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      In a world first, RSV vaccines wins FDA approval for adults 60 and up

      news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 4 May, 2023 - 22:42

    An electron micrograph of the respiratory syncytial virus (RSV).

    Enlarge / An electron micrograph of the respiratory syncytial virus (RSV). (credit: Getty | BSIP )

    The Food and Drug Administration issued the world's first approval of a vaccine against respiratory syncytial virus (RSV) , an achievement that researchers have worked toward for decades after a catastrophic clinical trial in the 1960s.

    The vaccine, called Arexvy from pharmaceutical giant GSK, is approved for adults aged 60 and over. The Centers for Disease Control and Prevention will need to recommend the vaccine before it will be available for use. The agency's advisory committee for immunizations is next scheduled to meet June 21 to 22 and could discuss the vaccine then.

    RSV is a common, highly contagious seasonal respiratory infection. It's often associated with infants, who are at especially high risk of developing severe disease. In fact, bronchitis from RSV infections is the leading cause of hospitalization among infants under the age of 1 in the US. But the virus is also dangerous for older adults , causing an estimated 60,000 to 160,000 hospitalizations and 6,000 to 10,000 deaths in older adults each year in the country.

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      FDA authorizes spring COVID boosters for older adults, immunocompromised

      news.movim.eu / ArsTechnica · Tuesday, 18 April, 2023 - 20:49

    A pharmacist holds a bottle containing Moderna's bivalent COVID-19 vaccine.

    Enlarge / A pharmacist holds a bottle containing Moderna's bivalent COVID-19 vaccine. (credit: Getty | Mel Melcon )

    The Food and Drug Administration on Tuesday altered its authorizations for mRNA-based COVID-19 vaccines , retiring the original monovalent versions entirely, streamlining immunizations for the unvaccinated, and offering spring bivalent boosters to those aged 65 and older and people with certain immune compromising conditions.

    The changes will need a sign-off from Rochelle Walensky, director of the Centers for Disease Control and Prevention, before they go into effect. The agency will convene its advisory panel of vaccine experts Wednesday to discuss the changes. Walensky is likely to sign off soon after.

    With the changes, the only mRNA-based COVID-19 vaccines authorized and in use in the country will be the bivalent formulations from Moderna and Pfizer-BioNTech, which initially rolled out last fall. These vaccines target the ancestral COVID-19 strain and the omicron BA.4/5 subvariants.

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      Bonkers Republican bill in Idaho would make mRNA-based vaccination a crime

      news.movim.eu / ArsTechnica · Monday, 20 February, 2023 - 22:11 · 1 minute

    The Comirnaty (Pfizer/BioNTech) and Moderna COVID-19 vaccines.

    Enlarge / The Comirnaty (Pfizer/BioNTech) and Moderna COVID-19 vaccines. (credit: Getty | Marcos del Mazo )

    Two Republican lawmakers in Idaho have introduced a bill that would make it a misdemeanor for anyone in the state to administer mRNA-based vaccines—namely the lifesaving and remarkably safe COVID-19 vaccines made by Pfizer-BioNTech and Moderna. If passed as written, it would also preemptively ban the use of countless other mRNA vaccines that are now in development, such as shots for RSV , a variety of cancers, HIV, flu, Nipah virus, and cystic fibrosis, among others.

    The bill is sponsored by Sen. Tammy Nichols of Middleton and Rep. Judy Boyle of Midvale, both staunch conservatives who say that stand for freedom and the right to life. But their bill, HB 154 , proposes that "a person may not provide or administer a vaccine developed using messenger ribonucleic acid [mRNA] technology for use in an individual or any other mammal in this state." If passed into law, anyone administering lifesaving mRNA-based vaccines would be guilty of a misdemeanor, which could result in jail time and/or a fine.

    While presenting the bill to the House Health & Welfare Committee last week, Nichols said their anti-mRNA stance stems from the fact that the COVID-19 vaccines were initially allowed under emergency use authorizations (EUAs) from the Food and Drug Administrations, not the agency's full regulatory approval. "We have issues that this was fast-tracked," she told fellow lawmakers, according to reporting from local news outlet KXLY.com .

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      Pfizer piégé : le récit unique sur le Covid-19 continue de s’effondrer

      ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 3 February, 2023 - 04:00 · 14 minutes

    Une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux semble accuser Pfizer de développer des mutations sur le Covid-19 pour développer des vaccins.

    Filmé en caméra cachée par l’organisation conservatrice Project Veritas , un cadre de l’entreprise pharmaceutique y explique à son interlocutrice quatre choses intéressantes sur la politique de son employeur :

    « L’une des choses que nous explorons est la suivante : pourquoi ne pas simplement le faire muter nous-mêmes pour pouvoir créer – développer préventivement de nouveaux vaccins, n’est-ce pas ? Donc, nous devons faire ça. Mais si on le fait, il y a un risque, comme vous pouvez l’imaginer, que personne ne veuille qu’une entreprise pharmaceutique fasse muter ces putains de virus. »

    « Ne le dis à personne. Promets que tu ne le diras à personne. Le principe est le suivant : on inocule le virus à des singes, on les oblige successivement à s’infecter les uns les autres et on prélève des échantillons en série sur eux. »

    « Il faut être très contrôlé pour s’assurer que le virus que l’on fait muter ne crée pas quelque chose qui se propage partout. Ce qui, je le soupçonne, est la façon dont le virus a commencé à Wuhan, pour être honnête. Ça n’a aucun sens que ce virus sorte de nulle part. C’est des conneries. »

    « D’après ce que j’ai entendu, ils sont en train de l’optimiser mais ils vont lentement parce que tout le monde est très prudent – évidemment, ils ne veulent pas trop accélérer les choses. Je pense qu’ils essaient également de le faire à titre exploratoire car il est évident que l’on ne veut pas faire de publicité sur le fait que l’on cherche à découvrir de futures mutations. »

    Panique et interrogations

    Très rapidement, la vidéo repartagée sur le compte Twitter du docteur Robert Malone devient virale sur le réseau, suscitant panique, indignation et paranoïa. Le labo serait-il en train de mener des recherches de type « gain de fonction » ou « évolution directe » afin d’engranger profits sur profits grâce aux vaccins déclinés sur mesure pour correspondre aux nouveaux variants ?

    Le communiqué de presse de Pfizer, qui ne dément pas vraiment les propos de son employé, assure que « Pfizer n’a pas effectué de recherche sur le gain de fonction ou l’évolution dirigée » et que leurs recherches « sont entreprises dès qu’une nouvelle variante préoccupante a été identifiée par les autorités de santé publique » : donc du côté de la caméra cachée comme de la comm’ officielle de Pfizer, il n’y a pas d’ambiguïté, nous n’avons pas affaire aux apprentis sorciers qui font naître de nouveaux variants par appât du gain comme la mise en scène dramatique du Project Veritas laisse supposer.

    Pfizer ne fait qu’exploiter les variants déjà là pour anticiper ses développements futurs par des vaccins, ce qui semble être quelque chose d’assez routinier dans le milieu. Après tout, l’évolution directe est quelque chose de commun en virologie, tout comme l’usage de singes en matière de recherches sur les virus de type SARS-2.

    Si la vidéo est un non évènement sur le plan virologique ou pharmaceutique, pourquoi donc en parler ? Parce que son traitement médiatique chaotique, tout comme les fantasmes qu’elle suscite, en disent long sur la manière autoritaire et discrétionnaire dont s’est imposé le discours unique sur le covid porté par les labos, les médias et les États.

    Cette volonté de contrôler le discours public sanitaire a provoqué une vague de défiance populaire sans précédent, pour le meilleur et pour le pire. Le meilleur s’est retrouvé du côté des défenseurs des libertés publiques atterrés par l’assaut des covidistes contre la liberté de la presse et le pluralisme politique, le pire du côté d’un sentiment des discours complotistes et antivax devenus malheureusement mainstream .

    Imposer un discours unique sur le covid

    Mais reprenons. Quelques heures après la publication de la vidéo du Project Veritas , elle disparaît de Google et n’apparaît plus en recherches sur les réseaux sociaux.

    Dans un premier temps la grande presse ne s’y intéresse pas trop, et c’est finalement parce que la vidéo jouit d’une grande popularité sur Twitter qu’on assiste à quelques articles de fact-checking des jours après sa diffusion.

    Un pseudo-débat se forme pour se demander si l’employé de Pfizer est réellement un employé de Pfizer (sans surprise, oui il travaille bien pour le labo ).

    Ghosting , censure préalable discrète, gaslighting sur les réseaux puis service après-vente de la presse pour rectifier le tir sur la « désinformation covid » et la mettre en conformité avec le discours porté par les labos et les institutions.

    La manœuvre ne date pas d’hier, mais remonte à 2019. En effet, dès le 14 février de cette année, le directeur général de l’OMS déclare au cours de la conférence de Munich sur la sécurité que la lutte n’est pas seulement contre l’épidémie, mais contre « l’infodémie », c’est-à-dire les fake news et la désinformation sur la science. « Notre pire ennemi n’est pas le virus lui-même. Ce sont les rumeurs, les peurs et les marques d’infamie » affirme-t-il en une autre occasion.

    Contre les Fake News

    C’est pour contrer cette « désinformation » que l’OMS va commencer à travailler main dans la main avec les médias et en particulier les réseaux sociaux comme Facebook, Google, Tiktok, Youtube ou encore Tencent et même Wikipédia. À partir de ce moment-là, l’OMS construit une stratégie de communication à échelle mondiale pour s’assurer que tous les messages de santé publique sur le covid aillent « dans le bon sens ».

    Elle fait d’abord en sorte que Google répercute les bonnes informations en haut de sa page de recherches. Ensuite, elle va rechercher le soutien des principaux réseaux sociaux et même de compagnies comme Uber ou Airbnb pour relayer son discours sanitaire. Finalement, elle recrute des influenceurs et des faiseurs d’opinion pour contrôler le contenu des plateformes vidéos et réseaux sociaux.

    C’est peu de temps après qu’on peut voir apparaître sur Facebook les fameux messages attachés à tous les contenus repartagés sur la question du Covid. La société a décidé de faire disparaître les propos et théories « conspirationnistes » dénoncées par les organismes internationaux, c’est-à-dire principalement l’OMS.

    En résumé, l’organisation va s’assurer qu’une grande partie des entreprises de presse et des médias relaient le discours sur le covid proposé par l’OMS et s’attacher à discréditer tout ce qui s’en écarte. En ce sens, la réputation des industries pharmaceutiques qui marchent de concert avec les États et les organismes internationaux se révèlent aussi particulièrement attentifs à leur réputation publique.

    Pas besoin de conspiration pour expliquer cette coordination verticale diffuse et totalisante, véritable bureaucratie parallèle qui va se mettre en place contre la désinformation : toutes les étapes de sa mise en place sont publiques et revendiquées, au nom de la sacro-sainte lutte contre l’infodémie.

    Or ce qui s’écarte du discours officiel n’est pas nécessairement antiscience ou antivax, mais peut tout simplement être critique sur la stratégie adoptée, qui, rappelons-le faisait des confinements, du tracing numérique et de la vaccination à grande échelle avec ségrégation sociale des non-vaccinés pour l’ensemble de la population mondiale.

    Et puis est arrivé Elon Musk , qui rachète Twitter et préfère la liberté d’expression au consensus covid obligatoire. Les Twitter Files , comme par hasard fort peu relayées par une grande presse tout occupée à critiquer le patron de Tesla, ont soulevé un coin du voile des méthodes de harcèlement des institutions comme des labos visant à faire taire les voix politiques mais aussi scientifiques discordantes sur le sujet covid sur Twitter. Il ne s’agissait pas seulement de proposer un seul récit scientifique acceptable mais aussi de faire taire toute critique qui s’écartait du plan média de l’OMS.

    L’OMS sous influence

    Sauf que l’OMS, qui va s’occuper de coordonner la réponse à la crise covid, est loin d’être un organe neutre et indépendant. Son orientation et sa stratégie globale relèvent de choix politiques et sur la question de la gestion covid, elle s’est alignée sur la politique autoritaire de la Chine à partir de février 2020. Pour la première fois dans l’histoire de la lutte contre les épidémies, on va employer des confinements, c’est-à-dire des techniques de contrôle qui relèvent davantage du droit pénal (les résidences surveillées) que des réponses pharmaceutiques classiques.

    Toby Green et Thomas Fazi rappellent dans leur essai The Covid Consensus que, à cette époque, l’Italie subit la première crise sanitaire en dehors de la Chine, poussant les autorités à placer plusieurs municipalités de Lombardie en quarantaine.

    Plus important, l’OMS publie le 24 un rapport cosigné par le Dr Bruce Aylward et le Dr Wannian Liang  du ministère chinois de la Santé sur la crise covid à Wuhan. On y explique que l’origine du virus est clairement zoonotique et surtout on reprend les directives de Xi Jinping sur la nécessité d’éradiquer totalement le virus par tous les moyens possibles.

    C’est cette volonté qui expliquera que le pouvoir politique va d’emblée écarter les solutions classiques limitées dans le temps et à certaines franges de la population de lutte contre la pandémie pour tester de nouvelles techniques, dont des mesures de santé publique « non pharmaceutiques » comme la détection et l’isolation, le traçage des contacts, et des quarantaines de type « cordon sanitaire ». « Les mesures qui ont été employées pour contenir le Covid-19 en Chine sont les seules mesures qui sont actuellement éprouvées pour interrompre ou minimiser les chaînes de transmission entre humains », peut-on lire noir sur blanc dans le rapport, vendant la solution chinoise comme unique et transposable dans toutes les situations possibles.

    En l’espace de quelques semaines, au sein de l’OMS, le paradigme ancien en termes de lutte contre les épidémies est mis à la poubelle et un nouveau consensus s’établit au sein de la communauté scientifique en accord avec les directives d’un des pays les plus autoritaires, antidémocratiques au monde. En quelque sorte, pour résumer, l’acceptation par l’OMS du modèle sanitaire chinois a « nettoyé » son message de toute dimension politique visible pour le rendre manipulable par les technocrates du monde entier.

    Le faux consensus narratif sur le covid

    Le récit covid unique officiel qui va s’imposer va toutefois vite se désagréger. Aujourd’hui, la soi-disant gestion exemplaire chinoise offre au monde entier le spectacle d’un système à la fois carcérale et économiquement suicidaire.

    Il n’y aura pas de Great Reset ou de société post-libérale vantée par des élites sous influence. La feuille de route covid avait des trous, elle a changé en fonction des circonstances et des intérêts particuliers, sa rhétorique technocratique dissimulait (mal) le riant modèle politique chinois sur lequel s’est appuyé l’OMS pour diffuser la bonne parole en matière de lutte contre la pandémie. Son impact catastrophique sur la santé, l’économie, les libertés publiques partout en Occident a incité beaucoup de ses défenseurs à le renier. Une partie même de ses plus fervents défenseurs a fini par exprimer des regrets, à l’image de Delfraissy , qui a cherché à minimiser son rôle dans la catastrophe générale.

    Sur les revirements successifs de la vérité covidienne, prenons l’exemple évoqué par l’employé de Pfizer.

    Dans la vidéo de Project Veritas , il suggère que le virus est sorti d’un laboratoire et n’a pas une origine naturelle. Or le discours officiel sur la question a longtemps considéré cette hypothèse comme relevant du complotisme, interdisant toute discussion sérieuse sur le sujet.

    Il a fallu quelques esprits indépendants, comme Nicolas Wade aux États-Unis, Matt Ridley en Grande-Bretagne ou encore Yves Bourdillon dans les colonnes de Contrepoints pour évoquer cette piste jusqu’alors considérée comme impensable par les gens sérieux.

    Sur le sujet, l’orthodoxie sanitaire a changé et les persécutions médiatiques contre les hérétiques « complotistes » ont cessé. Mais on retrouve le même type de mécanisme autoritaire interdisant tout débat rationnel au sein des populations quand il a été question d’interroger l’efficacité des masques, la pertinence des modèles mathématiques de prédiction (qui se sont révélés faux pour la plupart), la vaccination quasi obligatoire, ses effets secondaires indésirables, la nécessité de construire une immunité naturelle, l’isolement des fractions de population les plus susceptibles d’être victimes du covid, le caractère liberticide de zero covid , l’hospitalocentrisme de la réponse politique française, les traitements préventifs du covid, la pertinence sanitaire des confinements, ou bien entendu la nécessité d’un pass sanitaire et la normalisation de la ségrégation sociale pour raison sanitaire.

    Quelques questions qui dérangent

    Green et Fazi font du récit unique sur le covid l’origine du désastre global que fut la lutte contre la pandémie. Seulement, leurs interrogations – et les réponses qu’ils proposent – sont plus dérangeantes encore. Comment se fait-il que le modèle autoritaire chinois ait été accepté avec autant de facilité par notre classe politique, mais aussi par une fraction non négligeable de la population ?

    Le premier élément de réponse proposé porte sur l’influence croissante de la Chine dans le monde, qui non seulement s’étend mais répond à une politique de compétition et donc d’influence avec les États-Unis.

    En réponse au soft power américain, le gouvernement chinois cherche également à étendre discrètement son emprise. C’est grâce à cette stratégie d’influence que la Chine a réussi à défendre son « capitalisme autoritaire » comme un véhicule distinct du modèle occidental et plus efficace pour moderniser que celui porté par les démocraties libérales.

    Plus inquiétant encore, le modèle chinois a tout pour séduire des élites technocratiques occidentales, qui ont pu retrouver dans le management autoritaire de la crise l’apparence d’efficacité qu’ils recherchent pour leurs propres organisations. Pour Fazi et Green, il faudrait s’inquiéter d’une possible convergence autoritaire entre Chine et Occident sur le sujet, dans laquelle les élites technocratiques se retrouvent pour cornériser au final les institutions traditionnelles du libéralisme politique.

    Le second élément de réponse proposé par Fazi et Green repose sur l’acceptation par les populations de la gouvernance par l’exception permanente. Sur le sujet, pour les deux auteurs la crise covid n’a fait qu’accélérer une tendance de fond. Depuis maintenant plusieurs décennies, la succession de crises, terroriste, économique, sanitaire, militaire normalise l’idée que par souci d’efficacité politique, il convient de s’habituer à la précarité de situation et à l’extension des pouvoirs de l’État, en particulier en matière de surveillance. De facto, cela revient à admettre l’obsolescence de l’État de droit et d’un gouvernement aux pouvoirs limités pour respecter les libertés individuelles.

    Derrière la vidéo du Project Veritas , il n’y a donc pas seulement la communication étrange de Pfizer, le flot de commentaires angoissés qu’elle a suscités et une compagne de communication étonnamment artificielle qui posent problème. C’est un témoignage des effets pervers du retour de la propagande à l’ère informationnelle et du recul généralisé de la culture libérale partout dans le monde.

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      RSV vaccine for older adults is 84% effective, Moderna says

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 18 January, 2023 - 20:54

    Image of a syringe in front of a Moderna company logo.

    Enlarge (credit: DeFodi Images )

    Moderna's mRNA-based vaccine against RSV (respiratory syncytial (sin-SISH-uhl) virus) was effective at preventing disease in older adults, according to preliminary, top-line results of an ongoing phase III clinical trial the company announced Tuesday . Moderna said it will now seek regulatory approval for the vaccine in the first half of this year.

    According to the company, the vaccine was 83.7 percent effective at preventing RSV-associated lower respiratory tract disease (RSV-LRTD) involving two or more symptoms in adults age 60 and over. It was 82.4 percent effective at preventing RSV-LRTD with three or more symptoms in the same group. No safety concerns were identified.

    The findings are another positive sign for mRNA vaccine platforms generally, which Moderna and other pharmaceutical companies have quickly shifted to for fighting various other infections and diseases given the global success of mRNA-based COVID-19 vaccines. mRNA-based vaccines are now in development for everything from seasonal flu to HIV and certain cancers.

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      Twitter Files : comment Pfizer a étouffé la contestation de ses vaccins

      Jonathan Frickert · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Tuesday, 17 January, 2023 - 04:30 · 6 minutes

    Mythologique roi d’Elis, petite cité située à l’est de la Grèce, Augias est surtout connu pour ses écuries nettoyées par Hercule lors du cinquième de ces douze travaux.

    Si celles du fils d’Hélios sont devenues un modèle du genre, les écuries twitteresques ne nous donnent guère d’autre image, tant Jack Dorsey et Elon Musk semblent avoir remplacé Augias et Hercule pour nos contemporains.

    Après les révélations sur la collusion avec l’État américain , les listes noires et les millions de dollars payés par le FBI au réseau à l’oiseau bleu , c’est sur fond de débat sur les vaccins anti-covid que les dernière révélations arrivent sur le devant de la scène.

    Ainsi, les courriels révélés lors de cette grande purge d’informations montrent qu’un haut cadre du géant américain Pfizer a usé d’influence pour faire censurer des gazouillis qui auraient pu nuire à la vente de vaccins de l’entreprise dirigée depuis 2019 par le vétérinaire grec Albert Bourla, nommé en pleine traversée du désert du fait de l’expiration de ses principaux brevets.

    Une histoire mêlant un ancien commissaire de la FDA, un ancien amiral 4 étoiles de l’armée américaine, un lobbyiste démocrate et un blogueur sceptique.

    Un homme d’intérêts

    Pour commencer, attardons-nous sur le protagoniste : Scott Gottlieb est un médecin à 550 000 suiveurs sur Twitter. Ancien commissaire de l’autorité de régulation des médicaments, il contribue régulièrement à la chaîne CNBC, un des nombreux équivalents américains de BFM Business. Voix éminente dans le débat sanitaire, Gottlieb est surtout membre du comité exécutif du conseil d’administration de Pfizer et chef de son comité de réglementation et de conformité, supervisant les réglementations et procédures applicables à la vente et au marketing de l’entreprise.

    Ces fonctions lui permettent de percevoir la coquette somme de 365 000 dollars annuels de la part de la firme dont près de la moitié du chiffre d’affaires de l’année 2021 était liée aux vaccins contre le Covid-19.

    Une épine dans le pied

    Cet intérêt l’a sans doute incité à demander la suppression de tweets mettant en cause les vaccins proposés par la société au logo bleu.

    Deux tweets en particulier sont mis en exergue par les différents échanges de courriels.

    Le premier, publié début septembre 2021, vient d’un blogueur, Justin Hart, 123 000 suiveurs au compteur, moquant le taux de mortalité du virus asiatique et questionnant l’intérêt de faire perdre trois années de scolarité aux enfants au nom d’une maladie tuant moins de 1 % de la population.

    Plus étonnant est le second tweet visé, une semaine plus tôt seulement, puisqu’il a été écrit par le docteur Brett Giroir, ancien collègue de Gottlieb, amiral et coresponsable de la santé publique dans l’administration Trump. Un homme reconnu, loin d’être antivaccins, qui a eu le malheur d’évoquer la supériorité de l’immunité naturelle sur l’immunité vaccinale tout en encourageant les personnes fragiles à se faire vacciner.

    Éviter la contagion

    Face à ces tweets, Gottlieb aurait fait appel au même lobbyiste que celui de l’administration démocrate en place, Todd O’Boyle, point de contact entre Joe Biden et Twitter, afin que le tweet ne puisse devenir – sans mauvais jeu de mot – viral.

    Il aurait écrit :

    « Ici, il tire une conclusion radicale d’une seule étude rétrospective en Israël qui n’a pas été examinée par des pairs. Mais ce tweet finira par devenir viral et entraînera une couverture médiatique. »

    Par l’intermédiaire de Jira, le système interne de gestion des plaintes de Twitter, O’Boyle aurait transmis cette demande en omettant soigneusement d’évoquer les intérêts financiers de Gottlieb dans la firme pharmaceutique.

    La Strategic Response , en charge de ces cas, a conclu à l’absence de violation des règles d’utilisation, mais une étiquette « misleading », mentionnant le caractère fallacieux du gazouillis, est ajoutée à ce dernier.

    Une justification sécuritaire

    Les raisons de ces attaques contre les deux tweets ont été justifiées diversement.

    Celui de Justin Hart menaçait des intérêts directs de Pfizer, qui allait voir son vaccin approuvé incessamment sous peu pour les enfants âgés de 5 à 11 ans. Or, si les parents commençaient à douter de la pertinence d’une telle vaccination, les ventes de ce produit risquaient de dégringoler.

    Cet argument, non assumé par Gottlieb, s’ajoute à une explication émanant du protagoniste principal lundi 9 janvier. Sans jamais rien nier de ce dont il est accusé, Gottlieb a évoqué le climat de violence, y compris physique, à l’encontre des partisans de la vaccination. Sa démarche était sécuritaire, afin d’éviter que lui et les siens ne soient un jour agressés par un opposant. À l’appui de ses propos, il a de lui-même publié des courriels visant des tweets menaçant sa personne et sa famille.

    Dans un tweet publié peu après, Gottlieb ajoute à sa justification l’évocation de la volonté d’un dialogue respectueux sur le sujet des vaccins.

    Or, le tweet de Brett Giroir n’avait rien de radical, insultant ou violent mais s’inscrivait justement dans un débat apaisé entre médecins compétents sur ces sujets.

    Gottlieb aurait également visé des tweets d’Alex Berenson, journaliste américain lauréat en 2007 du Prix Edgar Allan Poe pour son roman d’espionnage The Faithful Spy et opposé à la gestion de la pandémie telle que pratiquée en Occident. Un journaliste soutenu de longue date par le nouveau propriétaire du réseau social fondé par Jack Dorsey et qui aurait eu le tort de critiquer à plusieurs reprises le docteur Fauci, conseiller santé de Donald Trump puis de Joe Biden et connu pour son inimitié à l’égard du premier.

    Une habituée des polémiques

    Fondée en 1846 à New York et évoluant initialement dans la confiserie, Pfizer n’est pas à sa première polémique. En 177 ans d’existence, l’histoire de la société a été égayée de plusieurs affaires. Entre 1995 et 2009, l’entreprise aurait payé près de 6171 milliards de dollars d’amende dans des affaires allant de la mort d’enfants nigerians lors de tests de médicaments contre la méningite en 1996 à la contamination de salariés par un virus créé en laboratoire en passant par des faits de corruption avec les autorités chinoises , l’affaire Cahuzac-Rocard ou encore les doutes sur les contrats passés avec différents pays et autorités, allant jusqu’à des pressions sur certains États sud-américains .

    La dernière controverse nous ramène dans l’Hexagone et en particulier dans la cité phocéenne où 300 patients ayant contracté des maladies après une vaccination contre la Covid-19 par le géant américain ont assigné la firme en justice . La première audience s’est déroulée le 9 janvier dernier.

    Un enchaînement d’affaires

    Lancés par Elon Musk et plusieurs journalistes début décembre, les Twitter Files nous éclairent sur le débat public américain des trois dernières années, brossant aussi bien les affaires Hunter Biden que la gestion de la pandémie de Covid-19.

    Les rapports étroits entre le réseau aux 544 millions d’utilisateurs et les autorités américaines, du gouvernement fédéral au FBI, ont déjà ouvert les yeux des plus sceptiques, notamment s’agissant de la gestion de la pandémie et du traitement des dernières élections présidentielles américaines.

    Il y a toutefois fort à parier que nous n’ayons, pour l’instant, vu que la face émergée de l’iceberg.

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      Moderna CEO: 400% price hike on COVID vaccine “consistent with the value”

      news.movim.eu / ArsTechnica · Tuesday, 10 January, 2023 - 19:21

    Moderna CEO Stephane Bancel during a Bloomberg Television interview on the closing day of the World Economic Forum in Davos, Switzerland, on May 26, 2022.

    Enlarge / Moderna CEO Stephane Bancel during a Bloomberg Television interview on the closing day of the World Economic Forum in Davos, Switzerland, on May 26, 2022. (credit: Getty | Jason Alden )

    Moderna is considering raising the price of its COVID-19 vaccine by over 400 percent—from $26 per dose to between $110 and $130 per dose— according to a report by The Wall Street Journal.

    Ars has reached out to Moderna for comment but has not yet received a response. The plan, if realized, would match the previously announced price hike for Pfizer-BioNTech's rival COVID-19 vaccine .

    The Journal spoke with Moderna CEO Stephane Bancel at the JP Morgan Healthcare Conference in San Francisco Monday, who said of the 400 percent price hike: "I would think this type of pricing is consistent with the value.”

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      “Pure and deadly greed”: Lawmakers slam Pfizer’s 400% price hike on COVID shots

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 14 December, 2022 - 13:57

    A man in an open-collared suit addresses a woman in a matching chair.

    Enlarge / Pfizer Chairman and CEO Dr. Albert Bourla speaks onstage at the 2022 SXSW Conference at JW Marriott Austin on March 14, 2022, in Austin. (credit: Getty | Chris Saucedo )

    Senator Elizabeth Warren (D-Mass.) and Senator-elect Peter Welch (D-Vt.) sent a scathing letter to Pfizer CEO Albert Bourla this week over the company's plan to increase the price of its COVID-19 vaccines by 400 percent next year when it enters the commercial market.

    "We urge you to back off from your proposed price increases and ensure COVID-19 vaccines are reasonably priced and accessible to people across the United States," they wrote, while also requesting information about the company's revenue and profits.

    In October, Pfizer revealed plans to sell its COVID-19 vaccine from somewhere between $110 and $130 next year. Most recently, the US government paid only about $30 per dose.

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      Amid pathetic uptake, FDA green lights confusing COVID vaccine update for kids

      news.movim.eu / ArsTechnica · Friday, 9 December, 2022 - 23:08

    Reisa Lancaster RN, left, administers the Covid-19 vaccine to 14 month old Ada Hedge, center, being comforted by mom Sarah Close and dad Chinmay Hedge, right at  Children's National Research and Innovation Campus, in Washington, DC.

    Enlarge / Reisa Lancaster RN, left, administers the Covid-19 vaccine to 14 month old Ada Hedge, center, being comforted by mom Sarah Close and dad Chinmay Hedge, right at Children's National Research and Innovation Campus, in Washington, DC. (credit: Getty | The Washington Post, Bill O'Leary )

    The Food and Drug Administration has greenlit updated COVID-19 vaccine doses for children under the age of 5, but the change to the authorized vaccination regimens is far from straightforward. This may further hamstring efforts to vaccinate the youngest Americans, which are already off to an abysmal start.

    After months of availability, only about 3 percent of infants and toddlers 6 months to 2 years old have completed a primary series. Just 6.5 percent have gotten at least one shot, according to data from the Centers for Disease Control and Prevention . For those aged 2 to 4 years, just under 5 percent have completed a primary series, with 9 percent having gotten at least one dose.

    It was back in June when the FDA authorized—and the CDC endorsed—small doses of both Moderna's and Pfizer's COVID-19 vaccines for children as young as 6 months old.

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