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      Super Tuesday live: Donald Trump likely to win primaries as 16 US states vote

      news.movim.eu / TheGuardian · Tuesday, 5 March - 11:02 · 1 minute

    Former president looks all but certain of Republican presidential nomination as Nikki Haley faces last chance to make an impact on the race

    Donald Trump has continued his domination of the race to be the Republican nominee for president with an expected victory in Monday’s North Dakota Republican caucuses.

    As his campaign headed into Super Tuesday the former president will most likely stretch his lead over Nikki Haley by all 29 of North Dakota’s delegates. If he wins at least 60% of the vote he gets all of the delegates. If his vote is less than 60%, then the delegates will be split proportional to the respective votes for Trump and Haley.

    I think we’re going to send a message that is going to be a kick-off to tomorrow, which is president Donald Trump is going to close this out, this is going to be the end of the trail, and we’re going to say we have a nominee, and let’s go after it, and beat Joe Biden in the fall.

    Yesterday North Dakota held its Republican presidential caucuses and Donald Trump is expected to win convincingly according to the AP. However, turnout was low.

    Joe Biden has announced a “strike force” to crack down on “unfair and illegal” prices. The new panel will target businesses “when they try to rip off Americans”, the Biden administration said .

    The US supreme court ruled on Monday that Donald Trump was wrongly removed from Colorado’s primary ballot last year .

    People incarcerated in state-run facilities in Texas and Florida are the most exposed to dangerous heat conditions being exacerbated by the climate crisis.

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      ‘We’ve always been here’: Lily Gladstone shares the Native Hollywood talent you need to know

      news.movim.eu / TheGuardian · Saturday, 24 February - 15:00

    Indigenous artists in the Killers of the Flower Moon actor’s network tell us about the future they’re creating

    Lily Gladstone made history this year as the first Native American nominated for a Best Actress Oscar, for her starring role in Martin Scorsese’s Killers of the Flower Moon. A win for her this year would be especially resonant, as a rising generation of Native writers, actors and showrunners continues to transform the kinds of stories Hollywood tells about Indigenous people.

    As Gladstone makes headlines with her series of “firsts”, she’s worked hard to spotlight Native designers and emphasize her pride in her Blackfeet history and language , reminding audiences at every turn that “first” is very different from “only”.

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      ‘Scared for our kids’: anger mounts after non-binary teen dies following school fight

      news.movim.eu / TheGuardian · Thursday, 22 February - 16:54

    Activists decry anti-LGBTQ+ rhetoric as they mourn Nex Benedict, 16, who died after ‘altercation’ in Oklahoma high school bathroom

    The death of a non-binary 16-year-old in Oklahoma has left LGBTQ+ Americans overwhelmed by anger and grief this week.

    Nex Benedict, a 16-year-old non-binary student, died on 8 February after a “physical altercation” with classmates in their high school bathroom, according to a statement by local law enforcement on 21 February.

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      Judge Allows Oklahoma Ban on Transition Care for Minors to Take Effect

      news.movim.eu / TheNewYorkTimes · Friday, 6 October, 2023 - 21:20


    A federal judge in Oklahoma denied a request to temporarily block the state’s law banning transition care for transgender minors.
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      Tribal Judge Rules in Favor of Citizenship for Descendants of Creek Slaves

      news.movim.eu / TheNewYorkTimes · Friday, 29 September, 2023 - 21:07


    The judge for the Muscogee (Creek) Nation in Oklahoma ruled that the tribe had violated an 1866 treaty by barring descendants of slaves from being tribal citizens.
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      ‘Inhumane’: judge hears arguments about anti-migrant buoys in Rio Grande

      news.movim.eu / TheGuardian · Tuesday, 22 August, 2023 - 20:30

    Court to decide whether to remove them as Greg Abbott and other Republican governors defend militarization of border with Mexico

    A federal judge heard arguments on Tuesday about whether state authorities should remove huge buoys installed to stop migrants crossing the river that divides Texas from Mexico.

    The court hearing in Austin came a day after Texas’s governor, Greg Abbott, and a group of hardline Republican governors gathered on the riverbank to defend local militarization of the US-Mexico border – while also acknowledging that the 1,000ft (305-meter) floating barrier had been adjusted after complaints that it had mostly drifted into Mexican territory.

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      Tuerie dans un hôpital de Tulsa: le tireur visait son médecin

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 2 June, 2022 - 18:12 · 2 minutes

    Michael Louis, un homme qui s'était fait opéré dans cet hôpital de Tulsa, aux États-Unis, estimait que le médecin était responsable de ses douleurs et l'a tué ainsi que trois autres personnes le 1er juin 2022. Michael Louis, un homme qui s'était fait opéré dans cet hôpital de Tulsa, aux États-Unis, estimait que le médecin était responsable de ses douleurs et l'a tué ainsi que trois autres personnes le 1er juin 2022.

    ÉTATS-UNIS - Les circonstances du drame qui s’est déroulé à Tulsa mercredi s’éclaircissent. L’homme qui a tué quatre personnes dans un hôpital de cette ville de l’ Oklahoma visait le médecin qui l’avait opéré du dos. Il le jugeait responsable de ses douleurs, a annoncé la police ce jeudi 2 juin.

    Michael Louis était entré dans l’hôpital Saint Francis avec une arme de poing et un fusil semi-automatique, dernière tuerie en date dans un pays encore marqué par le massacre dans une école primaire d’Uvalde . Selon le collectif Gun Violence Archive, le drame de Tulsa est la 233e fusillade de masse dans le pays.

    En plus de son docteur, le tireur a tué un autre médecin, une réceptionniste, un patient et en a blessé d’autres avant de se suicider, ont précisé les forces de l’ordre lors d’une conférence de presse.

    Un fusil AR-15 encore mis en cause

    Michael Louis avait été opéré du dos par le Dr Preston Phillips le 19 mai. Après sa sortie de l’hôpital, le 24, le patient avait “appelé à plusieurs reprises en se plaignant de douleurs, et voulait recevoir des traitements supplémentaires”, a déclaré Wendell Franklin, chef de la police de Tulsa.

    Michael Louis jugeait son médecin responsable de ses douleurs, et les agents ont trouvé sur lui une lettre “qui indique clairement qu’il est venu avec l’intention de tuer le Dr Phillips et toute personne se trouvant sur son chemin”, a ajouté M. Franklin.

    Mercredi après-midi, avant de se rendre à l’hôpital, le suspect avait acheté un fusil semi-automatique “de type AR-15”, a-t-il poursuivi. Cette arme, aussi puissante que controversée, avait été utilisée à l’école primaire Robb d’Uvalde, où 19 enfants et deux enseignantes ont péri sous les balles d’un adolescent le 24 mai.

    “Un fusil d’assaut est une arme de guerre”

    La vice-présidente Kamala Harris avait appelé samedi à bannir les fusils d’assaut, souvent utilisés dans les massacres qui ponctuent régulièrement l’actualité américaine.

    Ces armes “ont été conçues avec un but spécifique: tuer beaucoup de personnes en peu de temps. Un fusil d’assaut est une arme de guerre qui n’a aucune place dans la société civile”, avait-elle asséné.

    Les récentes fusillades ont relancé le débat autour des armes à feu, le président Joe Biden promettant d’agir. Au Congrès, les élus négocient pour trouver un compromis, avec un mince espoir de réussite tant les divisions sont profondes.

    À voir également aussi sur le Huffpost: À Uvalde, des chiens tentent de réconforter les Texans après la fusillade ayant fait 21 morts

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      Aux États-Unis, l'Oklahoma interdit totalement l'avortement

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Thursday, 26 May, 2022 - 06:01 · 3 minutes

    Des militantes pro-avortement devant le Parlement de l'Oklahoma en avril 2022. L'État vient d'interdire l'IVG dès la fécondation. Des militantes pro-avortement devant le Parlement de l'Oklahoma en avril 2022. L'État vient d'interdire l'IVG dès la fécondation.

    AVORTEMENT - Le gouverneur de l’Oklahoma a promulgué mercredi 25 mai une loi interdisant tout avortement dès la fécondation , faisant de ce bastion conservateur du sud des États-Unis l’État possédant la réglementation la plus restrictive en matière d’ interruption volontaire de grossesse .

    “J’avais promis aux habitants de l’Oklahoma qu’en tant que gouverneur, je signerais toute loi pro-vie qui se présenterait à moi, et je suis fier d’avoir tenu cette promesse aujourd’hui”, a déclaré le républicain Kevin Stitt, dans un communiqué. “Dans l’Oklahoma, nous défendrons toujours la vie”, a-t-il ajouté.

    Inspiré d’une loi adoptée par le Texas en septembre, ce texte, qui entre en vigueur dans tout l’État, ouvre la porte à des poursuites lancées par de simples citoyens à l’encontre de personnes soupçonnées d’avoir avorté.

    La définition de l’avortement, selon le texte, n’inclut toutefois pas “l’utilisation, la prescription, la fourniture, ou la vente de pilules du lendemain, ou de tout type de contraception ou de contraception d’urgence”.

    L’État le plus “pro-vie” du pays

    Cette loi avait été adoptée par le parlement de l’Oklahoma mi-mai dans un contexte de menace du droit à l’avortement par la Cour suprême qui, selon un document révélé par le média Politico, semble prête à revenir en arrière, 50 ans après sa décision historique de protéger l’IVG.

    L’organisation Planned Parenthood, qui défend le droit à l’avortement, avait annoncé à cette occasion qu’elle allait “assigner l’Oklahoma en justice”. “Il faut empêcher cette interdiction -ainsi que toutes les autres interdictions que cet État a votées au cours du mois passé”, avait poursuivi Planned Parenthood sur Twitter.

    Le Center for Reproductive Rights a confirmé son intention sur Twitter après la promulgation de la loi: “L’Oklahoma vient de devenir le seul État des États-Unis à interdire totalement l’avortement alors que #RoevWade (arrêt de la Cour suprême garantissant le droit à l’IVG, NDLR ) est toujours en vigueur. Le Centre et Planned Parenthood poursuivent l’État de l’Oklahoma au nom des prestataires et des défenseurs de l’avortement pour mettre fin à cette interdiction cruelle et rétablir l’accès à l’avortement.”

    Le 3 mai, Kevin Stitt avait déjà annoncé avoir signé une loi interdisant l’avortement après six semaines de grossesse. “Je veux que l’Oklahoma devienne l’Etat le plus pro-vie dans le pays”, avait-il dit en utilisant l’expression consacrée par les Américains opposés à l’avortement.

    Les États-Unis suspendus à la décision de la Cour suprême

    L’Oklahoma accueillait depuis quelques mois des milliers de Texanes cherchant à avorter, après le passage d’un texte similaire dans cet État voisin.

    Même s’il est soutenu par une majorité de la population, selon de récents sondages, le droit à l’avortement est un sujet de société très clivant depuis l’arrêt historique “Roe versus Wade” de janvier 1973, qui protège le droit des Américaines à interrompre leur grossesse.

    En cas de décision de la Cour suprême revenant sur ce droit, 26 États conservateurs, pour la plupart dans le centre et le sud du pays comme le Wyoming, le Tennessee ou la Caroline du Sud, sont prêts à interdire l’avortement purement et simplement.

    À voir également aussi sur le Huffpost: Pour défendre l’IVG à l’Assemblée, cette députée enceinte a trouvé les mots justes

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      Aux États-Unis, l'Oklahoma veut bannir l'avortement dès la fécondation

      news.movim.eu / HuffingtonPost · Friday, 20 May, 2022 - 07:48 · 3 minutes

    Des manifestants pro-avortement devant le Parlement de l'Oklahoma, le 3 mai 2022. Des manifestants pro-avortement devant le Parlement de l'Oklahoma, le 3 mai 2022.

    ÉTATS-UNIS - La surenchère contre l’avortement continue aux États-Unis. Le parlement de l’Oklahoma a adopté jeudi 19 mai une loi interdisant tout avortement dès la fécondation, faisant de ce bastion conservateur du sud du pays l’État possédant la réglementation la plus restrictive en matière d’ interruption volontaire de grossesse .

    Le vote est intervenu alors que le droit à l’avortement aux États-Unis est menacé par la Cour suprême qui, selon un document révélé par Politico, semble prête à revenir en arrière, 50 ans après sa décision historique de protéger l’IVG.

    Pour entrer en vigueur, le texte doit désormais être signé par le gouverneur Kevin Stitt. Cet élu républicain avait déjà indiqué qu’il apposerait sa signature sur toute loi imposant davantage de restrictions sur l’avortement.

    Une loi inspirée de celle du Texas

    Inspiré d’une loi adoptée par le Texas en septembre, ce texte de loi de l’Oklahoma ouvre la porte, avec ce texte, à des poursuites lancées par de simples citoyens à l’encontre de personnes soupçonnées d’avoir avorté.

    La définition de l’avortement, selon le texte, n’inclut toutefois pas “l’utilisation, la prescription, la fourniture, ou la vente de pilules du lendemain, ou de tout type de contraception ou de contraception d’urgence”.

    La vice-présidente américaine Kamala Harris a dans la foulée dénoncé la décision du parlement de l’Oklahoma comme “la dernière en date d’une série d’attaques flagrantes sur les femmes par des élus”.

    La N.2 de l’exécutif a ainsi appelé les Américains à élire des dirigeants qui défendraient le droit à l’avortement “au niveau local, des Etats, et fédéral”. “Cela n’a jamais été aussi urgent”, a-t-elle affirmé sur Twitter .

    Le droit à l’avortement, un sujet clivant aux États-Unis

    L’organisation Planned Parenthood, qui défend le droit à l’avortement, a annoncé de son côté qu’elle allait “assigner l’Oklahoma en justice”. “Il faut empêcher cette interdiction - ainsi que toutes les autres interdictions que cet État a votées au cours du mois passé”, a poursuivi Planned Parenthood sur Twitter.

    Le 3 mai, le gouverneur Kevin Stitt avait annoncé avoir signé une loi qui interdisait déjà l’avortement après six semaines de grossesse. “Je veux que l’Oklahoma devienne l’État le plus pro-vie dans le pays”, avait-il dit en utilisant l’expression consacrée par les Américains opposés à l’avortement.

    L’Oklahoma accueillait depuis quelques mois des milliers de Texanes cherchant à avorter, après le passage en septembre d’un texte similaire dans cet Etat voisin.

    Même s’il est soutenu par une majorité de la population, selon de récents sondages, le droit à l’avortement est un sujet de société très clivant depuis l’arrêt historique “Roe v. Wade” de janvier 1973, qui protège le droit des Américaines à interrompre leur grossesse.

    En cas de décision de la Cour suprême revenant sur ce droit, 26 États conservateurs, pour la plupart dans le centre et le sud du pays comme le Wyoming, le Tennessee ou la Caroline du Sud, sont prêts à interdire l’avortement purement et simplement.

    À voir également aussi sur le Huffpost: Aux États-Unis, des milliers de manifestants défilent pour le droit à l’avortement