phone

    • chevron_right

      HOT BEVERAGE️ Russia Today (RT), financier occulte d’un réseau de désinformation d’extrême-droite américain

      news.movim.eu / PCInpact · 2 days ago - 15:13 · 1 minute

    Le ministère de la Justice américain (DOJ) a annoncé la saisie de 32 sites web, et la sanction de 10 personnes ayant contribué à plusieurs opérations de désinformation russe ciblant la présidentielle états-unienne, rapporte Le Monde .

    Tenet Media, dont le siège est situé dans l’État du Tennessee et qui se présente comme « l’endroit où s’expriment les voix des sans-peur », avait réussi à attirer quelques personnalités reconnues de l’extrême-droite états-unienne.

    Le contrat de l’un d’entre eux prévoyait une rémunération d’environ 400 000 euros par mois. Thaïs d’Escufon, porte-parole du groupuscule Génération identitaire jusqu’à sa dissolution en 2021, y était également intervenue pour expliquer que « les communistes ont volé l’élection française », relève de son côté le collectif Sleeping Giants de lutte contre le financement du discours de haine.

    Or, les deux créateurs de Tenet Media avaient caché que ces fonds provenaient de Russia Today (RT), la chaîne d’État russe, interdite de diffusion en Europe depuis le début de la guerre en Ukraine, et de sa maison mère ANO TV-Novosti. Les liens financiers entre l’entreprise du Tennessee et la chaîne d’État russe, à hauteur de 10 millions d’euros, étaient en outre maquillés par une série de sociétés écrans.

    Plusieurs des noms de domaine saisis avaient été utilisés pour usurper l’identité visuelle de médias français et y publier des infox cherchant à déstabiliser la France. Une opération qu’avait déjà dénoncée l’agence Viginum de protection contre les ingérences numériques étrangères de l’État en février dernier, ainsi qu’ en juin .

    • wifi_tethering open_in_new

      This post is public

      next.ink /brief_article/russia-today-rt-financier-occulte-dun-reseau-de-desinformation-dextreme-droite-americain/

    • chevron_right

      HOT BEVERAGE️ Publicité en ligne : Google aussi soupçonné d’abus de position dominante au Royaume-Uni

      news.movim.eu / PCInpact · 2 days ago - 15:03 · 2 minutes

    La Competition and Markets Authority (CMA), autorité britannique des marchés, pense que Google a utilisé des pratiques anticoncurrentielles sur celui de la publicité en ligne, en privilégiant son propre système d’annonces, ce qui pourrait nuire à des milliers d’éditeurs et d’annonceurs britanniques, explique Reuters.

    « Nous avons provisoirement constaté que Google utilise son pouvoir de marché pour entraver la concurrence en ce qui concerne les publicités affichées sur les sites web », affirme la responsable par intérim de l’autorité, Juliette Enser.

    Cette enquête a commencé en 2022 rappelle TechCrunch. Aujourd’hui, l’autorité a envoyé formellement ses conclusions préliminaires à Google qui garde encore la possibilité de répondre. L’autorité considère que l’entreprise abuse de sa position dominante pour améliorer le référencement de son système de publicités.

    « Google désavantage ses concurrents et les empêche de se battre à armes égales pour offrir aux éditeurs et aux annonceurs un service de meilleure qualité et plus compétitif qui favorise la croissance de leur activité », affirme l’autorité dans un communiqué.

    Elle détaille le fonctionnement du système publicitaire de Google : « Pour les annonceurs, Google exploite deux outils d’achat d’annonces, appelés « Google Ads » et « DV360 ». Pour les éditeurs, il exploite un serveur d’annonces pour éditeurs, appelé « DoubleClick For Publishers » (DFP). Au centre de la pile de technologies publicitaires, Google exploite un échange d’annonces, connu sous le nom d' »AdX » ».

    « Google a abusé de ses positions dominantes en exploitant à la fois ses outils d’achat et son serveur d’annonces pour éditeurs afin de renforcer la position d’AdX sur le marché et de protéger AdX de la concurrence », explique-t-elle notamment.

    « En outre, en raison de la nature hautement intégrée de l’activité ad tech de Google, la CMA a provisoirement constaté que le comportement de Google a également empêché les serveurs d’annonces d’éditeurs rivaux d’être en mesure de concurrencer efficacement DFP, nuisant ainsi à la concurrence sur ce marché », ajoute l’Autorité britannique.

    Google est en désaccord avec la CMA et explique qu’elle allait répondre en conséquence. Interrogé par Reuters, le responsable du service publicités de l’entreprise, Dan Taylor., a affirmé que « Google reste déterminé à créer de la valeur pour ses partenaires éditeurs et annonceurs dans ce secteur hautement concurrentiel. Le cœur de cette affaire repose sur des interprétations erronées du secteur de l’ad tech ».

    En 2021 , la Commission européenne avait déjà ouverte une enquête contre Google sur le marché de la publicité en ligne. En juin 2023, la Commission adressait sa liste de griefs et l’Europe agitait même le spectre du démantèlement partiel de Google . Une enquête est aussi en cours aux États-Unis .

    • wifi_tethering open_in_new

      This post is public

      next.ink /brief_article/publicite-en-ligne-google-aussi-soupconne-dabus-de-position-dominante-au-royaume-uni/

    • chevron_right

      Frustrations et départ dans l’équipe Rust du noyau Linux

      news.movim.eu / PCInpact · 2 days ago - 13:24 · 5 minutes

    Sans huile dans le moteur, Linux risque de rouiller
    Frustrations et départ dans l’équipe Rust du noyau Linux

    La semaine dernière, Wedson Almeida Filho, l’un des principaux collaborateurs du projet Rust for Linux, a décidé d’arrêter de travailler sur l’intégration de ce langage dans le noyau libre. En cause, son « manque d’énergie et d’enthousiasme » face à des problèmes qui, selon lui, relèvent d’ « absurdités non techniques », confirmant les difficultés de relations humaines qui entourent la gestion du noyau Linux.

    Wedson Almeida Filho, l’un des responsables de l’équipe chargée d’encadrer l’utilisation du langage Rust dans le noyau Linux, a annoncé son départ la semaine dernière sur la liste de discussion du projet. Cet ingénieur de Microsoft explique qu’ « après presque 4 ans, [il n’a] plus l’énergie et l’enthousiasme qu’ [il avait] autrefois pour répondre à certaines des absurdités non techniques ».

    Ce langage est de plus en plus utilisé dans des projets critiques pour assurer une gestion de la mémoire plus robuste. La DARPA l’utilise par exemple, ayant pour ambition d’éliminer « une fois pour toutes les vulnérabilités liées à la sécurité de la mémoire » et a même lancé un projet pour traduire automatiquement le code C/C++ en Rust. La Maison-Blanche exhorte même les développeurs à se mettre au Rust.

    Une intégration qui prend du retard

    Débuté en 2020, le projet Rust for Linux a pour ambition d’aider à augmenter encore la sécurité du noyau le plus connu du logiciel libre. En avril 2021, travaillant alors dans l’équipe Android de Google, Wedson Almeida Filho affirmait dans un billet de blog : « nous pensons que Rust est maintenant prêt à rejoindre le langage C en tant que langage pratique pour l’implémentation du noyau. Il peut nous aider à réduire le nombre de bugs potentiels et de vulnérabilités de sécurité dans le code privilégié, tout en s’intégrant proprement avec le noyau central et en préservant ses caractéristiques de performances ».

    Mais il a fallu attendre fin 2023 pour que le langage s’insère pour la première fois dans la version 6.8 du noyau via un driver réseau , comme l’expliquent le chercheur Hongyu Li et ses collègues, dans une étude de l’intégration du langage dans le noyau publiée début juillet. Linus Torvalds, le créateur de Linux et toujours responsable de son développement, avait pourtant annoncé cette intégration pour la version 6.1.

    Altercation virulente entre développeurs C et Rust

    Mais ce retard ne mine pas la confiance de Wedson Almeida Filho dans l’utilité de Rust pour écrire des noyaux robustes. Au contraire, il affirme dans son message : « je crois vraiment que l’avenir des noyaux passe par des langages à mémoire sécurisée ». Il ajoute même que Linux pourrait se faire dépasser par d’autres noyaux : « je ne suis pas un visionnaire, mais si Linux n’intériorise pas cela, je crains qu’un autre noyau ne lui fasse ce qu’il a fait à Unix ».

    Wedson Almeida Filho intègre aussi dans son message un lien vers une vidéo filmée en mai lors de la conférence Linux Storage, Filesystem, Memory-Management, and BPF Summit. Le passage qu’il pointe montre une discussion difficile entre l’ingénieur et un de ses collègues, Ted Ts’o, qui l’accuse de vouloir « convaincre tous les autres de s’orienter vers une religion promue par Rust ».

    « Et la réalité, c’est que ça ne va pas arriver, car nous avons plus de 50 systèmes de fichiers dans Linux qui ne vont pas être convertis immédiatement en Rust. Avant ça, nous allons continuer à réécrire du code C, car nous voulons que le code en C soit meilleur », argumentait le second. Il avait ajouté : « vous n’allez pas tous nous forcer à apprendre Rust ».

    Des développeurs Rust solidaires

    Comme l’a repéré ArsTechnica, la développeuse Asahi Lina (responsable du projet Asahi Linux) a partagé un avis similaire à celui de Filho en le soutenant : « je comprends malheureusement tout à fait les frustrations de Wedson ».

    Elle évoque son expérience lorsqu’elle a voulu proposer des modifications au Direct Rendering Manager (DRM) de Linux : « lorsque j’ai essayé d’apporter en amont des corrections mineures au code C pour rendre le comportement plus robuste et les exigences de durée de vie plus raisonnables, le mainteneur l’a bloqué et a dit que je devais simplement faire « ce que font les autres pilotes » ». Elle ajoute qu’ « un sous-ensemble de développeurs du noyau C semble déterminé à rendre la vie des mainteneurs de Rust aussi difficile que possible ».

    « À ce jour, des bugs dans l’ordonnanceur du DRM ont été les seules causes de kernel panics déclenchées par le pilote de mon GPU Apple en production […] », explique Asahi Lina, « parce que je code en Rust ».

    Dans un billet de blog, Drew DeVault, le fondateur de la plateforme d’outils open source Source Hut , suggère aux développeurs Rust de développer un noyau compatible Linux à partir de zéro. Ceci devrait, selon lui, les libérer des batailles politiques des mailing lists du noyau Linux. Celles-ci seraient plus un « far west » qu’un milieu « enthousiaste et prêt à accueillir en son sein des innovateurs motivés pour faciliter cet impact ».

    Constat désemparé de Linus Torvalds

    Ce n’est pas le premier conflit interpersonnel à surgir dans le projet du noyau Linux. Linus Torvalds a lui-même installé pendant longtemps un climat brutal dans ses conversations, qu’elles soient internes ou externes. En 2018, il avait envoyé un message d’excuses.« Je vais prendre du temps pour moi et demander de l’aide pour comprendre les émotions des autres et comment y répondre de manière appropriée », annonçait-il.

    Torvalds expliquait à Zdnet au mois d’aout : « je m’attendais à ce que les mises à jour soient plus rapides, mais le problème réside en partie dans le fait que les développeurs de noyau de longue date sont habitués au C et ne connaissent pas Rust. Ils ne sont pas vraiment enthousiastes à l’idée de devoir apprendre un nouveau langage qui est, à certains égards, très différent. Il y a donc eu des réactions négatives à l’égard de Rust ». Il ajoutait cependant qu’ « une autre raison est que l’infrastructure Rust elle-même n’a pas été très stable ».

    Le créateur de Rust, Steve Klabnik, a commenté sur Bluesky : « des responsables du noyau Linux se comportent si mal que d’autres abandonnent. Windows se contente de livrer discrètement du code Rust. Nous verrons comment tout cela va se dérouler… »

    • wifi_tethering open_in_new

      This post is public

      next.ink /148787/frustrations-et-depart-dans-lequipe-rust-du-noyau-linux/

    • Pictures 1 image

    • visibility
    • chevron_right

      HOT BEVERAGE️ Traductions officielles : ne dites plus prompt, mais instruction générative

      news.movim.eu / PCInpact · 2 days ago - 13:01 · 1 minute

    La Commission d’enrichissement de la langue française a encore frappé avec une série de traductions de termes dans le domaine de l’intelligence artificielle. Cela concerne à la fois les termes, expressions et définitions adoptés.

    On ne dit plus adversarial machine learning , mais apprentissage antagoniste. Il s’agit d’un mode d’apprentissage automatique « qui consiste à entraîner un modèle à partir d’un jeu de données comprenant des données trompeuses ou ambiguës, de manière qu’il apprenne à discerner de telles données ».

    Idem pour model card qui devient notice de modèle préentraîné. Il s’agit de « l’ensemble des informations qui accompagnent un modèle préentraîné et qui définissent les caractéristiques de son jeu de données d’entraînement, son paramétrage et le cadre de son utilisation » .

    Le prompt , c’est-à-dire la « consigne donnée par un utilisateur à un modèle génératif, généralement formulée en langue naturelle, qui décrit la tâche à accomplir », se transforme en instruction générative, le token en jeton textuel, le transfer learning en apprentissage par transfert.

    Nous avons aussi des définitions déjà utilisées, comme grand modèle de langage (GML) pour les large language models (LLM). Tout ce qui touche à la generation (audio, image, text) devient de la génération automatique d’audio, d’image et de texte.

    Comme le rappelle le ministère de la Culture , « les agents des services publics de l’État, auxquels […] il est fait obligation d’employer les termes publiés au Journal officiel, en lieu et place de termes étrangers, sont particulièrement concernés, ainsi que tous ceux qui, curieux de la langue française et de son évolution, souhaitent savoir comment nommer les notions et réalités nouvelles qui ne cessent d’apparaître dans les sciences et techniques ».

    Il propose aussi la page FranceTerme qui regroupe l’ensemble des termes traduits, avec un moteur de recherche.

    • wifi_tethering open_in_new

      This post is public

      next.ink /brief_article/traductions-officielles-ne-dites-plus-prompt-mais-instruction-generative/

    • chevron_right

      HOT BEVERAGE️ Nick Pickles, responsable des affaires internationales de X, démissionne

      news.movim.eu / PCInpact · 2 days ago - 12:32

    « Après plus de dix ans, demain sera mon dernier jour chez X », vient de partager Nick Pickles sur le réseau social . Il précise avoir pris sa décision « il y a plusieurs mois ».

    Ancien directeur de l’ONG britannique libertarienne Big Brother Watch, il était entré au bureau de Londres de Twitter en 2014 en tant que responsable senior des politiques publiques. Il avait été promu responsable des affaires gouvernementales mondiales de X en décembre 2022, précise-t-il sur LinkedIn .

    Il était considéré comme le bras droit de la directrice générale Linda Yaccarino, « qui subissait une pression féroce pour améliorer les finances de l’entreprise et reconquérir les annonceurs », souligne le Finanial Times .

    Âgé de 40 ans, il était resté en poste après le rachat de Twitter par Elon Musk, et avait donc souvent dû défendre les positions controversées du milliardaire auprès des médias et des gouvernements du monde entier. Son rôle était « similaire à celui de Nick Clegg, président des affaires mondiales chez Meta et ancien vice-premier ministre britannique », note le Financial Times.

    • wifi_tethering open_in_new

      This post is public

      next.ink /brief_article/nick-pickles-responsable-des-affaires-internationales-de-x-demissionne/

    • chevron_right

      HOT BEVERAGE️ Entorses à la concurrence : NVIDIA réfute une assignation à comparaitre aux États-Unis

      news.movim.eu / PCInpact · 2 days ago - 07:54 · 1 minute

    En début de semaine, on apprenait par voie de presse que faisait l’objet de soupçons liés à un potentiel abus de position dominante. L’AFP explique que, « selon plusieurs médias américains, la société a reçu une demande de documents émanant du ministère de la Justice (DOJ), qui s’inscrit dans le cadre d’une enquête sur de possibles infractions à la concurrence ».

    Cette annonce, intervenue un jour où la bourse américaine corrigeait déjà les valeurs technologiques, a participé à une baisse inédite de l’action NVIDIA sur le NASDAQ, avec plus de 10% perdus en une seule séance.

    Auprès de CNBC , NVIDIA apporte des précisions et réfute une partie des informations : « Nous nous sommes renseignés auprès du ministère américain de la Justice et n’avons pas été assignés à comparaître […] Néanmoins, nous sommes heureux de répondre à toutes les questions que les régulateurs pourraient avoir sur notre entreprise ».

    Un porte-parole de NVIDIA affirme à plusieurs de nos confrères (français et américains) que la société « s’est imposée au mérite, comme le montrent les études comparatives et nos clients, qui peuvent choisir ce qui est le mieux pour eux ».

    En France, l’Autorité de la concurrence a confirmé pour rappel mi-juillet qu’elle enquêtait sur NVIDIA pour « des pratiques anticoncurrentielles présumées ». Cela faisait suite à « une opération de visite et saisie inopinée […] dans le secteur des cartes graphiques » en septembre 2023. NVIDIA n’était pas directement cité, mais tous les vecteurs convergeaient vers cette société.

    • wifi_tethering open_in_new

      This post is public

      next.ink /brief_article/entorses-a-la-concurrence-nvidia-refute-une-assignation-a-comparaitre-aux-etats-unis/

    • chevron_right

      HOT BEVERAGE️ Des gradés de l’US Navy ont illégalement ajouté une antenne Starlink à leur navire

      news.movim.eu / PCInpact · 2 days ago - 07:39 · 1 minute

    Le média spécialisé NavyTimes raconte que des responsables de la Marine américaine ont installé en secret et illégalement un réseau Wi-Fi sur le navire de guerre USS Manchester.

    Pour cela, ils ont arrimé une antenne Starlink au pont météorologique du bateau en profitant d’une opération dont les actes ne sont pas consignés, en avril 2023, alors qu’ils se préparaient à un déploiement dans l’ouest de l’océan pacifique.

    Le réseau apparaissait sous le nom de « STINKY » comme pouvait l’être celui donné par défaut par Starlink à ses routers pendant une certaine période.

    NavyTimes explique que les chefs à bord ont profité de ce réseau pour donner des nouvelles à leurs familles, consulter les résultats sportifs et profiter de films en streaming sans toutefois donner l’accès à leurs subordonnés.

    Une note consultée par le média souligne que ce système pirate installé par les responsables du navire a mis en danger l’équipage.

    L’enquête qui a révélé l’affaire a montré que l’ensemble des chefs était au courant, sans pour autant adhérer à l’installation. Ils ont tous été reconnus coupables de mauvaise conduite.

    La commandante en chef Grisel Marrero a elle-même géré l’application Starlink à partir de son téléphone. Elle a été relevée de ses fonctions l’année dernière et a plaidé coupable devant une cour martiale au printemps, après avoir nié l’existence du système.

    • wifi_tethering open_in_new

      This post is public

      next.ink /brief_article/des-grades-de-lus-navy-ont-illegalement-ajoute-une-antenne-starlink-a-leur-navire/

    • chevron_right

      HOT BEVERAGE️ Revenge porn, deepfakes : Microsoft intensifie sa lutte en rejoignant StopNCII

      news.movim.eu / PCInpact · 2 days ago - 06:56 · 1 minute

    Microsoft a publié hier soir dans un billet une annonce importante dans la lutte contre les images pornographiques non-consensuelles, incluant le revenge porn et les deepfakes.

    La société y indique qu’elle va travailler avec StopNCII, « NCII » signifiant ici « non consensual intimate image » (image intime non consensuelle). L’outil a été développé à l’initiative de l’ONG SWGfL, avec la participation de Meta, qui l’utilise sur Facebook, Instagram et Threads. TikTok, Bumble, Reddit, Snap, Niantic, OnlyFans, PornHub, Playhouse et Redgifs l’utilisent également.

    La technologie est basée sur les empreintes numériques (hachage). Quand une personne ouvre un dossier sur StopNCII (ou via un service l’utilisant), l’empreinte de l’image visée est calculée et envoyée à toutes les entreprises se servant de l’outil. L’image est alors supprimée et déréférencée.

    Microsoft indique que StopNCII va notamment être utilisé sur Bing, afin que le moteur n’affiche plus les images incriminées dans ses résultats. La société ajoute avoir participé à l’effort en offrant sa technologie PhotoDNA, dont StopNCII a annoncé l’intégration le 13 mars dernier . Depuis, Microsoft était en période de test avec StopNCII et indique avoir bloqué 268 899 images sur Bing. En plus de l’outil de signalement intégré à ce dernier, Microsoft dispose d’ une page dédiée .

    Comme le signale Endgadget , Google ne fait pas partie du réseau. L’entreprise a ses propres outils de détection, de déréférencement et de suppression. C’est malheureusement au détriment des victimes, qui doivent refaire la manipulation plusieurs fois, une pour chaque outil de lutte contre ces images.

    • wifi_tethering open_in_new

      This post is public

      next.ink /brief_article/revenge-porn-deepfakes-microsoft-intensifie-sa-lutte-en-rejoignant-stopncii/

    • chevron_right

      Pavel Durov sort de son silence, Telegram revoit (discrètement) ses règles de modération

      news.movim.eu / PCInpact · 2 days ago - 06:32 · 4 minutes

    Vous avez un nouveau message
    Pavel Durov sort de son silence, Telegram revoit (discrètement) ses règles de modération

    « Je me suis fixé comme objectif de veiller à ce que nous améliorions considérablement les choses », écrit Pavel Durov dans un message posté sur Telegram, où il conteste cela dit le fait d’être « personnellement » responsable de ce dont la messagerie est accusée. Sa FAQ a d’ailleurs été discrètement mise à jour, afin d’améliorer la prise en compte des signalements d’abus.

    Fin août , Pavel Durov (co-fondateur et CEO de Telegram) était arrêté en France à la descente de son avion. Après quatre jours de garde à vue, il était mis en examen avec une interdiction de quitter le territoire.

    Si la messagerie s’était rapidement fendue d’un message pour expliquer que « Telegram se conforme aux lois européennes » et que « Pavel Durov n’a rien à cacher », le principal intéressé ne s’était pas exprimé. C’est désormais chose faite , via Telegram évidemment.

    Pavel Durov répond aux accusations

    Dans un long message, il revient sur les accusations qui lui sont faites : « On m’a dit que je pouvais être personnellement responsable de l’utilisation illégale de Telegram faite par d’autres, car les autorités françaises n’ont pas reçu de réponses de Telegram ».

    Pour lui, cette approche est « surprenante pour plusieurs raisons », qu’il détaille dans un long argumentaire :

    « Telegram a un représentant officiel dans l’Union européenne qui reçoit et répond aux demandes. Son adresse e-mail était publiquement accessible à toute personne dans l’UE qui cherchait sur Google « Telegram EU address for law enforcement ».
    Les autorités françaises ont eu de nombreux moyens de me contacter pour demander de l’aide. En tant que citoyen français, j’étais fréquemment au consulat de France à Dubaï. Il y a quelque temps, suite à une demande, je les ai personnellement aidés à mettre en place un support téléphonique avec Telegram pour faire face à la menace terroriste en France.
    Si un pays n’est pas satisfait d’un service Internet, la pratique courante est d’intenter une action en justice contre le service lui-même. Utiliser des lois de l’ère pré-smartphone pour accuser un patron de crimes commis par des tiers sur la plateforme qu’il gère est une mauvaise approche ».

    Concernant la France, la situation est compliquée vue de l’extérieur. D’un côté, il aurait ouvert un canal de communication officiel avec la DGSI dans le cadre de la lutte antiterroriste. Mais d’après Le Canard, et contrairement à sa ligne de défense, il n’aurait pas aidé le renseignement français à déjouer des attentats.

    Confidentialité vs sécurité

    Il parle ensuite de la difficulté de trouver un équilibre entre confidentialité et sécurité, ainsi qu’entre les différentes législations locales (une manière de pointer la singularité de l’Union européenne avec les RGPD, DSA et DMA). « En tant que plateforme, vous voulez que vos processus soient cohérents au niveau mondial », explique-t-il.

    Il affirme être prêt à collaborer « pour trouver le bon équilibr e », mais ajoute rapidement qu’il restera fidèle à ses principes. Et si les divergences sont trop importantes, il se dit « prêt à quitter ce pays » car « nous ne le faisons pas pour l’argent ». Il cite l’exemple de la Russie ou Telegram était interdite pendant un temps, avant de revenir, et de l’Iran.

    Il veut tordre le cou aux « affirmations de certains médias selon lesquelles Telegram est une sorte de paradis anarchique […] Chaque jour, nous supprimons des millions de messages et de chaînes nuisibles ». Il n’en reste pas moins que Telegram est connu pour abriter ce genre de discussion, mais aussi pour prendre parfois trop de temps à répondre aux demandes, comme le regrettait la Ligue professionnelle de football .

    Son argumentaire continue. Telegram publie des rapports de transparence (il cite deux exemples ici ou ) et dispose de « lignes d’assistance directes avec les ONG pour traiter plus rapidement les demandes de modération urgentes ».

    Il affirme néanmoins être conscient que Telegram doit faire mieux et va s’y employer :

    « L’augmentation soudaine du nombre d’utilisateurs de Telegram (950 millions) a causé des difficultés de croissance qui ont facilité l’abus de notre plateforme par les criminels. C’est pourquoi je me suis fixé comme objectif de veiller à ce que nous améliorions considérablement les choses à cet égard. Nous avons déjà entamé en interne, et je vous donnerai très bientôt plus de détails sur nos progrès ».

    Telegram change discrètement sa FAQ sur les signalements

    Du changement, il y en a déjà dans la FAQ de Tegram , mais uniquement sur la version en anglais pour l’instant. Aucune annonce officielle n’a été faite pour le moment sur ce sujet.

    À la question « Il y a du contenu illégal sur Telegram. Comment puis-je le faire retirer ? », la réponse est désormais : « Toutes les applications Telegram disposent de boutons « Signaler’ qui vous permettent de signaler du contenu illégal à nos modérateurs, en quelques clics seulement ». La plateforme met aussi en avant son adresse email abuse@telegram.org.

    Auparavant ( via WebArchive ), et comme nous l’avions d’ailleurs souligné , le message était : « Tous les échanges et groupes sur Telegram restent privés entre leurs participants. Nous ne traitons pas les requêtes qui y sont liées », c’est d’ailleurs toujours celui de la version française .

    « Mais les lots d’autocollants, les canaux et les bots sur Telegram sont accessibles publiquement. Si vous trouvez des lots d’autocollants ou des bots sur Telegram qui vous semblent illégaux, veuillez nous contacter à abuse@telegram.org », ajoutait la messagerie.

    Ce passage est supprimé puisque désormais les signalements concernent l’ensemble des contenus (capture d’écran faite le 6 septembre à 7h30) :

    • wifi_tethering open_in_new

      This post is public

      next.ink /149084/pavel-durov-sort-de-son-silence-telegram-revoit-discretement-ses-regles-de-moderation/

    • Pictures 1 image

    • visibility