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      Demain, il va faire beau.

      eyome · Friday, 23 July, 2021 - 20:30

    De petites gouttes par ci par là, juste de quoi rafraîchir.

    Idéal pour se promener !

    (Si quelqu’un a une liste plus exhaustive, qu’il la partage !)

    #France, #Politique, #fr, #Vaccins, #Covid, #PassSanitaire.

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      Jusqu’à un an de prison et 15 000 € d’amende pour défaut de pass sanitaire ? L’amendement 274 adopté

      eyome · Thursday, 22 July, 2021 - 20:53

    “L’amendement 274 prévoit l’application du code pénal réprimant la mise en danger d’autrui pour non présentation de pass sanitaire là où il est requis. Objectif : exonérer les patrons d’établissement en cas de non-respect des règles par un client.”

    #France, #Poitique, #Fr, #Covid, #Vaccins, #PassSanitaire

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      L'@AssembleeNat vient de rejeter un amendement de la députée @emenard34 visant à mettre fin au #PassSanitaire une fois la pandémie terminée

      eyome · Thursday, 22 July, 2021 - 20:19 edit

    La surprise est totale.

    C'est une aubaine, ils ne lâcheront pas le jouet comme ça, ça pourra toujours servir.

    Il convient aussi de déterminer comment on définit l'épidémie comme étant "terminée" (cla dit en passant).

    #France, #Poitique, #Fr, #Covid, #Vaccins.

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      Pass sanitaire : Jusqu’à 45 000€ d’amende et un an de prison pour les exploitants ne contrôlant pas

      eyome · Wednesday, 14 July, 2021 - 13:44 edit

    Ils vont finir les commerçants à coups de pelles.

    #France, #Politique, #fr, #Covid, #Vaccins.

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      Union européenne : du marché commun à la farce tragique

      Drieu Godefridi · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Saturday, 6 March, 2021 - 04:40 · 6 minutes

    union européenne

    Par Drieu Godefridi.

    Sur l’Union européenne (UE), les avis sont tranchés, entre ceux qui la taxent d’inutile et coûteuse, et ceux qui l’instituent en avenir de l’Europe et modèle pour le genre humain.

    Qu’en est-il ?

    Avant de devenir la sentencieuse « Union européenne », la construction européenne fut d’abord une formidable réussite. Beaucoup de libéraux ont la mémoire courte, mais l’UE n’a pas toujours été le monstre bureaucratique liberticide qu’elle est devenue.

    À l’époque des plus modestement nommées « Communautés européennes » — de l’économie, du charbon et de l’acier, de l’atome — l’Europe a réalisé quatre libertés de circulation : des personnes, des capitaux, des services et des biens.

    En dépit de ses défauts, de ses carences, de ses innombrables imperfections — rien de ce qui est humain n’est parfait — ce « marché commun » a contribué de façon massive et substantielle à la liberté et la prospérité des Européens.

    Union européenne, paix et prospérité

    Impossible de ne pas considérer comme un progrès de civilisation le fait, pour un Français, de se déplacer librement en Italie ; ou le droit, pour un entrepreneur espagnol, de proposer librement ses services aux citoyens des Pays-Bas. Cette Europe du « marché commun » était en tout point conforme à l’intuition géniale de Jean Monnet, qui souhaitait « la paix par la prospérité ».

    L’ennui est que les étatistes de toutes les églises idéologiques ne pouvaient évidemment se satisfaire de cette Europe-outil, un outil qui plus est de nature essentiellement économique . Non, il fallait ajouter une Europe politique, une Europe sociale, une Europe de la défense, une Politique étrangère européenne, une Europe écologique et même « géopolitique » (© Ursula von der Leyen) !

    Cette évolution a d’abord consisté à subvertir les institutions européennes pour leur faire accomplir, en plus de leur visée économique, des missions qui leur étaient étrangères.

    Ensuite, ce sont les institutions et procédures qui furent, et sont constamment, adaptées, « rénovées », révolutionnées, pour servir les finalités extra-économiques, fût-ce aux dépens de la visée économique .

    L’Europe économique marginalisée

    Aujourd’hui, la finalité économique de la construction européenne est officiellement — par les traités — ravalée à la portion congrue, le cédant en titre comme en fait aux exigences de l’Europe politique, sociale, environnementaliste.

    Ainsi l’UE qui offrait autrefois un contre-pouvoir aux foucades idéologiques des États-membres, en est-elle désormais la caisse de résonance, la permanente amplification. Aucune résolution adoptée par le Parlement allemand ou français dans le domaine du gender ou de l’écologie ne peut rivaliser avec les proclamations de plus en plus extrêmes adoptées, sur ces sujets comme d’autres, par les institutions européennes.

    Ce qui permet à ces institutions européennes de s’engager toujours plus avant dans la voie de l’extrémisme idéologique, est qu’elles échappent à la sanction démocratique. Certes, on les habille de mots et de verbe ; d’un logos légitimiste visant à faire accroire que les institutions européennes, certes imparfaites, sont de plus en plus démocratiques, en attente de le devenir complètement.

    L’Union européenne n’est pas une démocratie

    Rien n’est moins vrai ; l’UE n’est pas une démocratie, ne l’a jamais été et ne le sera jamais.

    Quel est le pourcentage de citoyens européens qui est capable de nommer ne serait-ce qu’un seul de « ses » parlementaires européens, ne serait-ce qu’un seul de « ses » commissaires européens, ne serait-ce qu’un seul juge de la Cour de justice de l’UE ?

    Les Américains se « sentent » et disent Américains avant d’être du Wyoming ou de l’Arkansas ; les Italiens, Espagnols, les Suédois, les Polonais, les Slovènes s’identifient à leur pays avant d’être Européens — au sens générique, non celui de l’UE.

    Par des motifs historiques, les Allemands jouent le jeu de l’UE. Tandis qu’ils ont relativement bien géré la première partie de la récente pandémie, ils ont résolu de s’en remettre à l’UE pour la gestion des vaccins.

    Il y a une logique dans cette démarche : pour négocier avec « Big Pharma », on est plus fort ensemble et puis, n’est-ce pas l’occasion de prouver à la face des Européens que cette UE qu’ils n’aiment pas est utile ?

    Las ! Non contente d’être inutile et coûteuse, dans cette affaire l’UE s’est montrée horriblement, comiquement, tragiquement, inefficace .

    Le triomphe vaccinal des Américains

    Dans 500 ans, quand les historiens contempleront la période Covid, ils diront que l’opération « Warp Speed » montée par les Américains fut un triomphe de science et de logistique. Alors qu’il a fallu 5 ans pour concevoir un vaccin contre Ebola — précédent record mondial ! — il n’aura pas fallu un an pour que des vaccins contre le Covid soient mis au point, en Occident essentiellement sous la pression et le financement des contribuables américains.

    Rapidement, le gouvernement américain a compris que le défi était également logistique : c’est beau de concevoir des vaccins, encore faut-il les produire en vastes quantités, puis les distribuer .

    Ce sont des usines entières qui furent bâties en l’espace de quelques semaines aux fins de la production des vaccins (pas encore conçus à l’époque !), dans un effort dont le souffle et l’ampleur ne sont pas sans évoquer l’effort industriel américain de 1941.

    Quand il s’est agi de distribuer les vaccins, le gouvernement américain fit appel au meilleur outil à sa disposition : l’armée des États-Unis. Au final, le programme américain de vaccination massive fut réalisé dans des délais inouïs, qui viennent encore d’être réduits de deux mois .

    Par comparaison avec les États-Unis et l’Asie, l’échec de l’UE est total. Alors qu’en Europe, le challenge n’était plus que produire et distribuer les vaccins, l’UE échoua lamentablement sur ces deux chapitres, à telle enseigne que le programme européen de vaccination est dix fois en retard sur Israël, trois fois sur les États-Unis.

    Il n’est pas jusqu’au Royaume-Uni qui, dans le premier test grandeur nature depuis le Brexit, ne fait quatre fois mieux que l’Union européenne en termes de vaccination.

    Selon les données actuelles, le retour à la normale, en Europe, se fera avec un an de retard sur l’Amérique et le Royaume-Uni. Cette petite année représente une multitude cruelle de déficits, de faillites et de désastres personnels. C’est, en termes relatifs, une régression économique massive qui attend l’UE, par comparaison avec le reste du monde.

    La gestion des vaccins par l’UE est une métonymie de l’UE : une farce tragique aux mains d’idéologues aussi obtus qu’inefficaces. Les « élites » de l’UE sont faibles, lâches et pusillanimes, car elles savent ne représenter personne, et n’être en dernière analyse que le jouet de gouvernements jamais d’accord entre eux — mais qui jouissent de la légitimité démocratique.

    La sagesse commanderait de réduire l’UE au marché commun. L’ hybris idéologique qui anime les institutions européennes et leurs commanditaires idéologiques les précipitera dans la direction opposée, celle d’une radicalisation toujours plus grande, aux dépens des intérêts vitaux des Européens.

    Jusqu’à la chute finale (Polybe).

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      Emmanuel Macron en donneur de leçons sur la vaccination en Afrique

      Francis Richard · ancapism.marevalo.net / Contrepoints · Saturday, 20 February, 2021 - 03:40 · 3 minutes

    décideurs

    Par Francis Richard.

    Alors que sa politique sanitaire s’est révélée particulièrement calamiteuse depuis un an , le président socialiste Emmanuel Macron donne sans vergogne des leçons à des homologues africains sur la vaccination.

    Il ne faudra pas oublier que le président socialiste a considéré qu’il revenait à l’État de lutter contre l’épidémie. Or les hommes de l’État, qu’ils soient fonctionnaires ou politiciens, sont tout sauf des entrepreneurs.

    L’État crée des pénuries

    Aussi ne savent-ils faire qu’une chose en voulant tout diriger dans un domaine, c’est d’y créer des pénuries : celle des masques, des lits de réanimation, celle des tests. Et maintenant celle des vaccins.

    Cette politique centralisée au niveau du pays, avec pour conséquence ces pénuries, n’a pas fait réfléchir le président socialiste. Il est de ceux qui ont chargé l’Union européenne d’être la centrale d’achats des vaccins et de négocier leurs prix .

    Or chacun sait que lorsqu’on achète quoi que ce soit à prix sacrifié, on en a pour son argent, c’est-à-dire que, même si la qualité du produit reste la même, le service laisse alors à désirer. Car tout a un coût.

    Les réalités du terrain

    La notion de coût est quelque chose que le président du quoi qu’il en coûte (l’expression est révélatrice) a du mal à se représenter. À sa décharge, ce concept n’est pas au programme de l’ENA, où l’on est loin des réalités du terrain.

    Celui-ci est abstrait pour lui. Aussi ne s’est-il pas montré plus perspicace que la plupart de ses homologues occidentaux en choisissant la destruction massive de l’économie, de la société et de la santé 1 en confinant peu ou prou.

    Alors que dans d’autres pays, au moins un traitement précoce des patients était laissé à l’initiative des médecins, en France, l’État Macron supprimait la liberté de prescrire . En connaîtrons-nous jamais l’invisible coût humain ?

    Hors des vaccins, point de salut

    Depuis le début, le choix du président est de lâcher la proie des remèdes pour l’ombre des vaccins . Persévérant dans l’erreur, il croit que si tout le globe n’est pas vacciné, « le virus continuera de tourner et de faire des variants. »

    Le 17 février 2021, il s’est entretenu avec ses homologues d’Égypte, du Sénégal, d’Afrique du Sud, de la République démocratique du Congo et des Comores. Il a jugé « inexplicable et intolérable » l’inégalité d’accès de leurs pays aux vaccins.

    Mais l’accès aux vaccins, dont l’efficacité reste hélas sujette à caution, est une chose, arriver à vacciner en est une autre. Les grands pays de l’Union européenne, France incluse, ont réussi à ce jour à vacciner entre 3 et 4 % de leur population…

    Si nous voulons à tout prix être vaccinés, il vaut mieux ne pas être ressortissant de l’Union européenne. En Suisse, 6,3 % ont été vaccinés et au Royaume-Uni, 23,37 %, du moins selon les chiffres de The Coronavirus App .

    La mortalité plus faible en Afrique

    Peu de données de vaccination sont disponibles pour l’Afrique. Sur le site de l’ OMS , on remarque qu’à ce jour le nombre de morts pour 1000 habitants y est beaucoup plus faible que celui de la France qui est de 1,2529.

    Prenons les pays représentés lors de la visioconférence du 17 février 2021 :

    • Égypte : 0,0976
    • Sénégal : 0,0480
    • République d’Afrique du Sud : 0,8217
    • République démocratique du Congo : 0,0066
    • Comores : 0,1596

    Bon sang, mais c’est bien sûr ! L’un des pays les plus touchés au monde par le paludisme est la République démocratique du Congo 2

    Et vous savez quoi ? En Afrique et depuis des décennies, l’hydroxychloroquine est un remède courant contre le paludisme endémique, justement… mais cela ne nous regarde pas !

    Sur le web

    1. La santé – c’est évident, mais pas pour les hommes de l’État – ne se résume pas aux mesures sanitaires…
    2. Autre pays très touché par le paludisme, le Nigeria, a un nombre de morts Covid pour mille habitants de 0,0084…