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      Kenya: le pays suspendu à des élections à haut risque

      news.movim.eu / Mediapart · Sunday, 7 August, 2022 - 16:26


    Mardi 9 août se déroulent au Kenya des élections générales. Alors que la population fait face à une crise économique et à une forte hausse des prix, ce scrutin risque de déstabiliser ce pays clé de l’Afrique de l’Est.
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      Manifestations contre la junte au pouvoir en Guinée

      news.movim.eu / Mediapart · Saturday, 30 July, 2022 - 07:58


    Un mouvement de protestation a démarré jeudi à l’appel d’une coalition de partis, syndicats et organisations de la société civile, pour dénoncer la «gestion unilatérale de la transition» par les militaires. Les organisateurs ont fait état de quatre morts tués par balles, le parquet en évoque un seul.
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      RDC: 17 manifestants et trois employés des Nations unies tués en marge de manifestations

      news.movim.eu / Mediapart · Wednesday, 27 July, 2022 - 17:17


    Des manifestations exigeant le départ de la mission de maintien de la paix de l’ONU en République démocratique du Congo (RDC), la Monusco, ont dégénéré lundi et mardi, faisant au moins 17 morts parmi les manifestants et trois autres parmi les employés des Nations unies sur place.
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      Paul Biya ironise sur sa longévité au pouvoir mais ça n'a pas fait rire ces ministres français

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 27 July, 2022 - 15:11 · 2 minutes

    POLITIQUE - Ils ont sorti leur meilleur “poker face”. En pleine conférence de presse aux côtés d’ Emmanuel Macron en visite à Yaoundé , mardi 26 juillet, le président de la République du Cameroun, Paul Biya, n’a pas échappé à une question sur sa succession, après 40 années à la tête du pays.

    Répondant à une journaliste de Radio France International (RFI), le chef d’État âgé de 89 ans a tenté laborieusement de transformer l’événement en cours de mathématiques, non sans laisser une impression de malaise parmi la délégation de ministres français, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article.

    “Le mandat que je mène a une durée de sept ans. Alors, essayez de faire la soustraction. Sept... moins quatre ou trois. Et vous saurez combien de temps il me reste à diriger le pays”, a déclaré Paul Biya avec le sourire, avant de se laisser toutes les portes ouvertes pour la suite: “Quand ce mandat arrivera à expiration, vous serez informé si je reste ou si je m’en vais au village.”

    Au premier rang de l’assistance, les ministres Chrysoula Zacharopoulou (Francophonie), Sébastien Lecornu (Armées) et Catherine Colonna (Affaires étrangères) sont restés de marbre devant cette réponse au ton ironique, tranchant avec les quelques rires et applaudissements entendus dans la salle.

    Le président camerounais a aussi justifié sa présence par la constitution, qu’il a par ailleurs révisée en 2008 pour faire tomber la limite de deux mandats présidentiels successifs et s’octroyer une immunité judiciaire.

    “La France n’a pas à s’ingérer, à adouber qui que ce soit, à donner des leçons”, avait souligné l’Elysée avant l’entretien entre Emmanuel Macron et Paul Biya. Relevant que la France avait jusqu’à présent trop misé “sur le politique et le militaire”, Emmanuel Macron parie désormais sur la société civile et la jeunesse, avec lesquelles il entend parler culture, numérique, sports, environnement...

    L’ambition est aussi de régler les “non-dits” et les “incompréhensions” liés à la colonisation qui “nourrissent la défiance” avec la France. Il a annoncé qu’une commission d’historiens allait faire la lumière sur l’action de la France au Cameroun pendant la colonisation et après l’indépendance de ce pays en 1960.

    Sur cette séquence, on peut également voir rire Claude Leroy. L’ancien entraîneur de l’équipe nationale de football camerounaise est venu parmi la délégation présidentielle. ​“La France a un rôle énorme à jouer au Cameroun, mais sans en jouer aucun”, avait résumé à l’AFP celui qui est devenu très populaire dans ce pays d’Afrique.

    À voir également sur Le HuffPost : Avant Cameroun-Comores, plusieurs morts à Yaoundé dans une bousculade

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      Le grand jeu diplomatique bat son plein en Afrique, précipité par la guerre en Ukraine

      news.movim.eu / Mediapart · Wednesday, 27 July, 2022 - 13:41


    L’Afrique, où de nombreuses voix se sont élevées en soutien à Vladimir Poutine et qui craint l’épuisement de ses stocks de blé, est l’objet de toutes les convoitises. Paris et Moscou y mènent, cette semaine, des offensives diplomatiques.
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      En Tunisie, l’hyperprésident fait adopter sa Constitution, malgré une forte abstention

      news.movim.eu / Mediapart · Wednesday, 27 July, 2022 - 10:30


    Le référendum constitutionnel de lundi a été approuvé par une écrasante majorité des électeurs tunisiens, avec un taux de participation de 30,5%. Les opposants au président Kaïs Saïed dénoncent un processus illégitime. Mais son premier défi sera économique en raison des conséquences de la guerre en Ukraine.
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      Macron promet de faire la lumière sur les crimes de la France au Cameroun

      news.movim.eu / Mediapart · Wednesday, 27 July, 2022 - 08:56


    Des dizaines, peut-être des centaines de milliers de morts: c’est le bilan de la guerre française contemporaine la moins connue, menée au Cameroun à la fin des années 1950 pour empêcher l’indépendance. En visite dans le pays, le président français s’est engagé mardi à ouvrir les archives et a souhaité un travail d’historiens.
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      Bois contre mercenaires russes: comment la Centrafrique a bradé une forêt au groupe Wagner

      news.movim.eu / Mediapart · Tuesday, 26 July, 2022 - 06:02


    Depuis 2021, Bois Rouge, une entreprise liée au groupe militaire privé Wagner, bras armé officieux du Kremlin, exploite une forêt à l’ouest de la Centrafrique. Elle bénéficie d’un étonnant traitement de faveur de la part des autorités, et œuvre parfois au mépris de la loi.
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      Une visite de Macron en Afrique sous l'ombre de la Russie

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 25 July, 2022 - 05:01 · 5 minutes

    Emmanuel Macron, ici le 30 juin 2022, se rend en Afrique le 25 juillet 2022 pour une visite de quatre jours sur fond de guerre en Ukraine. Emmanuel Macron, ici le 30 juin 2022, se rend en Afrique le 25 juillet 2022 pour une visite de quatre jours sur fond de guerre en Ukraine.

    DIPLOMATIE - La priorité des priorités pour le chef de l’État? Trois mois après sa réélection, et un mois après la fin de la PFUE, Emmanuel Macron retourne pour quatre jours en Afrique , l’une de ses priorités diplomatiques.

    Il se rendra, pour la première fois, au Cameroun, poids lourd de l’Afrique centrale, au Bénin, confronté aux défis sécuritaires du Sahel, et en Guinée-Bissau. Le président délaisse ainsi l’ancien pré-carré français d’Afrique centrale dont le Gabon et la RDC qui, parallèlement, ont développé leurs relations politiques et économiques avec d’autres puissances comme la Chine, la Russie ou l’Allemagne.

    Ce déplacement de quatre jours permettra au président de réaffirmer son “engagement dans la démarche de renouvellement de la relation de la France avec le continent africain” , explique l’Élysée. Les enjeux seront divers. Au Cameroun, il y sera, entre autres, question de l’État de droit alors que Paul Biya est critiqué par la communauté internationale. Quant au Bénin, Emmanuel Macron devrait notamment y aborder la restitution d’œuvres d’art par la France l’an dernier.

    Mais pour le président, ce voyage c’est aussi “rénover” ses partenariats militaires sur le continent pour se maintenir dans la compétition stratégique exacerbée qui s’y joue entre puissances, Moscou en tête. Le chef de la diplomatie russe Sergeï Lavrov se trouvait d’ailleurs lui-même en Afrique ce dimanche.

    Crise alimentaire et influence militaire

    De fait, la guerre en Ukraine et la Russie planeront indéniablement autour de ce déplacement. Tout d’abord dans le contexte de la crise alimentaire , alors que Kiev et Moscou ont signé des accords parallèles sur l’exportation du blé cette semaine. Lesquels ont été immédiatement entachés de frappes russes sur le port d’Odessa.

    À ce titre, Emmanuel Macron devrait aborder entre autres l’initiative Farm lancée en mars avec l’Union européenne et l’Union africaine pour accroître la production agricole. La France compte soutenir des projets au Cameroun, qui dispose de nombreux atouts dans ce secteur.

    Mais, à Yaoundé où menace Boko Haram, et face à un Paul Biya avec qui les relations ont été tendues ces derniers mois, il sera aussi question de l’influence militaire croissante de Moscou.

    “Le président camerounais Paul Biya a envoyé, en plein conflit en Ukraine, son ministre de la Défense à Moscou signer un accord militaire de défense avec la Russie. Je pense que ça a dû faire énormément réagir à Paris. D’ailleurs, je crois qu’à l’époque le responsable Afrique du Quai d’Orsay Christophe Bigot s’était rendu à Yaoundé pour savoir ce qu’il se passait”, rappelle pour TV5 Monde , Antoine Glaser, spécialiste des rapports entre la France et les pays d’Afrique francophone.

    La présence tous azimuts de Wagner

    Enfin, c’est aussi via la situation au Sahel, région frontalière du Bénin et de la Guinée-Bissau, que Moscou pourrait s’inviter dans les discussions. Au cœur des enjeux: la présence du groupe Wagner , et ce, alors qu’Emmanuel Macron a fait part de sa volonté de “repenser d’ici à l’automne l’ensemble (des dispositifs militaires de la France) sur le continent africain”.

    Poussée hors du Mali par la junte au pouvoir depuis 2020, qui travaille désormais -même si elle s’en défend- avec le sulfureux groupe paramilitaire russe Wagner, l’armée française sera partie du pays à la fin de l’été, après neuf ans de lutte antijihadiste. Sa présence au Sahel sera divisée par deux, à moins de 2.500 militaires, et va muteri vers des “dispositifs moins posés et moins exposés”, selon les termes d’Emmanuel Macron, afin notamment d’éviter de prêter le flanc à un sentiment anti-français très inflammable.

    Mais la France n’entend pas renoncer à la lutte contre les jihadistes affiliés à Al-Qaïda et Daech. L’enjeu est fondamental: Paris entend éviter le déclassement stratégique face à ses adversaires.

    “Les Russes ont une vraie priorité opérationnelle de s’opposer aux Français dans le champ informationnel en Afrique. Ils exercent une forte pression pour essayer de nous chasser (via) les réseaux sociaux, par le biais de Wagner”, résume un général français à l’AFP.

    Les mercenaires de Wagner sont déjà implantés en Centrafrique et au Mali , avec une offre de service claire: sécurité anti-coup d’État et assistance juridique pour maintenir le régime au pouvoir, en échange de l’exploitation des ressources minières, soulignent à l’AFP des sources concordantes.

    Pas anodin alors que le président guinéen Umaro Sissoco Embalo s’apprête à prendre la tête de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), en première ligne face à la junte malienne.

    Présence russe sur les réseaux sociaux

    Enfin, la “galaxie Prigojine”, du nom du fondateur russe de Wagner réputé proche du Kremlin, est également très active sur les réseaux sociaux. Des messages qui sont notamment partagés en masse par des groupes antifrançais sur Facebook en Afrique, par exemple, relevait notamment RFI . Fin avril au Mali, un drone français a surpris des mercenaires mettant en scène un faux charnier à proximité d’une base française, pour faire accuser Paris de crimes de guerre via de faux comptes Twitter.

    Le camp pro-russe pousse même jusqu’à l’ingérence dans la vie politique française, selon deux sources proches du dossier. “Le camp russe nous a embêtés pendant les campagnes électorales (présidentiel et législatif), via des faux comptes pro ou anti-gouvernement au Mali, au Sénégal, au Bénin et en RCA. Mais ça n’a pas pris”, décrit un haut responsable. Une situation sous contrôle.

    Une influence qui ne se limite plus aux réseaux sociaux. Plusieurs observateurs ont noté que le site pro-Kremlin, Sputnik France, avait trouvé une seconde jeunesse en devenant Sputnik Afrique. Un second souffle que devra résolumment aussi trouver Paris lors de cette visite.

    À voir également sur Le HuffPost: Boris Johnson et ses homologues du G7 se moquent de l’image virile de Poutine