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      Après la tuerie d'Uvalde au Texas, le sénateur Ted Cruz fuit les questions sur les armes à feu

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 27 May, 2022 - 10:49 · 3 minutes

    ÉTATS-UNIS - Il ne fallait surtout pas écorner “l’exceptionnalisme américain” face au sénateur républicain du Texas, Ted Cruz. Après la mort de 21 personnes dans une tuerie à l’école primaire d’Uvalde au Texas, mardi 24 mai , le débat sur le contrôle des armes à feu est inévitablement reparti de plus belle aux États-Unis.

    Comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article , Ted Cruz , fervent opposant à un resserrement de la législation sur les armes, a été interrogé sur le sujet par un journaliste de la chaîne britannique Sky news, à l’occasion d’un hommage aux victimes, le 25 mai. Et l’ex-candidat à l’investiture républicaine en 2016, rallié finalement à Donald Trump , n’a pas du tout apprécié l’insistance de nos confrères.

    “Pourquoi ça se produit uniquement dans votre pays? Pourquoi cet exceptionnalisme américain si affreux?”, a demandé le journaliste Mark Stone , provoquant le départ du sénateur. “Je suis désolé que vous trouviez l’exceptionnalisme américain si affreux. Vous avez votre agenda politique. Dieu vous aime”, a répliqué Ted Cruz, piqué au vif. Malgré plusieurs relances sur le sujet, l’homme politique a refusé de considérer le manque de contrôle des armes à feu comme une partie du problème.

    “C’est de votre faute!”

    Lors de ce même hommage, le sénateur a aussi été pris à partie par son rival démocrate Beto O’Rourke , qui l’affrontera lors des prochaines élections pour le poste de gouverneur, en novembre prochain.

    “C’est de votre faute!”, a crié ce dernier, dans une scène symptomatique des tensions aux États-Unis sur la question des armes. Le gouverneur du Texas, le républicain Greg Abbott, venait de finir de raconter comment un jeune homme de 18 ans, qui “portait le mal dans son cœur”, avait tiré sur sa grand-mère avant de se rendre dans l’école, où il a tué 21 personnes, dont 19 enfants.

    Beto O’Rourke s’est levé et s’est avancé vers la scène, où était assis Greg Abbott, entouré d’une nuée d’officiels, dont les sénateurs républicains et pro-armes Ted Cruz et John Cornyn, dans un auditorium de la ville texane endeuillée. “Vous dites que cela n’était pas prévisible, c’était complètement prévisible à partir du moment où vous avez décidé de ne rien faire”, a fustigé le démocrate de 49 ans. “Je défends les enfants de cet État pour que cela ne se reproduise plus”, a-t-il ajouté.

    Depuis la tuerie commise par un tireur d’extrême droite dans un supermarché de sa ville natale El Paso (23 morts), en 2019, Beto O’Rourke a fait de la lutte contre les armes à feu un de ses grands marqueurs politiques. “Pourquoi laissons-nous cela se produire dans ce pays? Pourquoi cela se produit-il dans cet État, année après année, ville après ville?”, a demandé le démocrate, un temps candidat à la primaire pour la présidentielle de 2020.

    “Vous voulez une solution? Arrêtez de vendre des (fusils semi-automatiques) AR-15 au Texas. Vous voulez une solution? Mettez en place des vérifications d’antécédents” pour toutes les transactions d’armes, a-t-il ajouté.

    À voir également sur Le HuffPost : Après la tuerie au Texas, Joe Biden partage sa peine et son expérience de père endeuillé

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      Législatives 2022: les candidats LREM visés par la justice peu inquiétés dans leur parti

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 11 May, 2022 - 10:57 · 4 minutes

    POLITIQUE - Le devoir d’exemplarité s’applique surtout aux autres. C’est en tout cas ce qu’on pourrait retenir des réponses de certains candidats aux législatives. Interrogés par Le HuffPost sur les démêlés de leurs camarades (et parfois d’eux-mêmes) avec la justice , certains n’ont pas hésité à se contredire.

    Ce mardi 10 mai, c’était LA réunion que tous les candidats investis pour les législatives par La République en Marche ne pouvaient pas rater. Aux Docks d’Aubervilliers, chacun d’entre eux, novices ou députés sortants, a suivi une formation avant de partir en campagne pour les élections qui se dérouleront en juin 2022.

    Prise de photo “officielle” pour l’affiche de campagne, cours de communication médias donné par Christophe Castaner , actuellement président du groupe LREM à l’Assemblée Nationale, tout était prévu pour aider les (futurs?) députés à entamer sereinement leur campagne.

    Ce que certains n’avaient pas prévu en revanche, c’est comment répondre aux questions sur les plaintes visant leurs camarades candidats alors même que le parti prône l’exemplarité depuis 2017.

    “Vous niez les faits qui vous sont reprochés?”

    En une de l’actualité les jours précédant la réunion LREM, Jérôme Peyrat . Il a été investi dans la 4e circonscription de Dordogne pour les législatives et ce malgré une condamnation en 2020 pour violences volontaires contre son ex-compagne. Le jour du grand raout LREM, nombreux étaient les journalistes à guetter Jérôme Peyrat dans l’espoir d’une interview, en vain: le candidat est resté introuvable.

    Il y aussi Sira Sylla, investie candidate en Seine-Maritime, qui ne s’est pas présentée à son audience aux prud’hommes pour préférer assister à la formation qui se déroule à Aubervilliers. La députée sortante est accusée par un ex-collaborateur de harcèlement moral. Là encore, la candidate s’est faite petite après une question à ce sujet de nos confrères de l’émission Quotidien sur TMC.

    Seules Laëtitia Avia et Anne-France Brunet, mises en cause dans des affaires de violences ou de harcèlement ont répondu à nos questions, toujours en niant les faits.

    Laëtitia Avia, réinvestie à Paris, est toujours visée par une enquête pour “harcèlement moral”. Des plaintes ont été déposées contre elle en 2020 comme l’avaient relaté nos confrères de BFMTV. Au micro du HuffPost , elle l’a pourtant nié comme vous pouvez le voir dans notre reportage vidéo en tête d’article.

    Anne-France Brunet, députée sortante de la 3e circonscription de Loire-Atlantique et candidate à sa réélection, dément aussi les faits qui lui sont reprochés, dénonçant une manœuvre politique en pleine période électorale. Une ancienne collaboratrice a indiqué que la députée lui avait ”écrasé le pied” en plus d’un harcèlement moral quotidien.

    Chez LREM, pas de problème (ou presque)

    Quand on demande si l’exemplarité est une condition indispensable au travail d’un député, difficile de répondre non. Pourtant c’est l’exercice délicat auquel ont dû se livrer certains candidats ou députés que Le HuffPost a interrogés.

    Anne-Colette Prost, primo-candidate jurassienne a comparé la situation chez LREM à celle des Républicains. “Je ne vois de pas qui vous parlez”. À l’évocation des noms de Laëtitia Avia ou Jérôme Peyrat, Anne-Colette Prost précise: ”Ça reste quand même marginal à ceux qui ont largement puisé dans les caisses”; et à la question: ”Ça ne vous pose pas de problème?”, la candidate du Jura conclut: “Non.”

    L’omerta sur le sujet est telle qu’il est difficile pour les personnes interrogées de répondre sincèrement. Laurent Pietraszewski, secrétaire d’État chargé de la santé au travail et candidat aux législatives dans le Nord souligne: “C’est aux différentes instances de décider. Il y a notamment le conseil des prud’hommes qui peut être saisi. On peut ensuite prendre en compte le retour de ces différentes juridictions.” Auquel cas, il y aurait sanction? Personne ne prend le risque de trancher.

    Un peu plus loin, une candidate préférant rester anonyme a confié au HuffPost : “Je voudrais qu’ils ne soient pas investis, évidemment. Personne ne le veut. Mais je ne peux pas le dire devant votre micro.” - “Sinon ils vous retireraient l’investiture?” - “Peut-être oui...”.

    À voir également sur Le HuffPost : Le naufrage de cette candidate RN aux législatives n’est pas passé inaperçu

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      Fête du Travail à Paris: l'agression d'un pompier vivement condamné par la classe politique

      Anthony Berthelier · news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 1 May, 2022 - 17:41 · 2 minutes

    POLITIQUE - “Ils sont venus pour s’en prendre aux institutions de la République.” Gérald Darmanin , le ministre de l’Intérieur a dénoncé ce dimanche 1er mai, en fin de journée, les violences qui ont émaillé le cortège parisien de la fête des travailleurs.

    De nombreux accrochages ont opposé les forces de police à des groupes très mobiles de jeunes vêtus de noir. Une vingtaine d’enseignes, en majorité des McDonald’s, assureurs, agences immobilières ou banques, ont été endommagées par des “casseurs”, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête de l’article , d’après la terminologie employée par le ministre de l’Intérieur.

    Selon un premier décompte donné par le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin dimanche soir, huit policiers ont été blessés dans ces affrontements et 45 casseurs interpellés.

    “Soutien total”

    Autant de scènes qui indignent les responsables politiques de tous bords. Du communiste Fabien Roussel à la patronne de région LR Valérie Pécresse en passant par des responsables de la majorité ou le chef de file des Insoumis, Jean-Luc Mélenchon, tous s’accordent pour condamner de tels faits.

    Une scène semble concentrer les réactions. Elle montre l’agression d’un sapeur-pompier, à Paris, qui tentait d’éteindre un incendie de palettes, par une femme. Une vidéo largement diffusée sur les réseaux sociaux, et qui a été dénoncée rapidement par de nombreux responsables politiques.

    A voir également sur Le HuffPost : Salaires, retraites, écologie, contre Macron... voici pourquoi ils manifestent ce 1er-mai

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      École publique : même dans les cités, on veut la quitter

      Nathalie MP Meyer · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Wednesday, 3 March, 2021 - 04:00 · 8 minutes

    école

    Par Nathalie MP Meyer.

    Je vous recommande la lecture d’une enquête des plus intéressantes publiée la semaine dernière par Mediapart sous le titre « Des élèves se réfugient chez les cathos pour échapper au ghetto » . Quel ghetto ? Celui des cités, celui des quartiers dits sensibles qui font plus souvent la Une de la presse régionale pour trafics en tout genre, violence de moins en moins sporadique et délinquance au quotidien que pour les prix de grammaire de leurs élèves.

    Article surprenant, venant de l’écurie Plenel . Mais qui s’explique en fait très bien si l’on garde à l’esprit que Mediapart , vent debout contre le projet de loi sur le « séparatisme islamiste » du gouvernement , accuse ce dernier de prendre le problème par le petit bout islamophobe et sécuritaire de la lorgnette alors que le vrai problème serait à chercher du côté de la « ségrégation sociale » .

    École publique : dérives communautaires, violences, et niveau en baisse

    Procès plus militant que réaliste car de multiples rapports ont montré que l’école dite républicaine est le siège de dérives communautaires incessantes en provenance de l’islam : tel élève refuse le rouge dans les classes car cette couleur n’est pas autorisée par le Coran, tel autre ne veut pas aller à la piscine car s’il boit la tasse, cela va casser son jeûne du ramadan, etc.

    Elle est aussi le lieu d’une violence de moins en moins discrète entre élèves ou vis-à-vis des enseignants dont ces derniers ont fini par parler en masse avec le hashtag #pasdevague suite au braquage d’une de leurs collègues par un élève qui pointait sur elle une arme factice mais très convaincante. Nul besoin de tomber dans l’excès sécuritaire quand il s’agirait d’abord pour le gouvernement de remplir ses missions régaliennes avec sérieux – ce qui n’est malheureusement pas du tout le cas .

    Sans compter la dramatique baisse du niveau académique qui affecte tous les élèves depuis plus de 30 ans, indépendamment de leur catégorie sociale d’origine.

    Mais finalement, en ce qui concerne l’article susmentionné, peu importe, car il est en lui-même d’une grande richesse de témoignages qui montrent à quel point notre pachydermique secteur public de l’Éducation fait de plus en plus figure de repoussoir pour qui veut accéder à un service éducatif digne de ce nom.

    Passer de l’école publique à l’école privée

    On sait depuis longtemps que nombre de familles aisées – parmi lesquelles beaucoup voteront toujours à gauche et vous diront toujours à quel point la France s’honore d’avoir un enseignement public de l’envergure de notre mammouth – optent pour le privé ou font du moins tout pour échapper à la fatalité de la carte scolaire via le jeu des matières optionnelles et des adresses de complaisance.

    Mais de nombreux parents des quartiers défavorisés font eux aussi de plus en plus souvent le choix de l’école privée catholique située à proximité de chez eux pour éviter à leurs enfants l’enfermement communautaire et la dérive de violence qu’ils ont eux-mêmes connus il y a 20 ou 30 ans – et, comme le précisent certains, à l’époque ce n’était rien par rapport à aujourd’hui.

    Pour Khaled Baki, père de famille du quartier de La Paillade à Montpellier, il est un signe qui ne trompe pas :

    Quand j’étais à l’école primaire, le directeur habitait le quartier et sa fille Valérie était dans ma classe. Aujourd’hui, c’est fini tout ça. Les enseignants n’habitent plus le quartier et n’y inscrivent plus leurs enfants… C’est ce qui me choque le plus.

    Donc pour ses filles, la décision fut simple : le collège Saint Roch situé à quelques minutes du domicile familial pour fuir ce ghetto où il ne fait pas bon mettre en avant son goût pour l’école et ses bonnes notes.

    Laura, l’une des mamans interrogées, raconte avoir connu « tous les quartiers chauds de Toulouse » dans son enfance. Elle a même été en classe avec Abdelkader Merah, qui a été condamné à 30 ans de réclusion pour complicité des sept assassinats de son frère le terroriste islamiste Mohammed Merah :

    Il tenait déjà des propos limites… Je pense que c’est une histoire d’éducation et d’enfermement , et je veux autre chose pour mes enfants.

    Tant il est vrai que le séparatisme islamiste et la pression communautaire incessante ne sont pas une vue de l’esprit. Dans le quartier de Laura, les enfants qui fréquentent l’école privée Sainte-Germaine comme son fils sont attirés par les autres avec des formules du type « V ous êtes de la famille, venez avec nous ». Les mères redoutent par-dessus tout que ces avances qui jouent sur la corde affective n’entraînent leurs enfants dans les trafics de drogue ou la délinquance.

    De son côté, loin de se cantonner au recrutement d’enfants de familles aisées dotés d’un bulletin scolaire impeccable, l’enseignement catholique considère qu’il est dans son rôle en accueillant des élèves d’origines diverses dont les familles sont en recherche d’encadrement, de sérieux et, pourquoi pas, d’une vraie possibilité d’intégration avec à la clef toutes les promesses de l’égalité des chances ainsi que celles d’un ascenseur social qui se remettrait à fonctionner.

    Ainsi que l’explique Philippe Delorme, le secrétaire général de l’enseignement catholique :

    Nos instances ont défini des politiques nationales destinées à privilégier la mixité sociale et le développement des formations professionnelles, pour que l’accueil de tous soit une réalité.

    Mais il n’est pas rare que ces écoles ne deviennent elles aussi les cibles des incivilités et des violences qui gangrènent les quartiers dans ou à proximité desquels elles sont situées. Les parents et enseignants interrogés par Mediapart le disent et les élèves ainsi que le personnel de l’école primaire Monseigneur Cuminal située en bas d’une tour du quartier d’Étouvie à Amiens viennent d’en faire la triste expérience :

    L’école subit quotidiennement les jets d’objets et de déchets en tout genre lancés depuis les étages au pied des classes. Des agressions du voisinage, différents trafics à proximité, des intrusions et occupations sauvages de la cour, des rodéos près de l’école participent à l’insécurité et empêchent l’école de fonctionner normalement.

    Résultat, cette annexe de quatre classes ouvertes spécialement pour apporter une solution éducative à des familles abandonnées par les pouvoirs publics se trouve en quelque sorte abandonnée elle-aussi par défaut de présence et d’action régalienne dans son quartier et sera fermée à la fin de l’année scolaire. Les élèves seront éventuellement redéployés dans d’autres locaux.

    Il eut cependant été étonnant que Mediapart ne donnât pas la parole au sociologue de service pour qu’il vienne rappeler quand même les vertus égalitaristes indiscutables du monopole étatique de l’éducation :

    Il faut déconstruire l’idée de familles libres de leurs choix. Quand on entre dans les détails, le système éducatif est d’autant plus inégalitaire là où il est le moins régulé par la force publique.

    Dans son idée, les gens des ghettos n’ont pas vraiment le choix. Ils pensent peut-être permettre à leurs enfants de s’en sortir en quittant l’école publique, mais ils sont voués à déchanter rapidement au regard des critères élitistes et financiers du privé qui, de plus, ne les considérera jamais comme faisant partie du même monde que les autres élèves. La vision marxiste, la lutte de classes.

    Laisser le choix aux parents dans l’éducation de leurs enfants, quelle horreur !

    De toute façon, il est établi depuis longtemps par les dévoués syndicalistes qui foisonnent dans l’Éducation nationale que l’idée de choix est totalement pernicieuse et contraire au principe de l’égalité. Petit exemple : l’enseignement privé organise des portes ouvertes. À les croire, c’est carrément l’horreur consumériste !

    Dans notre fonctionnement, on est obligé de s’aligner sur le privé qui fait des portes ouvertes, donc voilà, on fait des portes ouvertes sinon les parents ne peuvent pas ‘choisir’ l’école. Et donc voilà, on est dans une consommation de l’école. ( vidéo , à partir de 18′ 20″)

    C’est vrai, quoi ! Laisser le choix aux parents dans l’éducation de leurs enfants, quelle horreur ! Mais qu’on nous rende notre monopole , s’exclament en substance nos syndicalistes, cette concurrence du privé est déloyale !

    On ne s’étonnera donc pas de lire en commentaire de l’article de Mediapart l’éternelle diatribe gauchiste contre les financements publics reçu par le privé (comme si les parents du privé ne payaient pas aussi des impôts) ainsi que cette belle envolée d’idéologie complètement butée (photo ci-dessous) :

    L’école publique, l’école de la République, la seule école libre, doit être fière d’accueillir tous les élèves sans distinction.

    Les témoignages des familles, les récits de leur quotidien, leurs espoirs de réussite ? Rien de tout cela ne fait le poids face au dogme.

    La dégringolade éducative de l’Éducation nationale, la violence, le communautarisme ? Un faux problème. L’important c’est l’égalité et l’égalité, cela veut dire : tout le monde sans exception dans la même galère.

    Il n’en est que plus drôle de lire à la fin de l’article de Mediapart que l’une des élèves concernées, très à l’aise en classe de CM2 à l’école de la Sainte-Famille à Montpellier, a déjà décidé que plus tard, elle serait… notaire ! Hou la la ! À ne surtout pas dire au sociologue de service !

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