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      « Un raccourci vers l’enfer » : il n’y a peut-être pas pire combinaison clavier sur Windows

      news.movim.eu / Numerama · 2 days ago - 15:29

    Enfer

    Les raccourcis sur le clavier ont vocation à nous faire gagner du temps. Il en existe toutefois qui sont diablement longs, et qui obligent à une certaine adresse pour les enclencher.

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      pubsub.blastersklan.com / slashdot · 4 days ago - 15:03 edit

    An anonymous reader shares a report: With Windows 11 24H2 all geared up to have AI-intensive applications, Microsoft has added a code that will warn you if your PC does not meet the hardware requirements, according to code dug up by Twitter/X sleuth Albacore. The warning will be displayed as a watermark so you know that you cannot use certain AI-powered built-in apps because of an unsupported CPU.

    Read more of this story at Slashdot.

    Windows 11 Will Display Watermark If Your PC Does Not Support AI Requirements
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      tech.slashdot.org /story/24/04/26/1437237/windows-11-will-display-watermark-if-your-pc-does-not-support-ai-requirements

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      Multitasking MS-DOS 4 – L’OS oublié de Microsoft

      news.movim.eu / Korben · 4 days ago - 06:00 · 3 minutes

    Multitasking MS-DOS 4 . Rien que le nom ça fait rêver. Un nom qui respire le futur, qui transpire l’innovation. Mais c’est quoi en fait ?

    Et bien au début des années 80, alors qu’on se battait encore en duel avec des disquettes 5″1/4, Microsoft avait dans ses cartons un projet d’OS révolutionnaire baptisé Multitasking MS-DOS 4. Bon, ce n’est pas le nom le plus sexy de l’histoire de l’informatique mais derrière cette appellation austère se cachait un système d’exploitation qui promettait déjà le multitâche et tout un tas de fonctionnalités incroyables pour l’époque !

    L’histoire commence en 1983 lorsque Microsoft rassemble une équipe de développeurs talentueux pour plancher sur la nouvelle version de MS-DOS, qui doit apporter un max de nouveautés pour l’époque : multitâche, multi-threading, pipes, sémaphores… Tout ça sur les modestes processeurs 8086/8088 qui avaient une mémoire limitée.

    Le projet s’appelle d’abord MS-DOS 3.0 avant d’être renommé MS-DOS 4.0 en avril 1984. En parallèle, Microsoft travaille sur le « vrai » DOS 3.0 qui sortira en août 1984. Vous suivez ? C’est un peu le bazar mais c’est ça qui est bon !

    Puis en juin 1984, une première beta de Multitasking DOS 4 est envoyée à quelques privilégiés. Et autant vous dire que ça décoiffe ! Le multitâche fonctionne déjà, géré par un composant baptisé « Session Manager ». On peut lancer jusqu’à 6 applications en même temps en leur attribuant des raccourcis clavier. Le Session Manager gère aussi les fameuses « erreurs fatales » qui pouvaient faire planter tout le système. Avec lui, si un programme plante, il n’embarque pas tout le système avec lui. C’est un concept révolutionnaire pour l’époque !

    MS-DOS 4.0 apportait également son lot d’améliorations comme une meilleure gestion de la mémoire, le support des disques durs de plus de 10 Mo (si si, à l’époque c’était énorme !), une API étendue, et même un système de fichiers réseau (Microsoft Networks).

    Le développement de ce MS-DOS 4.0 s’est fait en étroite collaboration avec IBM car le géant informatique planchait à l’époque sur son propre OS avec une architecture similaire à MS-DOS 4.0. Mais plutôt que de se faire concurrence, Microsoft et IBM ont décidé de joindre leurs forces. MS-DOS 4.0 a ainsi servi de base au développement d’IBM PC-DOS 4.0. Les deux OS partageaient une grande partie de leur code source et étaient compatibles entre eux. Une belle démonstration du partenariat entre Microsoft et IBM !

    Malheureusement, malgré toutes ses qualités, MS-DOS 4.0 n’a jamais été commercialisé. Son développement a été stoppé au profit d’OS/2, le nouveau projet de Microsoft et IBM et la plupart de ses fonctionnalités ont été recyclées dans ce nouvel OS.

    Multitasking MS-DOS 4 est ainsi resté à l’état de projet, même si certaines de ses innovations ont survécu dans d’autres OS. Son code source est longtemps resté dans les cartons de Microsoft, jusqu’à ce que l a société décide de le libérer en open source, sous licence MIT . Un joli cadeau pour les passionnés d’histoire de l’informatique !

    Alors si vous êtes curieux d’essayer MS-DOS 4.0 par vous-même, sachez que c’est possible ! Grâce à la libération du code source, des passionnés ont pu recompiler l’OS et le faire tourner sur des machines modernes via des émulateurs comme DOSBox.

    Voici les étapes pour lancer MS-DOS 4.0 sur votre PC :

    1. Téléchargez l’émulateur DOSBox sur le site officiel
    2. Installez DOSBox sur votre machine
    3. Récupérez une image disque de MS-DOS 4.0. Vous pouvez en trouver sur des sites d’archives comme WinWorldPC
    4. Ouvrez DOSBox et montez l’image disque de MS-DOS 4.0 avec la commande :
      mount c /chemin/vers/image_dos4.img -t iso
    5. Démarrez MS-DOS 4.0 en tapant : c:

    Sinon, vous pouvez le tester directement en ligne ici .

    Et voilà, vous pouvez maintenant explorer ce morceau d’histoire de l’informatique et découvrir par vous-même les prémices du multitâche sous DOS !

    Amusez-vous bien !

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      The spam came from inside the house: How a smart TV can choke a Windows PC

      news.movim.eu / ArsTechnica · 7 days ago - 22:15 · 1 minute

    Image of silhouetted girl trapped inside a television inside an entertainment center

    Enlarge / I have hundreds of UUIDs and I must scream. (credit: Getty Images)

    The modern "smart" TV asks a lot of us. In exchange for connecting you to a few streaming services you use, a TV will collect data , show ads , and serve as another vector for bad actors . In a few reported cases, though, a modern connected TV has been blamed for attacks not on privacy, eyeballs, or passwords but on an entirely different computer.

    The TV in question is a Hisense TV, and the computer is a Windows PC, specifically one belonging to Priscilla Snow, a musician and audio designer in Montréal, Quebec. Her post about her Hisense experience reads like a mystery. Of course, because you already know the crime and the culprit, it's more like a Columbo episode . Either way, it's thrilling in a very specific I-can't-believe-that-fixed-it kind of thrill.

    Disappearing Settings, keyboards, remote desktops, and eventually taskbars

    Snow's Windows PC had "a few hiccups over the past couple of years," Snow wrote on April 19. She couldn't open display settings, for one. A MIDI keyboard interface stopped working. Task manager would start to hang until force-closed. Video capture cards had trouble connecting. As Snow notes, any veteran of a Windows computer that has had lots of stuff installed on it can mentally write off most of these things, or at least stash them away until the next reinstall.

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      Windows vulnerability reported by the NSA exploited to install Russian backdoor

      news.movim.eu / ArsTechnica · Monday, 22 April - 20:36

    Kremlin-backed hackers exploit critical Windows vulnerability reported by the NSA

    Enlarge (credit: Getty Images)

    Kremlin-backed hackers have been exploiting a critical Microsoft vulnerability for four years in attacks that targeted a vast array of organizations with a previously undocumented backdoor, the software maker disclosed Monday.

    When Microsoft patched the vulnerability in October 2022—at least two years after it came under attack by the Russian hackers—the company made no mention that it was under active exploitation. As of publication, the company’s advisory still made no mention of the in-the-wild targeting. Windows users frequently prioritize the installation of patches based on whether a vulnerability is likely to be exploited in real-world attacks.

    Exploiting CVE-2022-38028, as the vulnerability is tracked, allows attackers to gain system privileges, the highest available in Windows, when combined with a separate exploit. Exploiting the flaw, which carries a 7.8 severity rating out of a possible 10, requires low existing privileges and little complexity. It resides in the Windows print spooler, a printer-management component that has harbored previous critical zero-days . Microsoft said at the time that it learned of the vulnerability from the US National Security Agency.

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      Microsoft va inciter les utilisateurs de Windows 10 à passer sur un compte Microsoft

      news.movim.eu / Korben · Thursday, 18 April - 10:32 · 2 minutes

    Bad news, la firme de Redmond vient tout juste de lancer une nouvelle mise à jour pour les Insiders sous Windows 10 , la build 19045.4353 qui à première vue n’a rien de bien folichon… Mais si on y regarde de plus près, y’a quand même un truc qui risque de vous faire tiquer : Une bannière dans les Paramètres pour vous pousser à abandonner votre bon vieux compte local et passer à un compte Microsoft .

    On se demande bien pourquoi Microsoft tient tant à ce qu’on ait tous un compte chez eux sur nos machines. Bon ok, je suppose que c’est lié à toutes leurs fonctionnalités en ligne, genre la synchro des paramètres, les sauvegardes dans le cloud, la gestion simplifiée des abonnements, tout ça mais bon, ça devient un peu pushy je trouve. On dirait presque une incitation à passer sous Linux ^^.

    Cette guéguerre de Microsoft contre les comptes locaux sous Windows, ça gave tout le monde, même Elon Musk qui a pété un câble en découvrant qu’il pouvait pas installer Windows 11 sans compte Microsoft. La chance qu’on a sous Windows 10, c’est qu’on peut encore contourner ce forcing sans trop se prendre la tête lors de l’installation initiale mais sous Windows 11 par contre, c’est une autre paire de manches… Impossible d’utiliser un profil local, sauf si vous connaissez l’astuce à base de oobe\bypassnro .

    Pour l’instant, ce changement se déploie progressivement, donc vous n’aurez peut-être pas tous droit à ce joli cadeau. Mais si vous voulez voir cette bannière par vous-même, pas de souci… il vous suffit de télécharger l’outil ViVeTool , ouvrez une invite de commande en mode administrateur, et hop, un petit

    vivetool /enable /id:42563876

    et le tour est joué. (et c’est /disable pour le désactiver)

    Par contre, une fois que ce sera en place, pour mettre hors de vue ces satanées bannières, faudra aller dans Paramètres > Confidentialité > Général et décocher l’option « Afficher le contenu suggéré dans l’application Paramètres « . Ou alors, un bon vieux clic sur la croix à côté du bouton « Se connecter maintenant « , et basta.

    Alors on migre ou pas ?

    D’un côté, ça facilite pas mal de trucs d’avoir un compte Microsoft, surtout avec tous leurs machins à base d’IA qui vont arriver, mais de l’autre, j’aime bien garder un minimum de contrôle sur mes données et ma vie privée. Certains d’entre vous préfèrent d’ailleurs surement garder leurs infos perso pour eux, et ne pas se créer de compte Microsoft ce qui est bien légitime comme préoccupation.

    J’ai juste peur qu’à un moment, cette incitation risque à un moment de se transformer en obligation… On verra bien.

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      Windows 11 enfin accessible aux PC Rocket Lake après deux ans d’attente

      news.movim.eu / Korben · Monday, 15 April - 09:38 · 2 minutes

    Oyez, oyez, amis Windowsiens ! Réjouissez-vous, car Microsoft, dans son immense mansuétude, a enfin daigné lever le blocage qui empêchait certains d’entre vous de goûter aux joies de Windows 11 . Eh oui, après deux longues années d’attente, les possesseurs de processeurs Intel Rocket Lake peuvent désormais franchir le Rubicon et passer du côté obscur de la Force.

    Enfin, seulement s’ils mettent à jour leurs pilotes Intel Smart Sound Technology !

    Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire de pilotes ? Eh bien figurez-vous que certaines versions des pilotes audio Intel SST provoquaient des écrans bleus de la mort sur Windows 11, rien que ça. Les pilotes fautifs, en version 10.29.0.5152 et 10.30.0.5152, étaient plus vicieux qu’un Gremlins mouillé après minuit.

    Mais tel un chevalier blanc sur son fier destrier, Intel est venu à la rescousse en sortant des versions corrigées des pilotes, estampillées 10.30.00.5714 et 10.29.00.5714 (et au-delà). Microsoft a évidemment mis un certain temps à lever son blocus, mais mieux vaut tard que jamais, n’est-ce pas ?

    Car oui, Microsoft est en pleine phase « open bar » en ce moment : tout le monde est invité à rejoindre la grande famille Windows 11. Même si parfois, ça implique de bloquer certaines apps tierces un peu trop curieuses ou de laisser tomber le support de fonctionnalités exotiques comme Windows Mixed Reality . Mais c’est le prix à payer pour profiter d’un OS moderne et innovant (ou pas) comme Windows 11 ^^.

    Pour mettre à jour vos pilotes et enfin accéder au Saint Graal qu’est Windows 11, rien de plus simple : passez par Windows Update ou allez directement sur le site d’Intel. Une fois vos pilotes à jour, attendez 48h (le temps que Microsoft réalise que vous existez) et voilà, vous pourrez enfin voir à quoi ressemble le menu Démarrer de Windows 11. Spoiler : c’est pareil que Windows 10.

    Mais attention, cette mise à jour ne concerne que les versions Desktop de Windows, à savoir :

    • Windows 11, version 23H2
    • Windows 11, version 22H2
    • Windows 11, version 21H2
    • Windows 10, version 22H2
    • Windows 10, version 21H2
    • Windows 10 Enterprise LTSC 2019

    Les versions Serveur ne sont pas impactées par ce problème. Pour les administrateurs IT qui gèrent des parcs informatiques, vous pouvez déployer les pilotes mis à jour en utilisant des outils tels que Windows Update for Business , Intune ou Autopatch .

    Et si jamais après deux jours, Windows refuse toujours obstinément de vous laisser passer à la caisse pour acheter votre billet pour Windows 11, contactez le support ! A l’ancienne 🙂

    Sur ce, je vous laisse, j’ai un pilote à mettre à jour.

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      Raspberry Robin – Le malware furtif qui esquive les antivirus

      news.movim.eu / Korben · Friday, 12 April - 21:26 · 2 minutes

    Voici une histoire qui va vous donner des sueurs froides dans le dos juste avant d’aller faire dodo ! Figurez-vous que Raspberry Robin , ce satané malware plus fourbe qu’un présentateur de C8, est de retour pour une nouvelle tournée de piratage en 2024 façon Taylor Swift. Les chercheurs en cybersécurité de chez HP Wolf Security ont repéré ses traces et croyez-moi, il a plus d’un tour dans son sac pour passer entre les mailles du filet !

    Ce petit malin utilise des fichiers WSF (Windows Script Files) bien planqués sur différents domaines et sous-domaines pour se faufiler incognito. Et le pire, c’est qu’il arrive à berner ses victimes pour qu’elles aillent d’elles-mêmes sur ces pages web piégées. Une fois que le fichier WSF est exécuté, bim ! Il télécharge son payload principal, un DLL bien vicieux qui peut être n’importe quoi : du SocGholish, du Cobalt Strike, de l’IcedID, du BumbleBee, du TrueBot ou même du ransomware.

    Mais avant de télécharger son précieux DLL, il va mener une série de reconnaissances pour vérifier s’il n’est pas en train de se faire piéger dans un environnement d’analyse ou une machine virtuelle. Et si jamais il détecte la présence d’un antivirus comme Avast, Avira, Bitdefender, Check Point, ESET ou Kaspersky, il se met direct en mode furtif et reste planqué.

    Et comme si ça suffisait pas, il est même capable de bidouiller les règles d’exclusion de Microsoft Defender pour être sûr de passer entre les gouttes. C’est vraiment le Solid Snake des malwares ! Les scripts qu’il utilise ne sont même pas reconnus comme malveillants par les scanneurs sur VirusTotal, c’est dire à quel point il est balèze en infiltration.

    Alors c’est sûr, avec Raspberry Robin dans la nature, faut être sur ses gardes. Ce malware est une vraie plaie depuis qu’il a été découvert en 2021. Au début, il se planquait sur des clés USB avec un fichier LNK qui pointait vers son payload hébergée sur un appareil QNAP compromis. Mais maintenant, il a évolué et il est devenu encore plus sournois.

    Bref, gaffe à vous… Assurez-vous d’avoir un bon antivirus à jour, ne cliquez pas n’importe où et méfiez-vous comme de la peste des clés USB inconnues qui traînent.

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      Porter .NET sur Windows 95 ? Défi technique relevé !

      news.movim.eu / Korben · Friday, 12 April - 08:45 · 1 minute

    Aujourd’hui, j’aimerai vous parler d’un truc qui va en faire rêver plus d’un parmi vous : Faire tourner des applis .NET modernes sur ce bon vieux Windows 95 ! Impossible vous dites ? Et bah non, figurez-vous qu’un développeur un peu barré a réussi cet exploit !

    Ce génie du code s’appelle Matt et il a même partagé son projet dingue sur GitHub . Son objectif était simple : Backporter .NET 2.0 à 3.5 sur Windows 95 . À la base, même le support de Windows XP n’était pas prévu pour ces versions de .NET , alors Windows 95 , n’en parlons pas !

    Mais ça n’a pas découragé notre bidouilleur qui s’est retroussé les manches. Déjà, il a fallu installer Internet Explorer 5.01 et le Microsoft USB Supplement sur une version de Windows 95 OSR 2 . Pas le choix, c’est nécessaire pour que .NET puisse fonctionner.

    Ensuite, le plus gros du boulot a consisté à implémenter toutes les APIs Windows manquantes que .NET utilise sur les versions plus récentes de l’OS. Un vrai travail de titan et Matt a dû recoder des trucs dans tous les sens, intercepter des appels système, bref, il a mis les mains dans le cambouis et vous savez quoi ?

    Ça marche !

    Bon, c’est sûr que tout n’est pas parfait, il y a encore quelques bugs et incompatibilités par ci par là, mais on peut déjà faire tourner pas mal d’applications .NET sur Windows 95 grâce à son projet. La classe non ?

    Franchement, chapeau bas. C’est ce genre de projets fous qui font qu’on kiffe toujours autant l’informatique. Bon par contre, je ne suis pas sûr que ce soit très utile dans la vraie vie, mais qu’importe, l’idée c’est de repousser les limites !

    Je vous laisse avec ses explications. C’est un vrai film, vous allez voir !

    En tout cas, si vous voulez vous amuser à installer des applis .NET sur votre Windows 95 (ou dans une VM hein, on n’est pas des sauvages), n’hésitez pas à tester son projet. Vous pourrez ensuite mettre ça sur votre profil Tinder et frimer en montrant à votre futures conquêtes une capture écran de Paint.NET qui tourne comme par magie sur votre vieux coucou ! (Je plaisante, NE FAITES PAS ÇA !!)

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