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      Ce que la musique peut faire pour contrer les effets de la maladie de Parkinson

      news.movim.eu / Numerama · Wednesday, 14 June, 2023 - 06:15

    senior personne âgée vieux

    Les rythmes musicaux n'enthousiasment pas seulement notre cerveau. Ils peuvent aussi avoir un rôle face à la maladie de Parkinson. [Lire la suite]

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      Elle ne ressent jamais la douleur : voilà ce que révèle l’ADN de cette femme

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 1 June, 2023 - 09:35

    Jo Cameron, 75 ans, n'a jamais ressenti la douleur de sa vie, ni même la peur. En cause, la mutation d'un gène en particulier, sur laquelle une équipe scientifique s'est penchée en espérant trouver des solutions pour cette maladie rare. [Lire la suite]

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      À partir de quand tousse-t-on depuis trop longtemps ?

      news.movim.eu / Numerama · Monday, 20 February, 2023 - 06:35

    Même si vous êtes guéris d'une infection respiratoire (grippe, bronchiolote, covid-19...), votre toux peut perdurer des semaines, voire des mois. Le professeur en médecine Kyle B. Enfield explique dans The Conversation pourquoi cela dure si longtemps. [Lire la suite]

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      La variole du singe est renommée mpox : pourquoi ce choix de l’OMS ?

      news.movim.eu / Numerama · Tuesday, 29 November, 2022 - 10:25

    variole du singe monkeypox

    Le variole du singe s'appelle désormais mpox, après plusieurs consultations de l'Organisation mondiale de la Santé pour changer le terme initial -- qui posait plusieurs problèmes. [Lire la suite]

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      Comment attrape-t-on un rhume ?

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 6 October, 2022 - 15:25

    Avec l'automne, c'est le retour des reniflements et nez coulants. Pourquoi semble-t-on attraper un rhume, ou « attraper froid », à cette période de l'année ? Vos éternuements ne viennent pas des températures plus basses : il y a d'autres explications. [Lire la suite]

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      Contre la variole du singe, la piste prometteuse d’un « vieux » vaccin antivariolique

      news.movim.eu / Numerama · Saturday, 13 August, 2022 - 13:58

    variole du singe monkeypox

    Pour faire face à la variole du singe, qui se diffuse dans le monde, un vaccin antivariolique bien connu, le MVA-Imvanex, offre des perspectives encourageantes. [Lire la suite]

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      Face à la variole du singe, l'OMS conseille de réduire le nombre de vos partenaires sexuels

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 27 July, 2022 - 18:33 · 3 minutes

    Face à la variole du singe, l'OMS conseille de réduire le nombre de vos partenaires sexuels. Face à la variole du singe, l'OMS conseille de réduire le nombre de vos partenaires sexuels.

    SANTÉ - En attendant de pouvoir vacciner l’ensemble des personnes à risque face à la variole du singe , l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a clairement conseillé, ce mercredi 27 juillet, au groupe le plus touché par la maladie - les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes - de réduire le nombre de partenaires sexuels.

    La maladie n’est pas en l’état actuel des connaissances considérée comme une maladie sexuellement transmissible et tout le monde peut la contracter. Le contact peau à peau direct mais aussi les draps ou vêtements infectés sont des vecteurs de transmission de la maladie . Mais dans la vague actuelle, dont l’Europe est l’épicentre, une large majorité des malades sont des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, relativement jeunes, vivant essentiellement en ville, selon l’OMS.

    Plus de 18.000 cas de variole du singe détectés dans le monde

    “Pour les hommes qui ont des relations sexuelles avec des hommes, cela veut aussi dire, pour le moment réduire le nombre de vos partenaires sexuels et échanger des informations avec tout nouveau partenaire pour être en mesure de les contacter” en cas d’apparition de symptômes, pour qu’ils puissent s’isoler, a expliqué le directeur général de l’OMS, le Dr. Tedros Adhanom Ghebreyesus lors d’un point presse à Genève.

    Samedi, il a déclenché le plus haut niveau d’alerte de son organisation pour tenter de juguler la maladie. Plus de 18.000 cas de variole du singe ont été détectés dans le monde depuis le début du mois de mai en-dehors des zones endémiques en Afrique. La maladie a été signalée dans 78 pays jusque-là et 70% des cas sont concentrés en Europe et 25% dans les Amériques, a précisé, le patron de l’OMS.

    Cinq personnes sont mortes de la maladie -toutes en Afrique- et environ 10% des cas nécessitent une admission à l’hôpital pour tenter d’atténuer la douleur que connaissent les patients.

    Une recommandation peu efficace sur une longue durée

    “Ce message de réduction du nombre de partenaires vient des communautés elles-mêmes”, a expliqué Andy Seale, qui à l’OMS est chargé de faire passer le message auprès de la population qui est aujourd’hui presque exclusivement touchée: celle des hommes plutôt jeunes qui ont des relations sexuelles avec des hommes, et en particulier ceux qui multiplient le nombre de partenaires.

    Andy Seale reconnaît que ce type de recommandation ne peut pas être efficace sur une longue durée et aussi qu’il doit s’accompagner d’informations précises sur les symptômes, de tests et d’un accès facile à un médecin en cas de doute pour s’isoler au plus vite.

    Pour l’instant, l’OMS souligne qu’il n’y a pas de vaccins pour tout le monde et recommande donc de donner la priorité à ceux qui sont le plus à risque, ceux qui sont malades et ceux qui les soignent ou font de la recherche. “Il est important de souligner que la vaccination ne protège pas instantanément contre l’infection ou la maladie et cela peut prendre plusieurs semaines ”, a mis en garde le Dr. Tedros. Une fois vacciné il faut donc continuer à prendre des précautions.

    Éviter les erreurs de gestion du Covid

    La vaccination s’effectue avec deux doses, espacées d’au moins 28 jours. Pour les personnes vaccinées contre la variole dans leur enfance, une dose suffit. Pour les immunodéprimés une troisième dose est conseillée.

    Quand à la disponibilité des doses du vaccin du laboratoire danois Bavarian Nordic, elle n’est pas immédiate, selon le chef de l’OMS. La plupart des 16 millions de doses sont en vrac et il faudra “plusieurs mois” pour qu’elles soient disponibles dans des fioles prêtes à l’usage. Deux autres vaccins LC16 et ACAM2000 sont aussi à l’étude.

    L’organisation souligne qu’il serait bon d’éviter les erreurs commises dans la gestion de la pandémie de Covid-19, quand les pays riches se sont accaparé quasiment tous les vaccins disponibles pendant de long mois, et de partager équitablement les doses disponibles.

    À voir également sur Le HuffPost: Variole du singe : pourquoi la communauté gay s’inquiète

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      Variole du singe: après l'alerte de l'OMS, les erreurs du Covid vont-elles se répéter?

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 27 July, 2022 - 08:43 · 7 minutes

    Emmanuel Macron et Agnès Buzyn, alors Ministre de la Santé, le 21 septembre 2019. Emmanuel Macron et Agnès Buzyn, alors Ministre de la Santé, le 21 septembre 2019.

    ÉPIDEMIE - La variole du singe est une “urgence de santé publique de portée internationale”: l e communiqué de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), samedi 23 juillet, a dû rappeler des mauvais souvenirs à plus d’un. Il y a deux ans et demi, à la fin du mois de janvier 2020, l’organisation établissait le même niveau d’alerte , le plus élevé à son baromètre, en face de la menace de 2019-ncov.

    Depuis devenu SARS-CoV-2, le virus a fait les ravages que l’on sait, sans que la tempête ne soit définitivement calmée. Si depuis l’irruption de la pandémie, des politiques de santé drastiques ont eu lieu, les critiques n’ont pas manqué, en particulier dans la gestion des premiers mois de la pandémie. La variole du singe , dont la menace prend de l’ampleur depuis plusieurs semaines, est forcément l’occasion de commettre - ou non - ces errements à nouveau.

    La variole n’est pas le Covid

    Si le niveau d’alerte est similaire selon la classification de l’OMS, les deux maladies ont bien peu en commun, ce qui limite d’emblée certains parallèles. “ Le monkeypox ne se présente pas comme le Covid-19″, résume ainsi l’épidémiologiste Antoine Flahault pour le HuffPost . À la différence de SARS-CoV-2, “le virus n’a pas émergé récemment, c’était une maladie tropicale certes négligée, mais connue chez l’homme depuis 1970”.

    Le mode de transmission , là encore, n’a rien à voir avec le coronavirus: ” Il ne se transmet pas ou peu par aérosol mais essentiellement par contact avec la peau malade et peut-être par voie sexuelle”, indique le spécialiste, et cela fait une sacrée différence dans la menace qu’il représente pour l’ensemble de la population.

    Enfin, n’oublions pas que la gravité de la maladie n’a rien à voir avec le Covid. Le taux de létalité de la variole simienne se situe entre 0 et 10% selon les cas périodes épidémiques... Et en l’absence de tout traitement antiviral. Un médicament existe, tout comme un vaccin. Pourquoi alors s’inquiéter d’un bis repetita des pouvoirs publics? Parce que le suivi d’une épidémie, même très différente, peut échouer sur les mêmes points.

    Communiquer mieux...mais discrètement

    La première des erreurs serait un retard à l’allumage. Les cafouillages du gouvernement durant l’hiver 2020 ont laissé de mauvais souvenirs à certains, une impression qui a largement dépassé les frontières nationales. “L es gouvernements européens mais aussi américains, dans leur ensemble, ont perdu presque un mois dans le cas du Covid-19″, après l’alerte lancée par l’OMS fin janvier, explique ainsi Antoine Flahault.

    Pendant longtemps, l’espoir que l’épidémie ne sortirait pas des frontières chinoises, puis asiatiques, a maintenu les autorités hexagonales dans un silence rapidement intenable. Face à la variole du singe, pas question de commettre le même impair: depuis la fin du mois de mai et les premiers cas avérés en France, le ministère de la Santé a précisé quels symptômes devaient alerter, et que faire en cas de suspicion de maladie. Sans pour autant montrer du doigt les populations à risque.

    Extrait d'une affiche de prévention contre le monkeypox Extrait d'une affiche de prévention contre le monkeypox

    “Il est important de faire attention”, explique Christophe Batéjat, responsable adjoint de la Cellule d’Intervention Biologique d’Urgence (CIBU) à l’Institut Pasteur. “Il y a une volonté de ne pas stigmatiser” une communauté en particulier. Depuis le début de l’épidémie, les homosexuels sont en effet touchés de manière disproportionnée par la maladie.

    Sur près de 400 malades en Île-de-France début juillet, moins d’une dizaine étaient des personnes hétérosexuelles. Parler de la maladie est donc un exercice subtil, où sensibiliser sans stigmatiser est tout l’enjeu. En clair, communiquer à bas bruit, mais montrer que l’on est prêt au pire. Le pire? Une explosion du nombre de cas, face à des stocks de vaccins (très) limités.

    Les stocks toujours en flux tendus

    On l’a dit, la réaction face à la montée du nombre de cas n’a pas souffert de retard dans le cas de la variole du singe. La France a augmenté, depuis le mois de mai, le nombre de vaccins disponibles, qui dépasse aujourd’hui les 30.000 doses, administrables dans plus d’une centaine de centres de vaccination. Sachant qu’il faut deux injections, cela correspond à 15.000 personnes protégées.

    Au regard des chiffres du Covid, c’est bien sûr très peu. Mais si l’on parle ici de vacciner une partie de la population à risque, c’est-à-dire les individus ayant eu un contact physique avec un malade, ou à moins de 2 mètres et pendant 3 heures cumulées sur une période de 24 heures .

    Depuis le mois de juillet, les personnes éligibles à la vaccination sont également tous les profils ”à risque”, c’est-à-dire les personnes les plus exposées: les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les personnes trans qui sont multipartenaires, les personnes en situation de prostitution, les professionnels exerçant dans les lieux de consommation sexuelle.

    Les stocks sont-ils alors “largement” suffisants, comme l’annonce le Ministre de la Santé, François Braun? Avec cette extension, le tableau n’est plus le même. Les associations dénoncent des créneaux de vaccinations insuffisants , les professionnels de Santé réclament plus de bras pour vacciner, et des élus estiment le nombre de vaccins disponibles tout à fait insuffisant.

    À l’opposé du discours rassurant, le système mis en place semble en effet déjà toucher à ses limites. L’association Act Up estime ainsi que le nombre de personnes à risque atteint les 300.000 personnes, bien au-delà des capacités de vaccination. Malgré un activisme affiché, la réponse apportée serait alors largement sous-dimensionnée. Et les mauvais souvenirs de la gestion du Covid ne sont tout d’un coup guère loin.

    L’exigence d’une politique de tests ambitieuse

    La capacité à contenir la crise reste ce qui fera, ou non, une différence dans la comparaison avec la pandémie de coronavirus. Car le Covid, c’est aussi -au moins début- l’échec patent des tests, puis du contact tracing mis en place pour pister les premiers malades en France mais devenu vite obsolète pour empêcher efficacement la propagation de la maladie.

    Dans le cas de la variole, la politique est celle, encore plus aléatoire, du contact warning: les malades doivent informer eux-mêmes les personnes contacts. Ensuite, il leur revient d’aller se faire tester gratuitement.

    Ici, les autorités sanitaires semblent avoir appris de leurs erreurs: en 2020, les premiers tests diagnostics étaient ainsi tous effectués par l’Institut Pasteur, provoquant un goulot d’étranglement. Ici, note Christophe Batéjat, on constate un net mieux: “il s ont tout de suite mis des laboratoires hospitaliers dans la boucle”, ce qui a permis d’éviter l’engorgement.

    Mais il faudra faire plus pour contrôler l’évolution d’une maladie qui pour l’instant ne fait que s’étendre. Au 21 juillet, on comptait 1567 cas confirmés en France, et plus de 16.000 cas recensés dans le monde. Garder la trace des personnes infectées et des cas contacts est primordial, avant que trop de malades ne provoquent une pénurie de tests ou de vaccins.

    La solution pour ne pas laisser filer l’infection? “Se concentrer sur les populations à risque et faire des tests à grande échelle”, décrypte Patrick Pintus, Directeur scientifique au CNRS-INSHS. À la différence du Covid, où la maladie s’est rapidement étendue au-delà de groupes identifiables, la variole reste pour l’instant largement contenue à des profils d’âges et de sexualités.

    C’est une opportunité à saisir avec une politique de tests ambitieuse, allant au-delà de l’auto-diagnostic pour l’instant conseillé par les autorités sanitaires. “ Si on pense avoir cerné des populations à risque, ça veut dire qu’il faut concentrer ses efforts de tests sur ces populations. “Mais ça n’est pas évident”, conclut le spécialiste: “On sait bien qu’il y a des questions, notamment éthiques, associées à ça”.

    À voir également sur Le HuffPost: Variole du singe : pourquoi la communauté gay s’inquiète