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      NASA : ce robot sous-marin utilitaire se déplie comme un Transformer

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Thursday, 4 August, 2022 - 15:30

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    La recherche appliquée à l'aérospatiale finir souvent par aider les humains sur Terre, et l'Aquanaut en est un bon exemple.

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      Que viennent faire ces marques mystérieuses au fond de l’Atlantique ?

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Friday, 29 July, 2022 - 16:00

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    Si vous avez une idée, les chercheurs seront ravis de l'entendre, car ces drôles de trous les laissent encore perplexes.

    Que viennent faire ces marques mystérieuses au fond de l’Atlantique ?

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      Des chercheurs ont trouvé un étrange animal lovecraftien dans le Pacifique

      news.movim.eu / JournalDuGeek · Friday, 29 July, 2022 - 12:30

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    Cet étrange cnidaire n'avait jamais été observé dans l'océan Pacifique, ce qui pousse les chercheurs à douter de son identité.

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      Une mystérieuse lueur rouge dans l’océan Atlantique déchaîne les imaginations

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 26 July, 2022 - 04:30 · 1 minute

    DÉCOUVERTE - Une lueur rouge d’origine inconnue qui a laissé perplexe ce pilote. Vendredi 22 juillet, un utilisateur du site Reddit a partagé l es photos de mystérieuses lueurs prises durant un vol au-dessus de l’ océan Atlantique. Des halos rouge sang qui traversent les nuages et ont pour le moins intrigué les internautes, comme en attestent les milliers de commentaires en quête d’une explication à ce phénomène.

    Bien que tentant, le recourt au paranormal n’est pourtant pas de mise dans ce cas, comme l’ont rapidement fait remarquer des internautes. La piste privilégiée est celle de la pêche. En effet, certains navires utilisent des centaines de lampes à led afin d’attirer le poisson. Leur lumière peut être visible à des kilomètres et pourrait être la cause de ces lueurs.

    Une observation du même type avait d’ailleurs été repérée en 2014, lors d’un vol au-dessus du Pacifique. Un pilote avait été surpris par une étendue rouge s’apparentant à des flammes.

    Autre raison de privilégier cette théorie qui décevra les amateurs de science-fiction, des photos prises depuis l’ISS de ce phénomène existent déjà, bien que dans une teinte différente. La NASA a publié en février 2020 le cliché d’un astronaute montrant des navires de pêche au large de la Thaïlande. On peut y voir distinctement des étendues de lumière verte dans la nuit. Certains bateaux asiatiques privilégient en effet les lampes de cette couleur pour attirer les poissons.

    À voir également sur Le HuffPost: Aux Philippines, découverte de l’épave la plus profonde jamais localisée

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      De l'électricité grâce aux vagues, "une première mondiale" en Bretagne

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 8 July, 2022 - 14:56 · 2 minutes

    Installation du prototype Dikwe sur le site d’essais en rade de Brest. Installation du prototype Dikwe sur le site d’essais en rade de Brest.

    INNOVATION - Produire de l’électricité grâce à l’énergie des vagues, c’est le concept de l’énergie houlomotrice. Un prototype de digue dotée d’un système houlomoteur a été présenté, ce jeudi 7 juillet, près de Brest par le groupe de BTP Legendre, la société spécialisée dans les énergies marines renouvelables Geps Techno et l’ Ifremer .

    “L’objectif est de conjuguer protection portuaire ou littorale et production d’énergie”, a expliqué à l’AFP Vincent Legendre, président du directoire du groupe breton Legendre, évoquant “une première mondiale”.

    Graphique montrant le projet Dikwe de digue productrice d'électricité par transformation de l'énergie de la houle, développé par le groupe Legendre, l'Ifremer et GPES techno Graphique montrant le projet Dikwe de digue productrice d'électricité par transformation de l'énergie de la houle, développé par le groupe Legendre, l'Ifremer et GPES techno

    Le principe est d’équiper une digue portuaire ou de protection du littoral, déjà existante ou nouvelle, d’un volet oscillant permettant de convertir la force des vagues et de la houle en électricité. Le volet permet également d’amortir la force produite par l’impact des vagues.

    “C’est la première fois, à ma connaissance, qu’il y aura un système intégré de digue incorporant un dispositif de récupération d’énergie de la houle”, a assuré François Houllier, PDG de l’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (Ifremer).

    60% de l’énergie des vagues

    Après des tests en bassin, le prototype de digue ”à énergie positive” baptisé Dikwe a été immergé pour des essais à plus grande échelle dans la rade de Brest, sur le site d’essais en mer de l’Ifremer, à Sainte Anne-du-Portzic. “Pour l’instant, on est très satisfaits du comportement en résistance et en production du prototype”, a indiqué Quentin Henry, directeur du projet pour le groupe Legendre.

    Le dispositif en test, qui comprend des capteurs pour mesurer la force des vagues, la production d’énergie et la résistance de la structure, est soutenu par l’ Ademe et les régions Bretagne et Pays de la Loire. Il a été lancé en 2020.

    Dans un premier temps, un prototype à l’échelle 1/15e a été testé dans le bassin à houle de Brest. Selon les premiers calculs, le dispositif capte jusqu’à 60% de l’énergie des vagues.

    Le prototype installé dans la rade de Brest, à l’échelle 1/4e, mesure près de 4,5 mètres de haut et de large, et 6 mètres de profondeur. Il s’agit d’une sorte de caisson métallique doté sur un de ses côtés d’un volet oscillant. Son coût, entre l’étude, la conception et l’installation, avoisine le million d’euros.

    La troisième étape du projet, prévue pour 2024, consistera à effectuer des tests grandeur nature. Le prototype de digue, construit en béton cette fois-ci, pourra alors produire de l’ordre du mégawatt.

    Le potentiel pour le déploiement de ce type de dispositif se concentre essentiellement dans l’Hexagone sur le littoral atlantique . D’autres secteurs comme celui de Brest pourraient accueillir à l’avenir une digue productrice d’énergie. C’est le cas de Cherbourg ou du Pays basque qui sont des sites à hauts potentiels.

    À voir aussi sur Le HuffPost : Protection de la Grande barrière de corail : “Un pansement sur une plaie artérielle”

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      Waste from thousands of old industrial sites may be released by floods

      news.movim.eu / ArsTechnica · Thursday, 7 July, 2022 - 15:05

    Image of waste drums and an industrial facility next to a river.

    Enlarge (credit: Getty Images )

    As sea levels rise, coastal areas face a growing risk of flooding. But humans and environments near urban centers and the ocean may face issues beyond rising water. These areas have also been home to a large number of manufacturing facilities.

    Over the years, many of them may have left toxic chemicals in the soil. And now, those areas are also being threatened by floods. When it rains too hard or the sea rises too much, people nearby can expect to be exposed to a wide variety of leftover material and chemicals, some of which aren’t meant to be ingested or touched by humans.

    How big is the risk? Many of our largest cities lie near the sea. By some counts, in 2020, around 400 million people lived within 20 meters of sea level and within 20 kilometers of a coastline.

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      Ce crabe découvert en Australie ressemble à une éponge

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Tuesday, 5 July, 2022 - 07:55 · 1 minute

    Cette espèce de crabe est nommée Lamarckdromia beagle, en l'honneur de Charles Darwin. Cette espèce de crabe est nommée Lamarckdromia beagle, en l'honneur de Charles Darwin.

    DÉCOUVERTE - Réputée pour regorger d’animaux en tout genre, l’Australie a depuis 5 jours un nouveau favori, un crabe poilu. Cet animal s’est échoué sur une plage de Denmark en Australie occidentale et se nomme Lamarckdromia beagle.

    Sa découverte a permis d’identifier une nouvelle espèce de la famille des Dromiidae . Un nom en l’honneur du HMS Beagle, le navire qui a emmené Charles Darwin lors de sa deuxième expédition de recherche à Albany, en Australie.

    Un moyen de se cacher et de se défendre

    La famille qui a repéré l’étrange animal, qui ressemble à une éponge plutôt qu’à un crabe, a contacté Andrew Hosie, conservateur des collections de crustacés et de vers du Western Australia. Le chercheur s’est alors rendu compte que cette étrange créature n’était pas une anomalie, mais représentait bien une espèce encore non-documentée.

    Cette couverture protège le crabe des prédateurs Cette couverture protège le crabe des prédateurs

    “L’extrême douceur de l’animal nous a mis la puce à l’oreille”, a déclaré Hosie dans une interview à Live Science . “Les crabes éponges sont souvent poilus, mais c’est plus comme du feutre ou du velours, plutôt que ce pelage hirsute complet”.

    Alors que les chercheurs analysaient la créature , il est apparu qu’elle comportait des similitudes avec une autre espèce stockée depuis 1925 dans le musée. Elle vit dans des eaux peu profondes et s’approche des pontons, zones connues pour abriter de nombreuses espèces d’éponges.

    Mais alors pourquoi ce crabe ressemble-t-il à une éponge? En réalité, il rassemble, à l’aide de ses pattes avant, des morceaux d’éponges ou d’ascidies (animaux marins de la famille des vertébrés) afin de se cacher. Et ce n’est pas tout puisqu’en plus d’être bien caché, ces regroupements de matières sont nocifs pour les prédateurs qui auraient aimé s’attaquer au crabe éponge.

    À voir également sur Le Huffpost : voici le plus gros poisson d’eau douce du monde, une raie pastenague

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      Ces photos de Macron devant des requins ont inspiré des légendes ironiques

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 1 July, 2022 - 07:51 · 2 minutes

    Emmanuel Macron à l'Oceanarium de Lisbonne le 30 juin 2022, pour défendre la candidature de la France à l’organisation de la prochaine Conférence des Nations unies sur les océans en 2025. Emmanuel Macron à l'Oceanarium de Lisbonne le 30 juin 2022, pour défendre la candidature de la France à l’organisation de la prochaine Conférence des Nations unies sur les océans en 2025.

    DÉTOURNEMENT - Emmanuel Macron bientôt dans un remake des Dents de la mer, ou presque. Ce jeudi 30 juin, le chef de l’État était à l’Oceanarium de Lisbonne pour défendre la candidature de la France à l’organisation de la prochaine Conférence des Nations unies sur les océans en 2025. Pour l’occasion, il s’est exprimé devant un aquarium rempli de... requins .

    Lors de ce point presse organisé en marge de la Conférence sur les océans de Lisbonne, l’un des squales, le Napoléon, s’est approché au plus près du président. Seule une vitre les séparait. C’est un “poisson énorme, bleu, avec une bosse, le bicorne”, a expliqué Olivier Poivre d’Arvor, ambassadeur pour les pôles et les enjeux maritimes. Plusieurs requins sont passés près de la joue d’Emmanuel Macron, presque prêts à l’engloutir.

    Le moment, immortalisé par un photographe de l’AFP, n’a pas manqué de faire réagir sur les réseaux sociaux, comme vous pouvez le voir dans les tweets sélectionnés ci-dessous. Les internautes, pas avares en blagues politiques, se demandent souvent ironiquement où se trouve le vrai requin.

    À voir également aussi sur le Huffpost: Aux Philippines, découverte de l’épave la plus profonde jamais localisée