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      Médicaments : pourquoi c’est important de les prendre au bon moment

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 15 December, 2022 - 08:00

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    Un spécialiste de la chronothérapie insiste sur l'importance du timing dans la prise des médicaments, autant pour les patients que pour l'industrie pharmaceutique.

    Médicaments : pourquoi c’est important de les prendre au bon moment

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      Une enfant sauvée d’un cancer “incurable” grâce à traitement expérimental

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Tuesday, 13 December, 2022 - 09:30

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    Grâce à un protocole basé sur la bio-ingénierie de cellules immunitaires, la leucémie d'Alyssa est entrée en rémission après 28 jours.

    Une enfant sauvée d’un cancer “incurable” grâce à traitement expérimental

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      Les médecins sont toujours autant victimes d'agressions mais ne portent pas plainte

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 27 July, 2022 - 09:13 · 2 minutes

    Les médecins généralistes sont victimes de 61% des agressions. Les médecins généralistes sont victimes de 61% des agressions.

    SANTE - Médecin, une profession plus risquée qu’il n’y paraît? En 2021, pas moins de 1009 agressions physiques ou verbales ont été signalées par des professionnels de santé, selon le rapport annuel de l’Ordre des médecins sur la sécurité de ces derniers, publié mardi 26 juillet. Si le nombre reste plus ou moins stable depuis plusieurs années, il augmente sensiblement par rapport à 2020 où 953 incidents avaient été recensés.

    En 2019, il y avait eu 1084 agressions. Cette baisse observée en 2020 est en grande partie attribuée aux confinements successifs. La pandémie de Covid-19 ne semble pas en revanche spécialement affecter la situation: seulement 4% des incidents sont dus au respect (ou pas) des règles sanitaires , et 2% l’opposition à la vaccination .

    Les généralistes sont les plus touchés - 61% des incidents rapportés - alors qu’ils ne représentent que 43% du corps médical en activité. Les cardiologues, les psychiatres ou encore les ophtalmologues figurent également parmi les plus concernés.

    70% des incidents signalés sont des agressions verbales ou des menaces, contre 9% d’agressions physiques, 10% de vols ou tentatives de vols et 8% d’actes de vandalisme. Et 53% des victimes sont des femmes . Mais le rapport alerte sur une chose: très peu portent plainte.

    Le conseil départemental peut accompagner les médecins dans leur démarche

    Selon le rapport, seuls 32% d’entre eux ont déposé plainte, une proportion qui tombe à 20% chez les médecins victimes d’agressions verbales. Jean-Jacques Avrane, membre du conseil de l’Ordre et coordinateur de l’Observatoire sur la sécurité des médecins, regrette sur Europe 1 que “ne rien faire, ne rien dire, c’est certainement permettre à ce que cette insécurité perdure et même augmente.”

    L’Ordre encourage donc vivement les médecins victimes à déposer plainte. Jean-Jacques Avrane précise: “Dans chaque conseil départemental, il y a des médecins référents sécurité qui sont là pour leur donner des conseils. Nous pouvons, et nous le faisons souvent, accompagner le médecin dans sa plainte en se portant partie civile à ses côtés.”

    Mardi sur France 3 , la médecin généraliste Natacha Regensberg de Andreis, basée à Paris, révélait les techniques qu’adoptent les professionnels de la santé pour se protéger: “On apprend à ne pas prendre en dernier un passant qu’on ne connaît pas, on apprend à ouvrir les portes lorsqu’il y a du monde dans la salle d’attente, on apprend à demander qui sonne à la porte.”

    Pour visualiser le rapport, cliquez ici .

    À voir également sur le HuffPost: Cette daltonienne achromate montre le quotidien d’une vie sans couleur.

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      "Les coupeurs de feu" diffusés sur France2 font hurler ces médecins

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Wednesday, 20 July, 2022 - 10:56 · 3 minutes

    Une séquence de France 2 sur Une séquence de France 2 sur "les coupeurs de feu" fait hurler ces médecins

    MÉDECINE - Des “coupeurs de feu” à l’hôpital public? Voilà de quoi créer une nouvelle polémique sur les médecines alternatives. Un nouvel épisode de la série documentaire Les pouvoirs extraordinaires du corps humain diffusé mardi 19 juillet sur France 2 a provoqué des réactions dans le milieu médical .

    Dans une séquence largement partagée sur les réseaux sociaux, on peut voir un bébé de 14 mois brûlé au deuxième degré être apaisé par une “coupeuse de feu” à l’hôpital à Thonon-les-Bains. Après avoir été infirmière aux urgences durant 16 ans, Myriam, 54 ans, est cadre dans une unité de jour.

    En plaçant ses mains au-dessus d’une brûlure, elle aurait la capacité de “couper le feu” et de soulager les patients. Dans l’émission, l’enfant “se calme instantanément” lorsque Myriam prend sa main brûlée entre les siennes, avec l’accord préalable de sa mère ( voir la vidéo ci-dessous ). Une manipulation qui vient s’ajouter aux soins médicaux prodigués au petit patient.

    Mais la séquence ne s’arrête pas là. On découvre ensuite qu’à l’accueil de l’hôpital existe depuis des années une liste de praticiens “guérisseurs”, censés “barrer” ou “couper le feu”, faire partir un zona ou “arrêter le sang”. Ce qui fait a fait hurler certains soignants, accusant la chaîne de faire la promotion du “charlatanisme” et des “fake med”.

    Dans l’émission, la dimension empirique de ce que l’on appelle les médecines complémentaires et alternatives (MCA) n’est pas niée. “Tout cela est complètement basé sur de l’expérience humaine, explique le Professeur Philippe Nicoud, chef du service d accueil et de traitement des urgences des Hôpitaux du Léman au micro de France 2. Il n’y a pas de diplôme, il n’y a rien de tout cela.”

    En France, certaines pratiques sont légalisées (acupuncture, ostéopathie, chiropraxie, homéopathie). D’autres, comme la sophrologie, l’hypnose, l’art-thérapie, sont déployées dans les hôpitaux, les Ehpad et par les associations nationales (Ligue contre le cancer, France Alzheimer…).

    Un appel à encadrer ces pratiques

    “En tout cas cela ne peut pas nuire, ajoute le Pr Philippe Nicoud. Tout ce qui peut améliorer le confort du patient, y compris des choses aussi simples que celles-là, pourquoi s’en priver?”

    Dans une tribune publiée en mars 2021 dans Le Monde , un collectif de parlementaires, d’anciens ministres, d’universitaires et de médecins appelait à la création d’une agence gouvernementale des médecines complémentaires et alternatives. “Une telle dynamique implique de s’inscrire dans une double perspective, d’intégration sécurisée de pratiques complémentaires adaptées et de lutte contre toutes les formes de dérives et d’approches alternatives”, précisait le collectif.

    À voir également sur Le HuffPost : Atteint de la maladie de Charcot, William se filme pour “laisser une trace”

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      Les déserts médicaux progressent en France malgré les aides

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Monday, 18 July, 2022 - 16:12 · 3 minutes

    Les déserts médicaux progressent en France malgré les aides Les déserts médicaux progressent en France malgré les aides

    SANTÉ - La politique de la carotte n’a pas porté ses fruits. Les inégalités d’accès aux médecins généralistes se sont accrues ces dernières années, malgré les aides versées pour inciter les praticiens à s’installer dans les déserts médicaux , selon un bilan établi par l’ Assurance maladie et consulté ce lundi 18 juillet par l’AFP.

    Négociés en 2016 avec les syndicats de médecins libéraux, quatre types de “contrats démographiques” étaient censés enrayer la progression des déserts médicaux. Mais fin 2021, seuls 4.685 étaient “en cours”, selon le bilan présenté le 8 juillet dans une commission interne de l’Assurance maladie.

    Moins de 5.000 en cinq ans, dont une grosse moitié (2.396) de contrat de “coordination” pour des praticiens déjà en place. L’aide à l’installation proprement dite (jusqu’à 50.000 euros) a été accordée à 2.085 médecins, essentiellement généralistes, soit un peu plus de 400 par an.

    “Résultat extrêmement décevant” pour l’Unsa

    L’ensemble de ces dispositifs affiche un coût croissant: plus de 94 millions d’euros sur la période 2017-2020, dont près de 32 millions rien qu’en 2020. Un coût mis en regard d’une “efficacité” peu évidente, puisque “l’inégalité d’accès” aux médecins généralistes “s’est accentuée” entre fin 2016 et fin 2019, selon l’Assurance maladie, qui note à l’inverse une “réduction des disparités” pour les infirmières et les sages-femmes libérales.

    Deux professions qui, contrairement aux médecins, profitent d’effectifs en hausse continue mais ont aussi accepté une “régulation” des installations: une arrivée pour un départ dans les zones “sur-dotées”.

    Ce contraste donne des arguments aux partisans de la politique du bâton. Ainsi l’Unsa juge dans un communiqué que le “résultat extrêmement décevant” des incitations démontrent qu’elles “ne fonctionnent pas” et qu’il “faut donc en finir avec la liberté d’installation des médecins libéraux”.

    L’Assurance maladie souhaite simplifier le dispositif

    “Pour l’UNSA, il est urgent que l’État garantisse l’accès à un médecin à tous, sur l’ensemble du territoire national. Il faut donc en finir avec la liberté d’installation pour les médecins libéraux afin de faire reculer les déserts médicaux”, écrit le syndicat dans un communiqué.

    L’Assurance maladie reconnaît pour sa part, dans un rapport publié début juillet, que ses “contrats démographiques” n’ont “pas suffi à gommer les déséquilibres de répartition territoriale qui perdurent” et propose de les “fusionner en un contrat unique” pour simplifier le dispositif.

    Le ministre de la Santé François Braun a estimé début juillet que le système de la France est ”à bout de souffle”. “Il y a urgence pour lutter contre les inégalités d’accès à la santé, dont les déserts médicaux sont l’emblème le plus terrible”, a-t-il ajouté.

    Ce sujet reviendra vite sur la table de la “grande conférence” sur l’accès aux soins promise par Emmanuel Macron , d’autant plus que l’exécutif devra définir sa feuille de route avant la négociation d’une nouvelle convention médicale à partir de l’automne.

    À voir également aussi sur le Huffpost: Covid-19: La réintégration des soignants non vaccinés fait polémique à l’Assemblée

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      Ce désert médical n'est pas comme les autres: c'est la base scientifique en Antarctique

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Sunday, 3 July, 2022 - 08:17 · 2 minutes

    La base franco-italienne Concordia en Antarctique cherche son prochain médecin. La base franco-italienne Concordia en Antarctique cherche son prochain médecin.

    INSOLITE - Une fiche de poste originale devenue virale. La société française de médecine en milieu isolé recherche un médecin pour la base scientifique Concordia en Antarctique, une “occasion rare suite à un désistement”, précise-t-elle sur sa publication Twitter du lundi 27 juin. L’annonce a fait rêver de nombreux internautes.

    Le médecin actuel de la base, Fabien Farge, est arrivé il y a presque un an et sa mission s’achève en novembre. Il faut donc lui trouver un remplaçant pour soigner la dizaine de personnes présentes sur la station, un lieu extraordinaire, gelé et isolé à plus de 15.000 kilomètres de la France métropolitaine.

    Paul Laforêt, médecin-chef des Terres australes et antarctiques françaises interrogé par Franceinfo , détaille sa recherche: un médecin qui “va devoir faire à peu près de tout: il va être autant médecin généraliste que médecin urgentiste, anesthésiste, chirurgien, dentiste, psychologue...”. Un profil particulier qui explique pourquoi une formation de trois mois est nécessaire.

    “En médecine d’urgence, on a l’habitude de dire que le problème n’est pas ‘est-ce que ça va arriver’ mais ‘quand est-ce que ça va arriver’. Tout la problématique de ces postes-là, c’est d’être prêts, d’enclencher la seconde dès que le problème arrive”, explique aussi Fabien Farge à BFMTV .

    -30 degrés quand il fait beau

    Il faut également encaisser le froid, prévient Paul Laforêt: “On parle d’un des points les plus froids du globe. En ce moment, on est en plein hiver austral. À l’abri il doit faire entre -60 et -70 degrés à peu près, et à l’extérieur, avec le vent, on peut aller jusqu’à du -100 degrés ressenti. En été, on a des températures plutôt autour de -30 degrés quand il fait beau.”

    Pour faire envie (ou non) aux éventuels intéressés, Fabien Farge décrit un environnement hostile, mais unique. “Ce qui est incroyable, c’est que tout est figé, mort. Il n’y a pas de virus, pas de bactérie, il fait trop froid. La vie n’est pas la bienvenue ici”, pose-t-il d’emblée. Puis il ajoute: “Vous levez la tête, vous regardez au-dessus de vous et tout bouge, tout est lumineux, toutes les couleurs, le ciel est extraordinaire.”

    Depuis la publication de l’annonce, qui a suscité des milliers de réactions sur Twitter, la société française de médecine en milieu isolé a reçu une dizaine de candidatures.

    À voir également aussi sur le Huffpost: L’Endurance retrouvé en Antarctique, 100 ans après avoir sombré

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      Limiter l'entrée aux urgences des hôpitaux? À Cherbourg, c'est déjà fait

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Saturday, 2 July, 2022 - 08:18 · 3 minutes

    HÔPITAL - Si Cherbourg est surtout connue pour ses températures (basses), la ville le sera désormais peut-être pour avoir initié la régulation des urgences . C’est depuis cette ville qu’Emmanuel Macron avait initié le 31 mai une “mission flash” destinée à diagnostiquer les problèmes du secteur hospitalier et à y apporter des solutions.

    Un mois plus tard, la Première ministre Elisabeth Bone a confirmé que les 41 mesures du rapport du docteur François Braun seront proposées comme “une caisse à outils” à disposition des agences régionales de santé. Parmi elles, une, inspirée de l’hôpital Pasteur de Cherbourg-en-Cotentin, consiste à limiter l’accès aux urgences aux “vraies urgences”.

    Pour les déterminer, entre 15h et 8h30 du matin, avant de vous rendre au service d’urgence de l’hôpital cherbourgeois, il est nécessaire d’appeler le Samu. Un agent régulateur oriente ensuite l’appelant vers un médecin qui lui-même décidera de la nécessité d’une admission aux urgences. Idée qui a donc guidé le chef de l’État dans sa quête d’un hôpital désengorgé. Comme vous pouvez le  voir dans la vidéo en tête d’article , nous sommes donc allés dans la cité normande où cette régulation existe depuis janvier 2022 pour voir comment cela fonctionne et comme la mesure est accueillie par la population.

    “Les gens ne viennent pas aux urgences pour rien”

    “Les patients ne viennent pas pour rien aux urgences, certains d’entre eux pâtissent d’un manque de médecins libéraux susceptibles de pouvoir répondre à leurs interrogations”, estime Sylvie Meriel, infirmière à l’hôpital cherbourgeois et porte-parole du syndicat FO.

    D’autant que selon la syndicaliste, la régulation n’a permis de réduire les admissions aux urgences que de 130 à 115 entrées quotidiennes. Pas suffisant pour justifier une telle mesure. Même avis pour Rémi Besselièvre, président de l’Association des usages de l’hôpital public de Cotentin qui estime que ”ça signifie que ce sont autant de personnes que l’on a laissées sans soin”. Pour lui, cette “mission flash” est un échec.

    L’association qu’il préside avait rendez-vous ce vendredi 1er juillet avec le maire de Cherbourg-en-Cotentin et la directrice de l’hôpital Séverine Karrer qui a refusé toute interview au HuffPost . Au programme de la discussion, la régulation justement qui concentre les crispations des uns et des autres. Le maire Benoît Arrivé (PS) a lui même reconnu qu’il ne s’agissait que d’une solution provisoire; le vrai remède étant “un plan Marshall à grande échelle capable de soutenir tous les acteurs”.

    Les médecins libéraux sollicités mais favorables

    Le vice président de l’union régionale des médecins libéraux, le docteur Philippe Cholet émet pour sa part un avis positif sur la mesure mise en place à l’hôpital Pasteur: “Est-ce choquant de dire que les urgences doivent être prises aux urgences? La rhinopharyngite n’a rien à y faire par exemple. Quant aux effectifs mobilisés dans le libéral pour assurer la régulation, il s’agit d’une question de solidarité.”

    Le rapport recommande par ailleurs de rémunérer les médecins de ville régulateurs à hauteur de 100euros brut/heure, une somme censée couvrir une moyenne de 4 consultations à hauteur de 25 euros lorsque le médecin officie auprès de sa patientèle.

    Pour syndicats et associations cependant, la sollicitation des médecins libéraux pour la régulation des urgences ne fera “qu’augmenter les délais de rendez-vous déjà importants pour les patients des médecins de ville”.

    À voir également sur Le HuffPost: Ces soignants en ont marre du bla-bla face à la crise de l’hôpital

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      ANI Guardian : un bracelet connecté pour mesurer le bien-être des personnes Alzheimer

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Saturday, 25 June, 2022 - 13:00

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    La société française Mdoloris a mis au point un bracelet connecté qui permet de connaitre le niveau de bien-être d'une personne atteinte par Alzheimer ou d'une autre forme de démence.

    ANI Guardian : un bracelet connecté pour mesurer le bien-être des personnes Alzheimer

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      Cet exomuscle rend leur autonomie aux personnes à mobilité réduite

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Friday, 24 June, 2022 - 14:00

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    Vous connaissez probablement les exosquelettes, mais les exomuscles semblent encore plus intéressants d'un point de vue médical et orthopédique.

    Cet exomuscle rend leur autonomie aux personnes à mobilité réduite