose de réhydratation orale ou d’anti-histaminique pour les allergies. La bonne nouvelle, c’est que l’innovation et le progrès au sein de l’industrie pharmaceutique continuent à être les moteurs du progrès humain.

    Cela est d’autant plus important que les scientifiques du monde entier s’efforcent de mettre au point des traitements et des vaccins peu coûteux, efficaces et rapidement utilisables pour lutter contre la pandémie de coronavirus SRAS-COV-2.

    https://www.humanprogress.org/stuff-of-progress-pt-10-synthetic-pharmaceuticals/ Sur le web