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      US COVID death toll would be 4X higher without vaccines, modeling study finds

      news.movim.eu / ArsTechnica · Tuesday, 13 December, 2022 - 16:51

    A woman watches white flags on the National Mall on September 18, 2021, in Washington, DC. Over 660,000 white flags were installed here to honor Americans who have lost their lives to COVID-19.

    Enlarge / A woman watches white flags on the National Mall on September 18, 2021, in Washington, DC. Over 660,000 white flags were installed here to honor Americans who have lost their lives to COVID-19. (credit: Getty | Chen Mengtong )

    Without COVID-19 vaccines, the US would have seen four times more deaths from the pandemic virus—an additional 3 million lives lost—as well as nearly four times more hospitalizations, 1.5 times more infections, and an additional $1.5 trillion in medical bills since December of 2020.

    Those are the top-line results from a new modeling study by the Commonwealth Fund , which simulated the unmitigated effects of COVID-19 in the US from December 2020 to November 2022.

    The age-stratified model accounted for US demographics, the prevalence of disease-enhancing comorbidities, social networks, limited social contact during pandemic restrictions, COVID-19 case data, hospitalization rates, vaccination administration eligibility and rates, vaccine efficacy estimates, waning protection from vaccination and infection, and the characteristics of five SARS-CoV-2 variants (Iota, Alpha, Gamma, Delta, Omicron). The model was calibrated to replicate real-world data of cases, hospitalizations, and deaths before the researchers removed vaccines from the scenario.

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      Twitter abandonne la croisade maladroite contre la « désinformation »

      Reason · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Tuesday, 6 December, 2022 - 04:20 · 8 minutes

    Par .

    Twitter a récemment annoncé qu’il n’appliquerait plus son interdiction des « fausses informations liées au Covid-19 », une catégorie définie de manière floue allant des affirmations de faits manifestement fausses aux déclarations vraisemblables ou vérifiables jugées « trompeuses » ou contraires aux « conseils de sources faisant autorité en matière d’information sur la santé publique mondiale et locale ».

    Le changement de politique remarqué pour la première fois par les utilisateurs environ un mois après qu’Elon Musk a finalisé son acquisition de la société est conforme à son engagement en faveur d’une modération plus légère et d’un débat plus libre. Mais selon le Washington Post , des « experts » avertissent que « cette décision pourrait avoir de graves conséquences au milieu d’une pandémie encore mortelle ».

    Cette crainte a toujours été la justification pour restreindre ce que les gens peuvent dire du covid sur les médias sociaux et elle n’est en aucun cas sans fondement. Si par exemple de fausses allégations dissuadent les personnes médicalement vulnérables de se faire vacciner ou encouragent l’utilisation de traitements inefficaces et potentiellement dangereux les conséquences pourraient effectivement être graves. Mais les politiques comme celle que Musk a abandonnée présentent deux problèmes croisés : la désinformation est un concept intrinsèquement nébuleux, et les efforts privés pour la supprimer sur une plateforme donnée sont fortement influencés par la pression gouvernementale .

    Les restrictions légales sur les discours liés au covid allant au-delà des exceptions reconnues telles que la fraude et la diffamation seraient tout simplement inconstitutionnelles. Mais les responsables gouvernementaux peuvent obtenir des résultats similaires en exigeant publiquement et en privé que les entreprises de médias sociaux fassent davantage pour freiner la propagation de la « désinformation ».

    Ces demandes impliquent non seulement une application plus vigoureuse des règles existantes mais aussi des définitions élargies des discours inacceptables. Les plateformes comme Twitter, Facebook et YouTube sont fortement incitées à se conformer à ces « demandes », compte tenu de tous les moyens dont disposent les fonctionnaires mécontents pour leur rendre la vie difficile par le biais de la fustigation, de la réglementation, des litiges et de la législation. Dans la mesure où les entreprises adoptent des pratiques de modération plus strictes qu’elles ne le feraient autrement, le résultat est une censure par procuration .

    C’est exactement ce à quoi nous assistons, après une plainte pour atteinte au Premier amendement déposéee en mai dernier par Jeff Landry, procureur général de Louisiane et Eric Schmitt, procureur général du Missouri. La découverte de cette affaire a révélé des courriels montrant à quel point les dirigeants des entreprises de médias sociaux étaient désireux d’apaiser les fonctionnaires fédéraux en supprimant les discours qu’ils considéraient comme une menace pour la santé publique.

    Twitter semble avoir entretenu des relations particulièrement étroites avec les chasseurs de désinformation du gouvernement.

    Un message de Twitter adressé le 8 avril 2021 aux Centers for Disease Control and Prevention (CDC) indique :

    « J’ai hâte de mettre en place des discussions régulières. Mon équipe a demandé des exemples de contenus problématiques afin que nous puissions examiner les tendances ».

    Twitter a rapidement répondu aux suggestions de censure du gouvernement.

    Un responsable de Twitter a déclaré dans un courriel adressé le 16 avril 2021 au CDC :

    « Merci beaucoup pour cela. Nous avons pris des mesures (en étiquetant ou en supprimant) les Tweets en violation de nos règles ».

    Le message, qui était intitulé « Demande de comptes à problèmes », était conclu par des salutations « les plus chaleureuses ».

    Le même jour, l’assistant adjoint du président, Rob Flaherty, a envoyé à ses collègues un courriel concernant un « Briefing Twitter VaccineMisinfo » sur Zoom. M. Flaherty a déclaré que Twitter informerait « le personnel de la Maison Blanche » sur « les effets tangibles des récents changements de politique, les interventions actuellement mises en œuvre en plus des changements de politique précédents et les façons dont la Maison Blanche (et nos experts covid) peuvent s’associer au travail sur les produits ».

    De même, Facebook s’est empressé de rentrer dans le rang, surtout après que le président Joe Biden a accusé la plateforme de « tuer des gens » en permettant la diffusion de messages anti-vaccination. Ces critiques ont été couplées à des éloges aux entreprises ayant adhéré à ce que voulait l’administration Biden. « Dans un avis adressé aux plateformes technologiques, note CNN, le Dr Vivek Murthy, chirurgien général des États-Unis, a cité les règles de Twitter comme un exemple de ce que les entreprises devraient faire pour combattre la désinformation. »

    Cet avis du 2021 juillet publié la veille de l’accusation d’homicide portée par Biden contre Facebook, appelle à un effort de « l’ensemble de la société », incluant éventuellement des « mesures juridiques et réglementaires », pour combattre la « menace urgente pour la santé publique » que représente la « désinformation en matière de santé ». La définition que donne Murthy de la désinformation est alarmante par son ampleur et sa subjectivité.

    « Définir la désinformation est une tâche difficile et toute définition a des limites », a écrit le chirurgien général. « Une question clé est de savoir s’il peut y avoir un point de repère objectif pour déterminer si quelque chose est qualifié de désinformation. Certains chercheurs soutiennent que pour être considéré comme tel, un élément doit aller à l’encontre du « consensus scientifique » .

    D’autres considèrent que la désinformation est une information allant à l’encontre des « meilleures preuves disponibles ».

    Les deux approches reconnaissent que ce qui est considéré comme de la désinformation peut changer au fil du temps en fonction des nouvelles preuves et du « consensus scientifique. » Le présent avis préfère le critère des « meilleures preuves disponibles » car les affirmations peuvent être très trompeuses et préjudiciables même si les données scientifiques sur une question ne sont pas encore établies. »

    La politique de Twitter désormais supprimée, et que Murthy a citée comme modèle, s’en remettait de même au consensus officiellement reconnu.

    L’entreprise a déclaré :

    « Nous avons élargi notre définition du préjudice pour traiter les contenus allant directement à l’encontre des conseils de sources faisant autorité en matière de santé publique mondiale et locale. Nous appliquons cette mesure en étroite coordination avec des partenaires de confiance, notamment les autorités de santé publique et les gouvernements et nous continuons à utiliser et à consulter les informations de ces sources lors de l’examen du contenu. »

    Selon ce critère, toute expression de désaccord avec les recommandations officielles pourrait être considérée comme de la désinformation.

    Twitter a explicitement interdit « les déclarations visant à influencer les autres à violer les conseils recommandés par les autorités sanitaires mondiales ou locales en matière de covid afin de réduire la probabilité d’exposition de au virus ». Elle mentionne spécifiquement les conseils sur l’utilisation du masque et la distanciation sociale, qui soulèvent tous les deux des questions scientifiquement et politiquement controversées, surtout lorsque les conseils inspirent des mesures réglementaires.

    La remise en question des avantages du port généralisé du masque relève-t-elle de la désinformation ? ( oui , selon Twitter.) Qu’en est-il du fait de concéder l’efficacité des masques N95 correctement portés tout en décrivant les masques en tissu couramment utilisés comme inefficaces ? (également de la désinformation, selon YouTube .)

    Si le critère est de contredire les conseils officiels, la remise en question du fondement scientifique de l’obligation de porter des masques dans les écoles ou de maintenir une distance spécifique avec les autres pourrait également être considérée comme de la désinformation. Même le fait d’affirmer que les coûts des confinements sont supérieurs à leurs avantages pourrait être considéré comme une désinformation puisque ces politiques visent à imposer une distance sociale.

    Des personnes raisonnables et bien informées peuvent être et sont en désaccord sur ces questions à partir d’évaluations différentes des « meilleures preuves disponibles », ce qui, selon Murthy, est la clé pour distinguer la désinformation d’un discours acceptable. Et quel que soit le point de vue correct aujourd’hui, il pourrait être différent demain. Comme le concède M. Murthy, « ce qui est considéré comme de la désinformation peut changer au fil du temps en fonction des nouvelles preuves et du consensus scientifique. »

    Au cours de la pandémie de covid, les idées reçues sur des sujets tels que l’utilité des masques en tissu, la bonne distanciation sociale , les périodes d’isolement , l’intubation des patients et l’efficacité des vaccins pour prévenir la transmission du virus ont changé à plusieurs reprises en fonction des nouvelles preuves. Ce processus serait impossible si chaque écart par rapport au « consensus scientifique » était jugé intolérable.

    Heureusement, ni Twitter ni aucune autre entreprise n’a le pouvoir d’imposer une telle conformité dans tout le pays. Grâce au Premier amendement, le gouvernement n’a pas non plus ce pouvoir. La croisade maladroite de l’administration Biden contre la « désinformation » covid vise néanmoins à réduire la diversité des opinions exprimées sur les principales plateformes de médias sociaux, en encourageant des politiques qui assimilent tous les sceptiques et les dissidents à des fêlés et des charlatans. Quoi que l’on puisse penser des autres changements apportés par Musk à Twitter, son refus de participer à ce projet est un signe d’espoir.

    Sur le web

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      Homeopath who made thousands on bogus COVID pellets gets nearly 3 years in prison

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 30 November, 2022 - 18:03

    Extreme close-up photograph of a row of vials.

    Enlarge / Vials containing pills for homeopathic remedies are displayed at Ainsworths Pharmacy on August 26, 2005, in London. (credit: Getty | Peter Macdiarmid )

    California naturopath and homeopath Juli Mazi will spend 33 months in federal prison for falsifying federal COVID-19 vaccination cards and selling pellets she falsely claimed would offer lifetime protection from COVID.

    It was a scheme that netted her thousands of dollars in the early phases of the pandemic before also earning her the first federal criminal fraud prosecution related to bogus COVID-19 vaccination and vaccination records.

    Mazi, of Napa, California, pleaded guilty to the charges in April and faced a maximum sentence of 25 years for all the charges.

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      Musk’s Twitter abandons COVID misinfo policy, shirking “huge responsibility”

      news.movim.eu / ArsTechnica · Tuesday, 29 November, 2022 - 20:03

    Tesla and SpaceX CEO Elon Musk presents a vaccine production device during a meeting September 2, 2020, in Berlin, Germany. Musk met with vaccine-maker CureVac, with which Tesla has a cooperation to build devices for producing RNA vaccines.

    Enlarge / Tesla and SpaceX CEO Elon Musk presents a vaccine production device during a meeting September 2, 2020, in Berlin, Germany. Musk met with vaccine-maker CureVac, with which Tesla has a cooperation to build devices for producing RNA vaccines. (credit: Getty | Filip Singer )

    Under the leadership of billionaire Elon Musk, social media platform Twitter has abandoned its efforts to prevent the spread of dangerous COVID-19 misinformation on its platform, dismaying experts who say false and misleading health information can harm individuals and put lives at risk.

    "Effective November 23, 2022, Twitter is no longer enforcing the COVID-19 misleading information policy," the company noted in various places on its website.

    From the outset of the COVID-19 pandemic, public health responses have been severely stymied by a plague of misinformation, often in digital spaces.

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      Record number of parents miss work as respiratory illnesses spike in kids

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 16 November, 2022 - 23:34 · 1 minute

    Parents work on their computers while their son entertains himself at their home in Boston in April 2020.

    Enlarge / Parents work on their computers while their son entertains himself at their home in Boston in April 2020. (credit: Getty | Boston Globe )

    Respiratory illnesses are raging this fall, slamming children particularly hard. Cases of influenza-like illnesses are off to a startlingly strong and early start this season. RSV—respiratory syncytial (sin-SISH-uhl) virus—continues to skyrocket. A stew of SARS-CoV-2 variants is still simmering in the background. And the rabble of usual cold-season viruses, such as rhinoviruses and enteroviruses, is also making the rounds.

    With the surge in infections, children's hospitals around the country have reported being at capacity or overwhelmed, as Ars has reported before. But another effect of the crush of viruses is a squeeze on the workforce. As The Washington Post first reported Tuesday , the US broke its record last month for people missing work due to childcare problems—such as having children home sick and childcare facilities or schools shuttered due to staffing shortages and sickness.

    In October, more than 100,000 employed Americans missed work for childcare-related problems, according to data from the US Bureau of Labor Statistics . That is more missing workers than in any other month in recent records, including the entirety of the COVID-19 pandemic, during which many childcare facilities and schools closed down for extended periods. At the height of pandemic-related shutdowns in 2020, the number of Americans missing work for childcare problems only reached the low 90,000s.

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      Measles outbreak jumps to 7 Ohio daycares, 1 school—all with unvaccinated kids

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 16 November, 2022 - 17:13

    A false color image of the measles virus.

    A false color image of the measles virus. (credit: Arizona Department of Health )

    A measles outbreak in Ohio has swiftly expanded, spreading to seven childcare facilities and one school, all with unvaccinated children, according to local health officials. The outbreak highlights the risk of the highly contagious but vaccine-preventable disease mushrooming amid slipping vaccination rates.

    On November 9, the health departments of the city of Columbus and Franklin County, which encompasses Columbus, announced an outbreak at one childcare facility, which had sickened four unvaccinated children. Officials reportedly expected that more cases would follow.

    As of Wednesday morning, there have been 18 confirmed cases from seven childcare facilities and one school. All of the cases are in unvaccinated children, and at least 15 cases are in children under the age of four. At least six have required hospitalization, Kelli Newman, spokesperson for Columbus Public Health, told Ars.

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      Bivalent booster is 4x better against BA.5 in older adults, Pfizer says

      news.movim.eu / ArsTechnica · Friday, 4 November, 2022 - 21:26

    Bivalent booster is 4x better against BA.5 in older adults, Pfizer says

    Enlarge (credit: Getty | Future Publishing )

    The new bivalent COVID-19 booster spurred neutralizing antibody levels that were fourfold higher against the omicron subvariants BA.4/BA.5 in older adults than those seen after the original booster, Pfizer reported Friday .

    The new data may help calm concerns about whether the updated booster is an improvement over the previous booster. But the fall booster campaign—aimed at preventing another devastating winter wave—still faces considerable challenges. For one thing, a shockingly low number of Americans are rolling up their sleeves to get the shot.

    Better boost

    Experts all agree that the new booster shot, like the old one, will revive waning immune responses to SARS-CoV-2 and provide strong protection from severe COVID-19. But some experts have expressed skepticism about whether the updated bivalent booster—which in part targets omicron subvariants BA.4/BA.5—will offer a clinically meaningful advantage over the previous booster in preventing mild infections against the subvariant.

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      Fall COVID surge begins in Europe—and US outlook already looks rough

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 5 October, 2022 - 23:02

    Chairs for people who want to be vaccinated stand in the waiting room at the Mainz Vaccination Center. Currently, demand for COVID-19 booster vaccinations at vaccination centers and doctors' offices is low.

    Enlarge / Chairs for people who want to be vaccinated stand in the waiting room at the Mainz Vaccination Center. Currently, demand for COVID-19 booster vaccinations at vaccination centers and doctors' offices is low. (credit: Getty | picture alliance )

    The dreaded winter COVID wave may already be upon us—and based on early signs, we may be in for a rough time.

    As people head indoors amid cooling weather, several European countries are seeing upticks in COVID-19 cases, hospitalizations, and deaths. Though the situation in the US remains quiet for now, trends in the US tend to echo those in Europe.

    So far, the rise in cases is driven by a familiar foe: the omicron subvariant BA.5, which has maintained a relatively long reign as the globally dominant variant. But a thick soup of omicron subvariants is simmering on the back burner, loaded with sublineages—notably from BA.2. and BA.5— converging on alarming sets of mutations . Some sublineages —such as BQ.1.1, an offshoot from BA.5, and XBB, derived from BA.2 strains —are the most immune evasive subvariants seen to date.

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      With BA.5 boosters, Biden officials herald the start of annual COVID shots

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 7 September, 2022 - 11:05

    Syringes filled with COVID-19 vaccine sit on a table at a COVID-19 vaccination clinic on April 06, 2022 in San Rafael, California.

    Enlarge / Syringes filled with COVID-19 vaccine sit on a table at a COVID-19 vaccination clinic on April 06, 2022 in San Rafael, California. (credit: Getty | Justin Sullivan )

    The updated COVID-19 boosters targeting the BA.4/5 subvariants now rolling out nationwide are meant to head off a surge of the disease this fall and winter—but they are also meant to signal a shift in the nation's pandemic response, which is moving out of an emergency phase to a place with routine, potentially annual vaccinations against a virus that is clearly not going away.

    In a White House press briefing Tuesday, top infectious disease expert Anthony Fauci along with other Biden administration officials, repeatedly pushed the idea that this new phase will see COVID-19 vaccinations follow the footsteps of seasonal flu vaccines.

    "It is becoming increasingly clear that—looking forward with the COVID-19 pandemic, in the absence of a dramatically different variant—we likely are moving towards a path with a vaccination cadence similar to that of the annual influenza vaccine, with annual, updated COVID-19 shots matched to the currently circulating strains for most of the population," Fauci said.

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