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      WinBtrfs – Un driver pour explorer le système de fichiers Linux Btrfs sous Windows

      news.movim.eu / Korben · 2 days ago - 07:00 · 1 minute

    Vous connaissez Btrfs , le système de fichiers à la mode sous Linux ? Et bah figurez-vous qu’on peut maintenant y accéder direct depuis Windows grâce à un ce soft open source qui s’appelle WinBtrfs !

    Il s’agit d’un driver pour Windows qui permet de monter des partitions Btrfs en lecture ET en écriture. Ça veut dire que vous pouvez explorer vos disques Btrfs, copier des fichiers dessus, en supprimer, bref faire tout ce que vous feriez avec une partition Windows classique.

    Et le truc cool, c’est que ça supporte un max de fonctionnalités avancées de Btrfs, comme :

    • Les subvolumes et les snapshots
    • La compression (zlib, LZO, zstd)
    • Les RAID (RAID0, RAID1, RAID10, RAID5, RAID6)
    • La déduplication
    • Le chiffrement
    • Et plein d’autres trucs de ouf que j’ai la flemme de lister

    Les mecs qui ont codé ça ont tout fait from scratch, y’a pas une ligne de code du kernel Linux, du coup, c’est propre, ça marche nickel, c’est stable. Un vrai projet de passionné !

    Et en plus c’est hyper simple à installer ! Vous choppez la dernière release sur le GitHub du projet, vous installez et pouf, ça marche direct ! Bon après faut quand même faire gaffe hein, on parle de bidouiller ses partitions donc toujours avoir des sauvegardes au cas où. Mais globalement, si vous savez ce que vous faites, y’a pas de raison que ça foire.

    Comme ça, plus besoin de se prendre la tête avec des histoires de partages réseaux pourris, suffit de monter le disque et hop, vous avez accès à tous vos fichiers comme si c’était du local. Et avec la compression et la déduplication en plus, ça vous fait gagner un max de place !

    En tout cas, si vous voulez tester et que vous avez des partitions Btrfs qui traînent, je vous encourage vivement à installer WinBtrfs et à jouer avec. C’est vraiment un outil pratique !

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      Imperfect, Linux-powered, DIY smart TV is the embodiment of ad fatigue

      news.movim.eu / ArsTechnica · 5 days ago - 21:10 · 1 minute

    earlgreytv DIY smart TV homescreen

    Enlarge (credit: Carl the Person/YouTube )

    Smart TV owners have been subjected to a growing amount of ads and tracking. Ad fatigue, only worsened by a trend that sees streaming providers trying to force customers into subscriptions with commercials , is understandable. We’re at the point where someone would rather use a broken laptop dangling off a TV than be subjected to the watchful eye of the TV's native operating system.

    Earlier this month, as spotted by Tom’s Hardware , a blogger named Carl Riis, who says he’s a software engineer, shared his DIY project, a Linux-based “smart TV.” Riis’ project doesn’t stand out because it’s the most unique, clever, or clean. In fact, if you’re the type of person willing to pay a lot for TVs with strong aesthetic appeal, like TVs that can look like artwork or appear transparent , you’ll be put off by the EarlGreyTV. The system uses an old Lenovo laptop that has a broken keyboard and is attached to a TV by a string. As Riis wrote: “This may look a little insane, but it has been a great way to keep things neat while retaining access to the laptop."

    The laptop is broken because Riis spilled tea onto the keyboard years ago. The keyboard stopped working, making it hard to turn the laptop on and off. “I have to short two specific pins where the keyboard connects to the motherboard. For this reason, I have the back removed, which probably also helps it run less hot,” Riis wrote.

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      The next Nvidia driver makes even more GPUs “open,” in a specific, quirky way

      news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 18 July - 17:34

    GeForce RTX 4060 cards on display in a case

    Enlarge (credit: Getty Images)

    You have to read the headline on Nvidia's latest GPU announcement slowly, parsing each clause as it arrives.

    "Nvidia transitions fully" sounds like real commitment, a burn-the-boats call. "Towards open-source GPU," yes, evoking the company's "first step" announcement a little over two years ago , so this must be progress, right? But, back up a word here, then finish: "GPU kernel modules."

    So, Nvidia has "achieved equivalent or better application performance with our open-source GPU kernel modules," and added some new capabilities to them. And now most of Nvidia's modern GPUs will default to using open source GPU kernel modules, starting with driver release R560, with dual GPL and MIT licensing. But Nvidia has moved most of its proprietary functions into a proprietary, closed-source firmware blob. The parts of Nvidia's GPUs that interact with the broader Linux system are open, but the user-space drivers and firmware are none of your or the OSS community's business.

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      Arx – L’outil d’archivage qui surpasse Tar

      news.movim.eu / Korben · Tuesday, 16 July - 07:00 · 2 minutes

    Vous utilisez Tar pour archiver vos fichiers et dossiers et vous trouvez ça un peu lent ? Alors ça tombe bien puisqu’aujourd’hui, je vous présente Arx. C’est un outil d’archivage nouvelle génération développé par le talentueux Jubako , qui va vous bluffer par ses performances et ses fonctionnalités.

    Arx met la vitesse au cœur de son fonctionnement grâce à son algorithme hyper optimisé, ce qui lui permet de traiter vos fichiers à une vitesse fulgurante, laissant tar sur place. Par exemple, pour accéder à un fichier individuel dans une archive contenant l’intégralité du code source de Linux, Arx est jusqu’à 5 692 fois plus rapide que tar ! Plus l’archive est volumineuse, plus l’écart se creuse.

    Mais la rapidité n’est pas le seul atout d’Arx puisqu’il offre également un accès aléatoire direct aux fichiers archivés. Cela permet de récupérer n’importe quel fichier de votre archive en un clin d’œil, sans avoir à la décompresser entièrement. C’est moins de temps perdu à naviguer dans des archives monolithiques. Et comme le temps c’est de l’argent, vous serez rapidement riche ^^.

    Les commandes sont simples à capter, vous permettant de créer, mettre à jour et extraire vos archives sans avoir besoin de vous prendre la tête avec des options obscures. D’ailleurs, Arx regorge de petites astuces qui vont vous faire gagner un temps précieux comme pouvoir ajouter des fichiers à une archive existante sans avoir à la recréer entièrement ou encore, extraire seulement les fichiers modifiés depuis le dernier archivage.

    L’outil est également également économe en ressources puisqu’il permet d’obtenir des archives compactes sans compromis sur la qualité. C’est votre disque dur qui vous remerciera et vous pourrez en stocker encore plus !!

    Si ça vous branche de le tester, c’est dispo sur Github ici ou vous pouvez l’installer avec Cargo (oui c’est du Rust) :

    cargo install arx

    Ensuite, pour commencer à créer une archive, lancez la commande suivante :

    arx create -o mon_archive.arx -r mon_repertoire

    Cela génèrera un fichier mon_archive.arx contenant le répertoire mon_repertoire .

    Pour extraire (décompresser) une archive, utilisez la commande :

    arx extract mon_archive.arx -C mon_repertoire_de_sortie

    Et si vous souhaitez lister le contenu (la liste des fichiers) de l’archive, lancez :

    arx list mon_archive.arx

    Pour accéder au contenu d’un seul fichier, vous pouvez également utiliser les commandes suivantes :

    arx dump mon_archive.arx mon_repertoire/chemin/vers/mon_fichier > mon_fichier
    # ou
    arx dump mon_archive.arx mon_repertoire/chemin/vers/mon_fichier -o mon_fichier

    Si vous êtes sous Linux, vous avez aussi la possibilité de monter l’archive en utilisant fuse :

    mkdir point_de_montage
    arx mount mon_archive.arx point_de_montage

    Notez que arx sera en cours d’exécution jusqu’à ce que vous démontiez point_de_montage .

    Et pour convertir un zip en une archive arx, utilisez la commande :

    zip2arx -o mon_archive.arx mon_archive_zip.zip

    De même, pour convertir une archive tar en une archive arx, lancez :

    tar2arx -o mon_archive.arx mon_archive_tar.tar.gz

    Voilà, vous savez tout !

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      rEFInd – Le gestionnaire EFI / UEFI qui boote tous vos OS avec classe

      news.movim.eu / Korben · Thursday, 4 July - 07:00 · 2 minutes

    Vous en avez marre de GRUB et ses limitations ? Vous rêvez de pouvoir booter facilement Windows , Linux et macOS sur la même machine en EFI ou UEFI ? Ne cherchez plus, rEFInd est là pour révolutionner votre expérience de démarrage !

    Développé comme un fork de rEFIt, rEFInd pousse encore plus loin les possibilités de boot. Cet outil détecte automatiquement tous les systèmes d’exploitation installés sur votre ordinateur comme ça, fini le temps perdu à configurer manuellement chaque entrée ! Le plus dingue avec rEFInd, c’est qu’il peut même lancer directement des noyaux Linux sans passer par un bootloader intermédiaire. Ça simplifie énormément la configuration. Et pour les nostalgiques du bon vieux BIOS , pas de panique : rEFInd gère aussi le boot des OS en mode legacy via le CSM . Bref, c’est vraiment un outil très pratique pour gérer un multiboot sur les cartes mères modernes.

    En plus d’être hyper pratique, rEFInd en jette grave avec ses thèmes graphiques . Ainsi, vous pouvez complètement personnaliser le look de votre menu de boot. Mettez une image de fond stylée, changez les icônes, ajoutez une bannière… Faites-vous plaisir ! C’est tellement plus agréable qu’un écran noir avec trois lignes de texte.

    Mais rEFInd, ce n’est pas qu’une question d’esthétique. C’est aussi bourré d’options de configuration avancées pour les power users qui permettent de définir des paramètres de boot par défaut, modifier à la volée les options passées aux OS, activer le support des pilotes EFI, et bien plus encore. Tout se fait via un fichier texte hyper simple à comprendre.

    Pour installer rEFInd, c’est facile : Téléchargez la dernière version sur le site officiel , décompressez l’archive et lancez le script d’installation. En quelques secondes, c’est prêt ! Le programme s’installe sur la partition EFI et prendra la main au démarrage suivant.

    Maintenant, si vous voulez vraiment assurer niveau sécurité, vous pouvez même configurer rEFInd pour fonctionner avec Secure Boot . Il suffit de le signer numériquement avec votre propre clé, comme ça, vous serez certain que personne ne pourra modifier votre configuration de boot.

    Ça facilite tellement la vie au quotidien et en plus ça en jette visuellement, alors pourquoi vous priver ?

    Plus d’infos sur le site de rEFInd.

    Cambiare il comportamento del tasto ALT. Subito.

    Di default, Linux Mint (e, immagino, anche altre distro) gli assegna il potere di trascinare la finestra in giro per il desktop, con la pressione associata del click sinistro; ebbene, qualcuno in alto ha deciso che, statisticamente, sia più frequente che usare il modificatore ALT assieme al mouse.

    “Eh, di sicuro sarà un problema solo tuo: starai usando Windows in una VM o una robaccia, sempre di Windows, (non)emulata in Wine”.

    No. Anche con Blender: provate a selezionare un edge loop con ALT+LMB, poi sappiatemi dire.

    Quindi, per evitare di impazzire, ecco la procedura in Mint Cinnamon, non so altrove:

    Tasto super, cercare finestre, andare in comportamento e, in tasto speciale di spostamento e ridimensionamento finestre, impostare SUPER.

    Altre piccole modifiche per semplificare le operazioni quotidiane:

    Disabilitare raggruppamento finestre

    Tasto super, cercare applet, elenco finestre raggruppate, disabilitare raggruppa finestre per applicazione.


    Assegnare scorciatoia ctrl-shift-esc a monitor di sistema

    Menu tastiera - scorciatoie aggiungere personalizzata:
    Nome: Monitor di sistema
    Comando: gnome-system-monitor

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      18 ans plus tard, une faille désastreuse pour Linux fait son retour

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 2 July - 10:14

    Regresshion

    Une vulnérabilité corrigée en 2006, il y a dix-huit ans, a fait son retour, avec un nouveau surnom : RegreSSHion. Elle a été introduite en 2020 lors d'une mauvaise manipulation du code d'OpenSSH. Sa présence n'a été repérée que tout récemment.

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      Graftcp – Un petit tool capable de proxifier n’importe quel programme

      news.movim.eu / Korben · Tuesday, 2 July - 07:00 · 2 minutes

    Voici un outil bien pratique pour faire passer vos connexions TCP par un proxy SOCKS5 ou HTTP. Ça s’appelle graftcp et grâce à lui, vous pouvez dire adieu à vos galères pour proxifier certains outils.

    Comparé à des solutions comme tsocks , proxychains ou proxychains-ng , graftcp n’utilise pas la méthode LD_PRELOAD qui ne fonctionne que pour les programmes liés dynamiquement. Par exemple, les applications construites avec Go ne peuvent pas être « accrochées » par proxychains-ng. Alors que Graftcp, lui, peut suivre et modifier les connexions de n’importe quel programme , ce qui le rend très versatile.

    Pour l’essayer, c’est fastoche. Sur Linux, compilez graftcp et graftcp-local avec Go ou téléchargez directement les binaires Debian ou Arch .

    Voici comment faire :

    1. Clonez le dépôt : git clone https://github.com/hmgle/graftcp.git cd graftcp make
    2. Après compilation, utilisez les binaires résultants dans local/graftcp-local et graftcp . Vous pouvez aussi les installer dans le système :
      sudo make install
      sudo make install_systemd
      sudo make enable_systemd
    3. Lancez graftcp-local avec l’adresse de votre proxy SOCKS5, genre 127.0.0.1:1080.
      Par exemple : local/graftcp-local -socks5 127.0.0.1:1080
    4. Utilisez ensuite graftcp pour encapsuler vos programmes afin qu’ils passent par le proxy sans broncher. Exemple pour installer un package Go : ./graftcp go get -v golang.org/x/net/proxy

    Ou pour surfer pépouze avec Chromium ou Firefox : ./graftcp chromium-browser

    Même votre shell préféré peut surfer incognito si vous le lancez avec graftcp :
    ./graftcp bash
    wget https://www.google.com

    Sous le capot, Graftcp fork et trace le programme avec ptrace. À chaque appel connect, il attrape l’adresse de destination et la transmet par pipe à graftcp-local. Ensuite, il la modifie pour pointer vers graftcp-local avant de relancer le syscall. L’appli croit alors qu’elle cause à sa destination mais en fait, elle parle à graftcp-local qui se charge de tunneler le trafic dans le proxy SOCKS. Malin non ?

    Evidemment, vous pouvez personnaliser le comportement de graftcp en utilisant divers paramètres, comme spécifier des fichiers de configuration pour gérer une liste noire d’IPs (blacklist) ou une liste blanche (whitelist). Par défaut, localhost passe en direct :

    $ graftcp -h Usage: graftcp [options] prog [prog-args] Options: -c --conf-file=<path> -a --local-addr=<IP> -p --local-port=<port> -n --not-ignore-local -b --blackip-file=<path> -w --whiteip-file=<path> -V --version -h --help

    Pour plus de détail et options, consultez GitHub .

    Notez que Graftcp est limité au TCP… pas d’UDP donc. Pour le DNS, il faudra donc passer par un proxy dédié comme ChinaDNS ou dnscrypt-proxy . Pour les performances, bien que les chiffres précis varient en fonction des configurations, graftcp est assez connu pour offrir une alternative robuste aux solutions comme proxychains.

    Bref, c’est un outil polyvalent pour la proxification puisqu’il est léger, compatible avec tout et surtout facile à utiliser…

    Source

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      Appunti Linux: il monitor di sistema #linux

      Arcano · Saturday, 29 June - 14:38 edit · 1 minute

    Processi e applicazioni che non rispondono

    Su Windows capita, più o meno spesso, di dover chiudere programmi o processi bloccati o divenuti instabili: nonostante abbia deciso di stare il più lontano possibile da qualunque cosa abbia a che fare con Microsoft, la mia esperienza con le ultime versioni dei sistemi operativi (7 e 10) non è stata traumatica come si legge in giro.

    Sono proprio le schermate blu, i freeze di sistema, problemi con driver e software le armi brandite dagli utenti Linux/Mac per convincere gli utenti Windows a fare il grande salto: personalmente, credo di aver visto l'ultima schermata blu anni e anni fa.

    Più frequenti, invece, problemi limitati a singole applicazioni: l'ultima chance, di solito funzionante, prima del riavvio, è invocare il task manager per la chiusura forzata, con la classica scorciatoia ctrl+alt+esc, oppure da menu col tasto destro sulla barra delle applicazioni. Identifichiamo il processo difettoso e lo chiudiamo; quando tutto va male, resta il riavvio.

    Per Linux, Monitor di sistema

    Così si chiama lo strumento equivalente nel mondo GNU/Linux]; il fastidio, almeno in Mint (la distro che uso, derivata da Ubuntu), è che non esiste, di default, una scorciatoia e bisogna lanciarlo da menu, quindi tasto super e monitor di sistema.
    Tuttavia, possiamo creare manualmente una scorciatoia: sempre dal menu aperto col click o col tasto super, cerchiamo tastiera e nella sezione Scorciatoie troviamo Aggiungi scorciatoia personalizzata.

    I valori da inserire sono:
    Nome: Monitor di sistema (ma potete anche usare Task Manager o quel che vi pare)
    Comando: gnome-system-monitor

    Fatto ciò, potremo accedere a uno strumento analogo al Task Manager con la stessa scorciatoia di Windows.