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      Jacques Bouthier, PDG d'Assu 2000, incarcéré pour viols sur mineure et traite d'êtres humains

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 23 May, 2022 - 18:39 · 3 minutes

    Le palais de justice de Paris (photo d'illustration) Le palais de justice de Paris (photo d'illustration)

    JUSTICE - Le PDG d’un groupe d’assurances a été mis en examen et incarcéré samedi avec cinq autres personnes dans une enquête pour “traite des êtres humains” et “ viols sur mineure ” notamment, a-t-on appris ce lundi 23 mai de sources judiciaire et proches du dossier, confirmant une information de RTL.

    Le dirigeant mis en cause est Jacques Bouthier, 75 ans, dirigeant du groupe Assu 2000, ont précisé à l’AFP des sources proches du dossier, confirmant des informations de plusieurs médias.

    À l’issue d’une enquête préliminaire ouverte mi-mars, les six suspects ont été mis en examen, “dans le cadre d’une information judiciaire ouverte samedi, (...) des chefs de traite des êtres humains à l’égard de mineur et tentative, viols sur mineure de plus de 15 ans, recours à la prostitution d’un mineur” et “agressions sexuelles sur mineure de moins de 15 ans”.

    Une jeune femme captive pendant cinq ans

    Ils sont en outre soupçonnés d’“association de malfaiteurs en vue de commettre le crime d’enlèvement et séquestration en bande organisée et détention d’images pédopornographiques”, selon cette même source. Les six personnes ont été “mises en examen le même jour et placées en détention provisoire”, a-t-elle précisé.

    Selon une source proche du dossier citée par la radio, une jeune femme de 22 ans s’est présentée aux policiers parisiens en mars, expliquant que depuis cinq ans, elle était “captive” d’un homme richissime qui la violait. Devenant, selon ses dires, “trop âgée pour lui”, la jeune femme aurait été forcée de trouver une “remplaçante” pour prendre sa suite. Une adolescente de 14 ans a alors pris sa place dans l’appartement. La plaignante est parvenue à les filmer ensemble dans un lit, avant de confier la vidéo aux enquêteurs.

    Le PDG est soupçonné d’avoir voulu mettre sur pied une équipe pour enlever la jeune femme, saisir la vidéo et la forcer à quitter la France, ajoute RTL. Pour cela, le septuagénaire aurait sollicité sa femme, deux employés de sa compagnie, une jeune femme proche de la plaignante, ainsi qu’un ancien gendarme membre du GIGN. Tous ont été mis en examen et incarcérés samedi.

    Jacques Bouthier refuse de s’exprimer

    Au moins sept jeunes femmes, mineures ou jeunes majeures, se seraient succédé dans l’appartement, selon RTL. Sollicitée par l’AFP, l’avocate de M. Bouthier n’a pas souhaité s’exprimer.  L’enquête a été confiée à la Brigade de protection des mineurs de la PJ parisienne.

    De son côté le groupe, renommé Vilavi en janvier, a affirmé avoir “pris connaissance des éléments relayés par voie de presse cet après-midi” (lundi NDLR). “Ils sont sans préjudice sur la conduite opérationnelle et commerciale de l’entreprise, autour de l’équipe en place”, a déclaré un porte parole à l’AFP.

    Le groupe Assu 2000, fondé en 1975 et dirigé par M. Bouthier, renommé Vilavi en janvier dernier, se présente comme le “premier courtier expert en assurance et en crédit dédié aux particuliers en France” et revendique 1800 collaborateurs et 163 millions d’euros de chiffre d’affaires.

    En 2020, le magazine Challenges plaçait le dirigeant en 487e position dans son classement des principales fortunes de France, avec un patrimoine estimé à 160 millions d’euros. Il est sorti du classement en 2021.

    À voir également aussi sur le Huffpost: À Cannes, une activiste dénonce les viols russes en Ukraine sur le tapis rouge

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      Shkreli released from prison to halfway house after serving

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 18 May, 2022 - 18:59

    Martin Shkreli, former CEO of Turing, smirked his way through a congressional hearing.

    Enlarge / Martin Shkreli, former CEO of Turing, smirked his way through a congressional hearing. (credit: CSPAN )

    Infamous ex-pharmaceutical executive Martin Shkreli has been released from federal prison after serving less than five years of a seven-year sentence for a securities and wire fraud conviction. He is now moving into a US Bureau of Prisons halfway house at an undisclosed location in New York until September 14, 2022.

    Shkreli was convicted in August 2017 on two counts of securities fraud and one count of conspiracy to commit securities fraud in connection to what federal prosecutors called a Ponzi-like scheme involving two hedge funds Shkreli managed. In March 2018, a federal judge sentenced him to seven years, which he was serving in minimum security federal prison in Allenwood, Pennsylvania.

    His early release—slightly more than four years after his sentencing—reflects time shaved off for good behavior in prison, plus completion of education and rehabilitation programs, according to CNBC . It also includes a credit for the roughly six months he spent in jail prior to his sentencing.

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      En Arizona, ce condamné à mort devra choisir entre l'injection létale ou la chambre à gaz

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 4 May, 2022 - 19:42 · 2 minutes

    L'État de l'Arizona propose la chambre à gaz à un condamné à mort. (photo d'illustration: une prison américaine) L'État de l'Arizona propose la chambre à gaz à un condamné à mort. (photo d'illustration: une prison américaine)

    ÉTATS-UNIS - Après le peloton d’exécution ou la chaise électrique, la chambre à gaz: des États américains conservateurs, confrontés à des difficultés autour des injections létales, cherchent des alternatives venues du passé pour procéder à l’exécution de leurs condamnés à mort.

    Mardi, la Cour suprême de l’ Arizona a fixé au 8 juin l’exécution de Frank Atwood, condamné en 1987 pour le meurtre d’une fillette de huit ans, et lui a donné quinze jours pour choisir entre l’injection létale ou l’inhalation de gaz mortels.

    Selon son avocat, les autorités pénitentiaires envisagent d’utiliser du cyanure d’hydrogène, l’élément principal du Zyklon-B, tristement associé à l’ Holocauste . Or la mère de Frank Atwood était juive et avait fui l’Autriche en 1939 pour échapper aux nazis, a précisé Me Joe Perkovich.

    Aux États-Unis , seuls sept États autorisent l’usage de gaz létaux pour exécuter les condamnés à mort mais, en pratique, aucun n’y a eu recours depuis 1999. La plupart des exécutions ont lieu par l’injection de produits chimiques.

    Des doutes sur la légalité de ce protocole -soupçonné de causer des souffrances illégales aux condamnés- et le refus des laboratoires pharmaceutiques de fournir ces produits ont toutefois entraîné un recul marqué de la peine de mort dans le pays.

    En 2014, un détenu avait agonisé pendant deux heures

    L’Arizona n’a ainsi procédé à aucune exécution depuis 2014, quand un détenu avait agonisé pendant deux heures, pris de convulsions après l’injection de substances létales.

    Ses autorités ont décidé de renouer avec la pratique cette année.

    Avant Frank Atwood, elles ont prévu d’exécuter le 11 mai Clarence Dixon, condamné pour le meurtre d’une étudiante. Lui aussi avait eu deux semaines pour demander la chambre à gaz, afin d’éviter l’injection létale. Son silence a valu acceptation de la seconde option.

    En février, la communauté juive locale avait porté plainte, en vain, pour empêcher les autorités de recourir au cyanure d’hydrogène. “C’est effroyable que l’Arizona ait choisi le Zyklon-B, le produit chimique utilisé par les nazis à Auschwitz pour tuer plus d’un million de personnes”, avait expliqué Tim Eckstein, qui préside le Conseil des relations de la communauté juive du Grand Phoenix (JCRC).

    En avril, la Caroline du Sud avait également suscité l’émoi en proposant à un condamné de choisir entre le peloton d’exécution et la chaise électrique. Son exécution avait été suspendue in extremis par la Cour suprême de l’État.

    À voir également sur Le HuffPost : Los Angeles: 30 ans après les émeutes, le message de paix de la fille de Rodney King

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      Aux États-Unis, la mystérieuse évasion d'un détenu et d'une gardienne de prison

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 3 May, 2022 - 11:21 · 3 minutes

    Casey White et Vicky White ont disparu ce lundi. Le premier risque la peine de mort, la seconde avait vendu sa maison et allait prendre sa retraite. Casey White et Vicky White ont disparu ce lundi. Le premier risque la peine de mort, la seconde avait vendu sa maison et allait prendre sa retraite.

    CAVALE - Un détenu multi-récidiviste qui risque la peine de mort, une gardienne de prison sur le point de prendre sa retraite, une voiture retrouvée sur un parking... Le scénario est digne d’un film. Un mandat d’arrêt a été émis aux États-Unis contre une agente des services pénitentiaires ayant contribué à la mystérieuse évasion d’un détenu “extrêmement dangereux”, a annoncé ce lundi 2 mai la police.

    Casey White, un colosse de 2,06 mètres pour 118 kilos, s’est évadé vendredi de la prison du comté de Lauderdale, dans l’Alabama. Déjà condamné à 75 ans de prison pour une longue série d’infractions, dont violation de domicile, vol de voiture avec violence et délit de fuite, il faisait en outre face à un chef d’inculpation pour meurtre après avoir reconnu avoir tué une femme de 58 ans en 2015.

    Le détenu de 38 ans a quitté la prison un peu avant 10h sous la supervision d’une responsable de l’administration pénitentiaire , Vicky White – en dépit de leur homonymie, les deux ne sont pas apparentés –, qui a indiqué qu’elle allait le conduire au tribunal pour une évaluation psychologique avant de se rendre elle-même chez le médecin. Ce n’est que vers 15h30 que les autorités réalisent que ni l’un ni l’autre ne sont de retour. Leur véhicule est retrouvé vide sur le parking d’un centre commercial.

    Les détenus transportés par des binômes

    “Nous savons que [Vicky White] a participé” à l’évasion, a dit le shérif du comté de Lauderdale, Rick Singleton, lors d’une conférence de presse. “Est-ce qu’elle l’a fait de son propre chef ou est-ce qu’elle a été contrainte par la force ou la menace ? (...) Nous ne savons pas.” L’agente chevronnée, âgée de 56 ans, a emmené seule Casey White, en violation des règles qui exigent que les agents transportent en binôme les détenus, a expliqué Rick Singleton. Aucune évaluation pour le prisonnier n’était par ailleurs prévue ce jour-là au tribunal.

    D’autres éléments intriguent en outre les enquêteurs: l’agente prévoyait de prendre sa retraite et vendredi était son dernier jour au sein de l’administration pénitentiaire. Elle avait, a noté le shérif, vendu sa maison “il y a environ un mois”. Si elle a volontairement participé à l’évasion, “ce n’est pas la Vicky White que nous connaissons”, a confié Rick Singleton, confirmant que l’hypothèse d’une relation amoureuse entre les deux protagonistes était “absolument” envisagée par la police.

    10.000 dollars de récompense pour toute information

    Elle fait en attendant l’objet d’un mandat d’arrêt pour “avoir permis ou facilité une évasion”. L’agence fédérale spécialisée dans la recherche des fugitifs, le United States Marshals Service (USMS), a offert une récompense pouvant aller jusqu’à 10.000 dollars pour toute information menant à la capture de Casey White. S’adressant au public lors de la conférence de presse, Marty Keely de l’USMS a prévenu: “N’essayez pas d’approcher l’un ou l’autre de ces individus, nous considérons qu’ils sont tous les deux dangereux.”

    Avant de s’évader, Casey White “n’avait rien à perdre”, a ajouté le shérif. En Alabama, le détenu risque en effet la peine de mort s’il est déclaré coupable du meurtre qu’il a reconnu.

    À voir également sur Le HuffPost: Au gala de la presse à Washington, quelques vannes entre Biden et Trevor Noah, et beaucoup de Russie

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      Novak Djokovic a eu "le cœur brisé" pour son ancien entraîneur Boris Becker

      AFP · news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 1 May, 2022 - 19:26 · 1 minute

    Novak Djokovic, ici lors d Novak Djokovic, ici lors d'une interview avec Boris Becker, à Wimbledon, le 1er juillet 2018.

    TENNIS - Novak Djokovic a eu “le cœur brisé” pour Boris Becker, son entraîneur pendant trois ans entre 2013 et 2016, à l’annonce de la condamnation à deux ans et demi de prison de l’Allemand , a déclaré le N.1 mondial ce dimanche 1er mai à Madrid.

    Boris Becker, ex-N.1 mondial et sextuple lauréat en Grand Chelem entre 1985 et 1996, a été condamné vendredi à deux ans et demi de prison par la justice britannique pour des infractions financières liées à sa faillite personnelle.

    “J’ai eu le cœur brisé pour lui. C’est un ami de longue date, il a été mon entraîneur pendant trois ans, c’est quelqu’un que je considère comme proche et qui a beaucoup contribué à mon succès dans ma carrière. (...) En tant qu’ami, je suis super triste pour lui”, a déclaré Novak Djokovic .

    “J’espère que ça va aller en termes de santé mentale”

    “J’espère simplement qu’il va passera cette période (...) et que quand il sortira de prison, il pourra vivre sa vie, je ne sais pas si on peut dire normale, parce que c’est évident que la vie change pour quelqu’un qui va en prison, surtout aussi longtemps. Donc je ne sais pas comment les choses vont tourner pour lui, je prie pour lui et j’espère que ça va aller en termes de santé mentale , parce que ça va être la partie la plus difficile”, a poursuivi le Serbe.

    Boris Becker, sextuple lauréat en Grand Chelem entre 1985 et 1996, a été l’entraîneur de Djokovic de fin 2013 à fin 2016.

    L’Allemand, âgé de 54 ans et qui vit au Royaume-Uni depuis 2012, avait été jugé coupable début avril d’avoir notamment caché 2,5 millions de livres sterling (3 millions d’euros au taux actuel) d’avoirs et de prêts pour éviter de payer ses dettes après avoir été déclaré en faillite personnelle en 2017.

    À voir également sur Le HuffPost : Ce ramasseur de balles a failli être blessé par Kyrgios, il finit par récupérer sa raquette

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    #Toulouse : #Rassemblement contre l’impunité et les violences d’ #État
    Samedi 20 mars à 13h12 - métro Capitole

    https://iaata.info/Rassemblement-contre-l-impunite-et-les-violences-d-Etat-4661.html

    Suite à l’appel national lancé par des familles de victimes et des blessés, le Comité Vérité et #Justice 31 s’associe et appelle à se rassembler à Toulouse le samedi 20 mars 2021 afin de protester contre les violences policières, carcérales, judiciaires, pénitentiaires et islamophobes.

    #police #racisme #répression #antiracisme #social #actu #actualité #société #politique #capitalisme #HauteGaronne #violencesPolicières #prison
    https://upload.movim.eu/files/7b4a27eed4cd52381dd25ae94920402e838b41d3/2xgxNPrDp8xg/prisonnier-e_trans.jpg

    #Toulouse - #8mars : Sortons #Jennifer de l’isolement ! Free Jennifer !

    https://iaata.info/8-mars-Sortons-Jennifer-de-l-isolement-Free-Jennifer-4664.html

    “Aujourd’hui, en cette journée du 8 mars, nous réclamons justice pour Jennifer, et pour toutes les personnes trans’, putes incarcérées. On rappelle que le 8 mars est la journée internationale de lutte pour les droits de TOUTES les femmes qu’elles soient putes, trans etc. Nous sommes là pour hurler « ON VOUS CROIT, ON VOUS SOUTIEN, ON VOUS AIME », c’est aux violeurs d’avoir peur !!!”

    #prison #féminisme #lgbtqi #transphobie #anticarcéral #lutte #social #société #actu #actualité #entraide #HauteGaronne