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      Pourquoi l’arrivée du bouton Edit sur WhatsApp est une (très) mauvaise idée ?

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Monday, 20 June, 2022 - 15:30

    whatsapp-158x105.jpg WhatsApp

    La possibilité de modifier les messages dans WhatsApp et iMessage s'apprêtent à poser de sérieux problèmes, estiment certains avocats.

    Pourquoi l’arrivée du bouton Edit sur WhatsApp est une (très) mauvaise idée ?

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      Gilles Le Gendre signalé pour "harcèlement": Rachida Dati persiste en Justice

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 8 June, 2022 - 16:08 · 3 minutes

    Le Gendre tacle Dati après la décision du Parquet, elle l'accuse Le Gendre tacle Dati après la décision du Parquet, elle l'accuse "d'étouffer la parole des femmes"

    POLITIQUE - Gilles Le Gendre n’a pas été mis en cause par la justice, mais Rachida Dati n’entend pas renoncer pour autant. Ce mercredi 8 juin, la maire LR du 7e arrondissement accuse le député de Paris “d’étouffer la parole des femmes” après que ce dernier se félicite du classement sans suite d’ un signalement déposé contre lui pour “harcèlement” .

    “Mme Dati, il aura fallu moins d’une semaine au Parquet pour classer sans suite votre signalement indigne!”, tacle sur Twitter Gilles Le Gendre. La veille, le parquet de Paris a annoncé le classement sans suite du signalement adressé quelques jours plus tôt par Rachida Dati, et portant sur des accusations de “harcèlement moral et sexuel” visant le député à l’époque où il occupait le poste de chef du groupe LREM à l’Assemblée .

    Gilles Le Gendre avait déposé plainte dans la foulée pour dénonciation calomnieuse. “Les électeurs jugeront vos calomnies pour tenter de les abuser et de fausser le scrutin. Avant que vous en répondiez devant la Justice”, écrit sur Twitter le député candidat à sa réélection, en mentionnant l’intéressée et le candidat LR aux législatives dans sa circonscription.

    Dati annonce un recours contre le classement sans suite

    Le signalement de Rachida Dati s’appuyait sur un ancien communiqué syndical de collaborateurs parlementaires et des articles de presse qui dénonçaient “les allégations mensongères” de Gilles Le Gendre, celui-ci ayant affirmé ne pas avoir eu connaissance d’accusations de harcèlement sexuel visant des députés.

    L’ancienne ministre de la Justice y voyait une non-dénonciation de délit voire de crime. Elle reprenait en outre des propos de l’ex-député LREM Joachim Son-Forget , réputé pour ses prises de position fantaisistes, accusant l’ex-chef des députés LREM d’être “soupçonné lui-même d’abus sexuels qui (lui) ont été rapportés directement par les victimes présumées”.

    Le parquet de Paris n’a donné aucune suite aux soupçons de harcèlement moral et sexuel, faute d’avoir reçu une plainte. La “non-dénonciation de délit de la part du groupe” LREM a connu le même sort, faute d’infraction cette fois.

    Interpellée de la sorte, Rachida Dati n’a pas manqué de lui répondre, dénonçant les “propos menaçants” de Gilles Le Gendre à son encontre. ”Étouffer la parole des femmes est d’un autre temps”, réplique la maire Les Républicains, annonçant en même temps la saisie du Procureur pour “un recours hiérarchique” contre le classement sans suite.

    “Si Monsieur Le Gendre n’a rien commis de répréhensible, il ne doit pas avoir peur de l’enquête de police qui va être diligentée. Elle, et elle seule, permettra de faire la lumière sur les faits”, ajoute-t-elle, avec le hashtag #MeTooPolitique.

    Gilles Le Gendre assure avoir déjà été confronté à ces rumeurs en interne avant d’en sortir blanchi. Cette passe d’arme intervient dans en pleine bataille électorale à Paris, où la majorité présidentielle détient 14 des 18 circonscriptions dont seulement deux sont occupées par des députés LR.

    À voir également sur Le HuffPost: Anne Hidalgo de retour au conseil de Paris, Rachida Dati l’attaque sur sa défaite à la présidentielle

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      Gilles Le Gendre signalé à la justice par Rachida Dati pour "harcèlement"

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 1 June, 2022 - 09:43 · 3 minutes

    Gilles Le Gendre photographié à l'Élysée en février (illustration) Gilles Le Gendre photographié à l'Élysée en février (illustration)

    POLITIQUE - Une nouvelle affaire qui pourrait embarrasser la Macronie? Ce mercredi 1er juin, Le Parisien et le Canard enchaîné révèlent que la maire du 7e arrondissement de Paris, Rachida Dati , a signalé le 30 mai à la Procureure de Paris Laure Beccuau, en vertu de l’article 40 du Code de procédure pénale, des accusations de harcèlement moral et sexuel visant le député LREM Gilles Le Gendre .

    Après que son entourage a dénoncé dans le quotidien une “pure calomnie”, le député annonce déposer plainte pour dénonciation calomnieuse.

    L’ancienne ministre de la Justice appuie son courrier sur un article de Mediapart relayant des accusations ayant circulé en interne, du temps où l’intéressé briguait la présidence du groupe LREM à l’Assemblée (courant 2019), et selon lesquelles il aurait eu un comportement inapproprié à l’égard d’une collaboratrice.

    Pourquoi Dati a saisi la justice

    Autre source qui motive le courrier de Rachida Dati, un texte publié sur Facebook par le controversé député des Français de l’étranger Joachim Son Forget (passé de LREM à Reconquête!). Dans ce billet publié le 28 mai, l’élu habitué aux polémiques ne s’embarrasse pas de conditionnel.

    “La vérité doit enfin éclater. Elle a été étouffée en donnant des postes à ceux qui devaient se taire et en changeant le chef de file des députés en marche.
    Je connais tous les détails. J’ai des noms et des témoins. Aucun journaliste n’a repris mes déclarations dans la presse écrite à chaque fois que j’ai tenté de le dénoncer”, écrit le député.

    Dans son courrier à la procureure de Paris, Rachida Dati estime que “cet état de fait interroge sur la non-dénonciation de délit de la part du groupe dont Gilles Le Gendre était le président et dont il avait connaissance - voire de crimes si les limites du harcèlement avaient été franchies”. Raison pour laquelle elle considère que ces mises en cause “paraissent devoir justifier d’une enquête tout particulièrement au vu de la gravité des faits, de la qualité de leurs auteurs présumés et de l’enceinte institutionnelle où ils se seraient produits”.

    Quand Le Gendre évoquait “un épisode lamentable”

    Dans un communiqué diffusé ce mercredi, Gilles Le Gendre accuse l’élue parisienne de relancer “la rumeur ayant servi à une manipulation grossière pour tenter d’empêcher [son] élection à la tête du groupe La République en Marche en septembre 2018”. Des rumeurs qui “ont fait l’objet des vérifications nécessaires”, selon le député de Paris, qui rappelle n’avoir fait l’objet d’aucune accusation formelle ni d’aucune plainte.

    “Peu après mon élection, j’ai choisi de clore cet épisode lamentable en l’évoquant publiquement devant mes collègues, en toute transparence. Un an plus tard, ceux-ci m’accordaient à nouveau leur confiance”, poursuit Gilles Le Gendre, qui voit dans les motivations “de cette témoin de moralité auto-proclamée” (Rachida Dati, NDLR ) une volonté de le déstabiliser en vue des élections législatives, l’ancien journaliste étant candidat à sa réélection dans la circonscription comptant le 7e arrondissement de Paris.

    “Dès lors que cette mise en cause devient publique et prend un tour politique manifeste, j’ai demandé à mon avocat d’engager des poursuites pour dénonciation calomnieuse contre celles et ceux qui y auront pris part”, prévient Gilles Le Gendre, affirmant que “nos concitoyens méritent mieux que cette campagne de caniveau”.

    “Je sais que c’est remonté très haut dans la Macronie”, confiait en septembre 2019 au HuffPost un collaborateur bien informé, précisant que cet embryon de signalement avait ”été pris au sérieux”. Sans pour autant que des suites soient données ou des procédures lancées.

    À voir également sur Le HuffPost: Abad, Darmanin... La colère féministe contre le “gouvernement de la honte”

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      Hoshi interpelle Élisabeth Borne, deux ans après sa plainte pour harcèlement lesbophobe

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 27 May, 2022 - 10:29 · 2 minutes

    Hoshi, ici aux Victoires de la musique, en février 2022. Hoshi, ici aux Victoires de la musique, en février 2022.

    HARCÈLEMENT - Ça ne peut plus durer. Ce jeudi 26 mai, Hoshi a une nouvelle fois pris la parole sur Twitter pour dénoncer le harcèlement lesbophobe et les menaces de mort qu’elle reçoit sur les réseaux sociaux, interpellant par là même le gouvernement et sa responsable, Élisabeth Borne.

    “Je fais bonne figure. J’ignore. J’essaye d’être forte, mais voilà ce que je reçois encore fréquemment. La justice est lente, très lente”, écrit la chanteuse en légende d’une série de captures d’écrans des messages de haine qu’elle a reçus d’un utilisateur sur Instagram.

    Ce dernier est violent dans les mots et emploie à plusieurs reprises des émojis symbolisant des armes. “Je vis avec la peur quotidienne que l’un d’entre eux passe à l’acte. Comptez-vous agir?”, demande l’interprète de Ta marinière à Emmanuel Macron et sa Première ministre qu’elle a identifiés dans son message.

    Comme le signale Hoshi, le harcèlement dont elle est victime ne date pas d’hier. Il a en grande partie commencé après sa prestation lors des 35e Victoires de la musique en 2020, prestation au cours de laquelle elle a embrassé sur scène une danseuse après avoir interprété son morceau Amour censure qui dénonce l’homophobie et la Manif pour tous en France.

    “Cela fait 27 mois exactement”

    D’après le texte de sa plainte consulté par l’AFP et déposée auprès du parquet de Paris, cette prestation a “provoqué de violentes attaques sur les réseaux sociaux”, dénoncées par l’ex-secrétaire d’État au Numérique, Cédric O , comme par les associations Stop Homophobie ou Urgence Homophobie.

    “Ils ont retrouvé son adresse, menacé de la tuer, de faire du mal à sa famille et à ses fans. Il y a également eu des tentatives de piratage de ses comptes”, dénonçait l’agente de l’artiste.

    Ce jeudi, l’avocat d’Hoshi a lui aussi insisté sur l’urgence de la situation. “Cela fait très exactement 27 mois que nous avons déposé plainte”, précise Éric Morain. Les moyens d’investigation alloués à ce genre de demande sont, selon lui, “insuffisants” car ces infractions seraient considérées comme “secondaires”.

    Pour l’heure, Élisabeth Borne, ni aucun membre de son gouvernement, n’a encore pris la parole ou répondu publiquement aux messages d’Hoshi.

    À voir également sur Le HuffPost : Aux Victoires 2022, cette chanson d’Hoshi a bouleversé le public

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      Législatives 2022: les candidats LREM visés par la justice peu inquiétés dans leur parti

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 11 May, 2022 - 10:57 · 4 minutes

    POLITIQUE - Le devoir d’exemplarité s’applique surtout aux autres. C’est en tout cas ce qu’on pourrait retenir des réponses de certains candidats aux législatives. Interrogés par Le HuffPost sur les démêlés de leurs camarades (et parfois d’eux-mêmes) avec la justice , certains n’ont pas hésité à se contredire.

    Ce mardi 10 mai, c’était LA réunion que tous les candidats investis pour les législatives par La République en Marche ne pouvaient pas rater. Aux Docks d’Aubervilliers, chacun d’entre eux, novices ou députés sortants, a suivi une formation avant de partir en campagne pour les élections qui se dérouleront en juin 2022.

    Prise de photo “officielle” pour l’affiche de campagne, cours de communication médias donné par Christophe Castaner , actuellement président du groupe LREM à l’Assemblée Nationale, tout était prévu pour aider les (futurs?) députés à entamer sereinement leur campagne.

    Ce que certains n’avaient pas prévu en revanche, c’est comment répondre aux questions sur les plaintes visant leurs camarades candidats alors même que le parti prône l’exemplarité depuis 2017.

    “Vous niez les faits qui vous sont reprochés?”

    En une de l’actualité les jours précédant la réunion LREM, Jérôme Peyrat . Il a été investi dans la 4e circonscription de Dordogne pour les législatives et ce malgré une condamnation en 2020 pour violences volontaires contre son ex-compagne. Le jour du grand raout LREM, nombreux étaient les journalistes à guetter Jérôme Peyrat dans l’espoir d’une interview, en vain: le candidat est resté introuvable.

    Il y aussi Sira Sylla, investie candidate en Seine-Maritime, qui ne s’est pas présentée à son audience aux prud’hommes pour préférer assister à la formation qui se déroule à Aubervilliers. La députée sortante est accusée par un ex-collaborateur de harcèlement moral. Là encore, la candidate s’est faite petite après une question à ce sujet de nos confrères de l’émission Quotidien sur TMC.

    Seules Laëtitia Avia et Anne-France Brunet, mises en cause dans des affaires de violences ou de harcèlement ont répondu à nos questions, toujours en niant les faits.

    Laëtitia Avia, réinvestie à Paris, est toujours visée par une enquête pour “harcèlement moral”. Des plaintes ont été déposées contre elle en 2020 comme l’avaient relaté nos confrères de BFMTV. Au micro du HuffPost , elle l’a pourtant nié comme vous pouvez le voir dans notre reportage vidéo en tête d’article.

    Anne-France Brunet, députée sortante de la 3e circonscription de Loire-Atlantique et candidate à sa réélection, dément aussi les faits qui lui sont reprochés, dénonçant une manœuvre politique en pleine période électorale. Une ancienne collaboratrice a indiqué que la députée lui avait ”écrasé le pied” en plus d’un harcèlement moral quotidien.

    Chez LREM, pas de problème (ou presque)

    Quand on demande si l’exemplarité est une condition indispensable au travail d’un député, difficile de répondre non. Pourtant c’est l’exercice délicat auquel ont dû se livrer certains candidats ou députés que Le HuffPost a interrogés.

    Anne-Colette Prost, primo-candidate jurassienne a comparé la situation chez LREM à celle des Républicains. “Je ne vois de pas qui vous parlez”. À l’évocation des noms de Laëtitia Avia ou Jérôme Peyrat, Anne-Colette Prost précise: ”Ça reste quand même marginal à ceux qui ont largement puisé dans les caisses”; et à la question: ”Ça ne vous pose pas de problème?”, la candidate du Jura conclut: “Non.”

    L’omerta sur le sujet est telle qu’il est difficile pour les personnes interrogées de répondre sincèrement. Laurent Pietraszewski, secrétaire d’État chargé de la santé au travail et candidat aux législatives dans le Nord souligne: “C’est aux différentes instances de décider. Il y a notamment le conseil des prud’hommes qui peut être saisi. On peut ensuite prendre en compte le retour de ces différentes juridictions.” Auquel cas, il y aurait sanction? Personne ne prend le risque de trancher.

    Un peu plus loin, une candidate préférant rester anonyme a confié au HuffPost : “Je voudrais qu’ils ne soient pas investis, évidemment. Personne ne le veut. Mais je ne peux pas le dire devant votre micro.” - “Sinon ils vous retireraient l’investiture?” - “Peut-être oui...”.

    À voir également sur Le HuffPost : Le naufrage de cette candidate RN aux législatives n’est pas passé inaperçu

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      Mathias Poujol-Rost ✅ · Monday, 21 March, 2022 - 07:17 edit

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      Mathias Poujol-Rost ✅ · Saturday, 4 December, 2021 - 10:54

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    Maddie Groves, nageuse australienne, dénonce le harcèlement dans le milieu sportif et renonce aux JO
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      « [...] la France, la Pologne, la Turquie et l’Ukraine comptent pour leur part le plus grand nombre de cas d’intimidation et de harcèlement de journalistes. »

      Mathias Poujol-Rost ✅ · Wednesday, 28 April, 2021 - 20:54 edit

    https://upload.movim.eu/files/932f3ec89d91ccc293caf66588c2f8baec5cb7d5/RTBoTYbtngzu/Capture_d_%C3%A9cran_2021-04-28_22-53-35.png

    Source : Rapport annuel des organisations partenaires de la Plateforme du Conseil de l’Europe pour renforcer la protection du journalisme et la sécurité des journalistes (« Liberté des médias en Europe : des actions concrètes s’imposent ! »), Conseil de l'Europe, mai 2021, page 22 (n°21).

    https://www.coe.int/en/web/media-freedom/annual-report-2021

    #menace #harcèlement #intimidation #journalisme