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      Google imagine un nouvel outil pour faire semblant de travailler

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 21 June, 2022 - 15:30

    apple-mac-teletravail-158x105.jpg Apple Mac

    À l'approche de l'été, le GAFAM vient de lancer un étonnant outil pour vous la couler douce en télétravail.

    Google imagine un nouvel outil pour faire semblant de travailler

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      Elon Musk accepte que les salariés « exceptionnels » de Tesla restent en télétravail

      news.movim.eu / Numerama · Friday, 17 June, 2022 - 08:31

    Les employés dont le travail est jugé satisfaisant pourront finalement rester en télétravail, a indiqué Elon Musk. Le milliardaire nuance ainsi la position radicale qu'il avait partagée en interne quelques semaines plus tôt, mais reste en faveur d'une présence au bureau. [Lire la suite]

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      Le fondateur de Airbnb estime qu’aller au bureau n’a plus de sens

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 10 May, 2022 - 05:28

    télétravail

    Brian Chesky, le PDG de la célèbre plateforme de location de logements, a décidé d'instaurer une forme de télétravail permanente et sans frontières pour ses employés. [Lire la suite]

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      Au secours

      Yatuu · comics.movim.eu / YATUU · Monday, 19 April, 2021 - 12:31

    télétravail télétravailler enfant enfantstélétravail télétravailler enfant enfantstélétravail télétravailler enfant enfants

    J’étais pas concernée à la base mais là je peux affirmer et témoigner que travailler efficacement avec des gamins c’est juste mission impossible. (Pourquoi sont-ils obligé de crier ? O_o) Peut-être que certains parents y arrivent alors dans ce cas je suis impressionnée !
    Heureusement qu’il y a la mamie pour s’occuper d’eux, gros soutien aux parents qui doivent jongler entre devoirs, cris, problèmes divers etc entre 2 réunions. Mais bon il y a des moments cools aussi, c’est pas tout le temps l’apocalypse ^^

    Bonne semaine !
    Yatuu

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      Le télétravail, casseur d’emplois

      Alain Goetzmann · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Friday, 5 March, 2021 - 04:35 · 4 minutes

    télétravail

    Par Alain Goetzmann

    Après avoir modérément encouragé le télétravail comme moyen de lutter contre la circulation de la Covid-19, madame la ministre du Travail, son cabinet, les hauts dirigeants de son administration, accentuent maintenant leur pression sur les entreprises pour qu’elles y recourent de façon plus massive , commençant même à menacer les récalcitrants de sanctions.

    Une fois de plus, l’administration, qui ne connaît rien à l’entreprise et à son fonctionnement, met en œuvre des mesures bureaucratiques à court terme, sans se donner la peine d’en mesurer préalablement les effets sur le long terme.

    Il est vrai que le parcours brillant de la ministre : X-ponts, collège des ingénieurs, préfète, SNCF, cabinets ministériels et, dernière étape avant un ministère, présidente de la RATP, ne la porte pas, instinctivement, à s’intéresser aux enjeux des PME de Guéret, Plougastel ou Argenteuil et de leurs salariés, pas plus que son entourage, d’ailleurs constitué, cela va sans dire, d’énarques bon teint.

    Il ne s’agit pas, ici, de s’opposer au télétravail. Bien au contraire, il constitue un progrès indéniable dans l’organisation du travail, mais lorsqu’il devient utile de l’envisager, il faut que ce soit avec prudence, à l’issue d’une réflexion approfondie sur ses enjeux et ses objectifs , entreprise par entreprise.

    D’abord, sur le plan humain, c’est une véritable rupture avec l’usage, tant pour les salariés que pour les employeurs. Les liens sociaux qui se nouent par le travail en commun, au service d’un projet, constituent un volet non négligeable de la bonne santé mentale des salariés et du succès des entreprises.

    Qu’on le veuille ou non, les mini-réunions improvisées autour d’un problème simple, mais urgent à résoudre, les échanges devant la machine à café, souvent d’ordre professionnels, les pots, célébrant les quick-wins , constituent des marqueurs indélébiles du travail en équipe. D’ailleurs, un nombre croissant de salariés en télétravail imposé n’aspire qu’à revenir au bureau, las de l’inconfort fréquent du travail à domicile et désireux de renouer le fil de relations conviviales.

    L’esprit collectif, la culture partagée, les échanges impromptus sont générateurs d’enthousiasme. Et s’il est une ligne qui n’apparaît dans aucun bilan comptable mais qui fait les résultats flatteurs des entreprises, c’est bien l’enthousiasme.

    Ensuite, le télétravail constitue, au sein des organisations, une source d’inégalité qui ravive la vieille querelle entre cols bleus et cols blancs. Les premiers, à l’action, sur place ; les seconds chez eux, devant leur écran. La question se pose alors : à quel niveau s’arrête la présence effective des cols blancs auprès des cols bleus ? Il y aurait donc, dans les entreprises, une séparation nette entre ceux qui font et ceux qui les accompagnent ?

    C’est éminemment contradictoire avec la volonté de réindustrialiser notre pays par la relocalisation d’activités autrefois externalisées.

    Enfin, justement, se pose dès lors un vrai problème. Le télétravail ne fait-il pas peser une menace grave sur l’emploi ainsi externalisé ? D’abord, la relation employeur/employé fait progressivement place à une relation client/fournisseur.

    Avec les moyens de suivi qu’autorisent les outils numériques, le travail à la tâche revient insidieusement et l’évaluation de la qualité de l’action individuelle en est facilitée.

    Mais surtout, une fois le lien social estompé, le télétravailleur isolé va progressivement être mis en concurrence avec des freelances, locaux d’abord mais pourquoi pas ensuite avec des freelances plus lointains, du Maghreb ou d’Afrique francophone, à l’efficacité identique mais dix fois moins cher et exonérés des lois sociales complexes et rigides de notre pays.

    Tim Ferris, auteur américain célèbre pour avoir écrit The 4-Hour Workweek y détaille, dès 2007, le processus qu’il a engagé pour travailler moins en utilisant des freelances du monde entier. Alors, attention ! La bonne mesure est sans doute un mélange entre présentiel et distanciel, que seules les entreprises et leurs salariés peuvent concevoir à l’aune des particularités de leur métier.

    Laissons donc la liberté aux entreprises de s’organiser comme elles le jugent utile, dans un esprit d’efficacité et de compétitivité. Les oukases venus du pouvoir provoquent la plupart du temps plus de dégâts qu’ils ne règlent de problèmes.

    Sur le web

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      Le télétravail est mauvais pour l’économie

      IREF Europe · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Saturday, 13 February, 2021 - 04:20 · 6 minutes

    télétravail Masques obligatoires en entreprise

    Par Philbert Carbon.
    Un article de l’Iref-Europe

    Élisabeth Borne ferait mieux de se demander pourquoi le télétravail est aujourd’hui en baisse, plutôt que de se répandre en déclarations sans grande portée puisque dans le Code du travail, rien n’oblige les entreprises à mettre en œuvre cette pratique.

    Il est vrai que la question divise les employeurs comme les salariés, chaque partie ayant des arguments favorables ou défavorables. Mais, finalement, si le télétravail est en baisse, c’est bien parce qu’il n’est pas efficace . Plusieurs études récentes nous expliquent pourquoi.

    Des salariés échaudés après le télétravail du premier confinement

    Si la plupart des salariés ont apprécié le télétravail au début du premier confinement (l’attrait de la nouveauté ?), ils semblent aujourd’hui en grande partie lassés par le dispositif.

    En mai 2020, selon une enquête OpinionWay-Square Management pour Les Échos et Radio Classique, 80 % des actifs qui avaient fait l’expérience du télétravail déclaraient qu’ils aimeraient continuer à le pratiquer, au moins en partie. Beaucoup louaient le travail à distance, synonyme de concentration renforcée, d’efficacité accrue, de liberté pour organiser sa journée de travail, et de confiance donnée au collaborateur.

    Mais après un an de pratique, nombreux sont ceux qui craquent, critiquant le temps passé en réunions virtuelles et l’absence de contacts humains.

    Des employeurs dubitatifs

    Du côté des employeurs, ce n’est pas mieux. Selon une étude du cabinet de conseil Génie des Lieux, 77 % des entreprises ont pour objectif cette année de faire revenir leurs collaborateurs au bureau.

    Ce samedi, dans Le Figaro , Fabrice Zerah, fondateur de la société Ubi Solutions, expliquait que l’activité commerciale « demande le plus souvent de se rencontrer vraiment ». De même, ajoutait-il, on ne mobilise pas « ses équipes par écrans interposés ». Le télétravail fait aussi perdre « tous les moments informels de la vie sociale dans l’entreprise » , qui sont aussi « des moments de création de valeur » , de créativité, d’innovation. L’entrepreneur critiquait également la « fusion du bureau et du salon qui n’est qu’une aliénation » puisqu’elle bouleverse irrémédiablement « l’équilibre si précieux entre vie professionnelle et vie personnelle ».

    Télétravail et productivité en baisse

    Des experts ont affirmé que le télétravail augmentait la productivité : moins de temps passé en pauses et bavardages inutiles, absentéisme réduit, stress diminué, en particulier par la suppression des temps de transport domicile-travail (avec leur lot de bouchons, retards, fatigue…), et des déplacements chez les clients. Par ailleurs le collaborateur se sentirait davantage considéré et s’investirait plus dans son travail. Bref, les entreprises auraient tout à y gagner.

    De surcroît, avec l’absence des collaborateurs, de nombreux locaux sont sous-occupés. Beaucoup d’entre eux profiteraient donc de l’aubaine pour résilier leurs baux, réduire la surface louée et faire ainsi de substantielles économies, les locaux étant souvent le deuxième poste de dépenses après les salaires. Le télétravail serait donc appelé à durer, car les entreprises n’auraient de toute façon plus la capacité d’accueillir tous leurs salariés en même temps.

    Plusieurs études récentes montrent pourtant que le télétravail n’a pas toujours les effets positifs qu’on lui attribue.

    Le Monde , dans son édition du 28 décembre 2020, citait une étude du CNAM concluant que le « travail à distance peut occasionner jusqu’à 20 % de perte de productivité s’il est appliqué à 100 % ».

    Dans une étude pour la Banque de France , les économistes Gilbert Cette et Antonin Bergeaud citent les travaux de Bloom et al. (2015) montrant que le passage au télétravail de « salariés volontaires d’un centre d’appel chinois dans une entreprise équipée et préparée à ce mode d’organisation » a pu amener des gains de productivité de l’ordre de 20 %. En revanche, les travaux de Morikawa (2020) montrent que la productivité a baissé de 40 % dans un institut de recherche japonais qui, subitement et sans préparation, est passé au télétravail durant la période du confinement.

    Les deux auteurs citent également une étude de l’OCDE qui conclue que le télétravail peut avoir, selon son intensité, des effets négatifs sur la productivité : « la relation entre les gains de performance et l’intensité du télétravail aurait la forme d’une courbe en U inversée » comme le montre le graphique ci-dessous :

    Relation en U inversée entre intensité du télétravail (en proportion de la durée travaillée) et productivité pour deux activités différentes
    PNG - 22.2 ko

    Source : Antonin Bergeaud et Gilbert Cette et OCDE.

    Dans une note de la direction générale du Trésor , Cyprien Batut et Youri Tabet indiquent :

    « La littérature économique n’est pas univoque sur l’impact du télétravail sur la productivité. Il dépend de nombreux facteurs :

    • les conditions de sa mise en place (outils, formation des télétravailleurs et de leurs managers) ;
    • l’organisation du travail dans l’entreprise et du type de management (autonomie du salarié, valorisation du résultat plutôt que de la présence, capacité d’adaptation du management) ;
    • les caractéristiques de chaque métier (degré d’interdépendance à d’autres tâches, caractère créatif ou non des tâches, autonomie) ».

    Quant à Pierre Pora de l’ INSEE , après avoir passé en revue nombre d’études sur le sujet, il conclut que « la nature du travail effectué, le souhait des salariés d’en bénéficier et la façon dont il est mis en œuvre dans les entreprises conditionnent l’effet qu’un passage massif en télétravail pourrait avoir sur la productivité ».

    En conclusion, nous pouvons dire que le travail à distance pourrait avoir des effets bénéfiques sur la productivité s’il est anticipé, dans des entreprises qui ont la réelle volonté de le mettre en place, et avec des salariés volontaires. Dans les autres cas, la productivité risque fort d’être en baisse. Comme elle l’est assurément avec un télétravail à 100 %.

    Laisser les entreprises s’organiser

    Le travail à distance a été indispensable lors du premier confinement pour maintenir un minimum d’activité économique et éviter un effondrement total. Mais on peut se demander s’il n’est pas temps aujourd’hui de lâcher la bride, employeurs et salariés n’en pouvant plus de cette situation . Surtout que le télétravail à 100 % que rêve d’imposer la ministre Élisabeth Borne est néfaste pour l’économie.

    Croit-on réellement que l’intérêt des employeurs est de faire revenir leurs collaborateurs au travail pour qu’ils soient contaminés par le coronavirus ? Croit-on vraiment que les salariés veulent revenir au boulot dans le secret espoir de tomber malades ? Non, bien sûr. Alors, laissons les dirigeants d’entreprises s’organiser à leur guise, en concertation avec leurs salariés. Faisons appel à la responsabilité et au bon sens de chacun. Il en va de la reprise notre économie.

    Comme le dit l’entrepreneur Fabrice Zerah, déjà cité,

    le télétravail, ce n’est pas la modernité, c’est même l’anti-progrès économique et social.

    Sur le web

    Jeudi 3 décembre, 14 h à l'ARS (10 Chemin du Raisin)

    Organisé notamment par les camarades de #sud santé-social

    La #crise sociale et sanitaire que nous traversons a mis en exergue le mépris des dirigeants pour les étudiant.es et les salarié.es du social et médico-social. Nous avons été envoyé.e.s en première ligne, oublié.e.s, sacrifié.e.s, sans masques, sans matériel de #télétravail, laissant l’engagement et la conscience professionnelle opérer, renforçant le sentiment légitime d’être abandonné.e.s.

    Souvenons-nous : « Il faudra nous rappeler que notre pays tient tout entier sur des femmes et des hommes que nos économies reconnaissent et rémunèrent si mal » Emmanuel #Macron, 13 avril 2020

    Déconfinez nos salaires !!!

    Le SEGUR de la santé a viré à l’escroquerie et a tout simplement exclu notre secteur des mesures salariales. Devrons nous arrêter de prendre soin des personnes accompagnées pour que nos politiques se rappellent de nous ? Nos métiers, fortement féminisés, ne sont reconnus ni à hauteur de leurs qualifications et responsabilités, ni au niveau de leur pénibilité, ni à la hauteur de leur importance dans la société. Ils sont de plus en plus précarisés. Ainsi depuis 20 ans nous avons perdu 20% de pouvoir d’achat. Nos secteurs rencontrent aujourd’hui des difficultés à pourvoir les postes vacants et les conditions de travail de plus en plus déplorables provoquent une accélération des départs de nombreux.ses salarié.e.s. Ce sont les tristes conséquences de politiques sociales et salariales incohérentes, imposées les années passées et qui, une fois encore, seront aggravées par les mesures du #SEGUR.

    Non à la marchandisation du secteur médico-social

    #syndicalisme #lutte #société #politique #actu #actualité