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      Windows 11 enfin accessible aux PC Rocket Lake après deux ans d’attente

      news.movim.eu / Korben · Monday, 15 April - 09:38 · 2 minutes

    Oyez, oyez, amis Windowsiens ! Réjouissez-vous, car Microsoft, dans son immense mansuétude, a enfin daigné lever le blocage qui empêchait certains d’entre vous de goûter aux joies de Windows 11 . Eh oui, après deux longues années d’attente, les possesseurs de processeurs Intel Rocket Lake peuvent désormais franchir le Rubicon et passer du côté obscur de la Force.

    Enfin, seulement s’ils mettent à jour leurs pilotes Intel Smart Sound Technology !

    Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire de pilotes ? Eh bien figurez-vous que certaines versions des pilotes audio Intel SST provoquaient des écrans bleus de la mort sur Windows 11, rien que ça. Les pilotes fautifs, en version 10.29.0.5152 et 10.30.0.5152, étaient plus vicieux qu’un Gremlins mouillé après minuit.

    Mais tel un chevalier blanc sur son fier destrier, Intel est venu à la rescousse en sortant des versions corrigées des pilotes, estampillées 10.30.00.5714 et 10.29.00.5714 (et au-delà). Microsoft a évidemment mis un certain temps à lever son blocus, mais mieux vaut tard que jamais, n’est-ce pas ?

    Car oui, Microsoft est en pleine phase « open bar » en ce moment : tout le monde est invité à rejoindre la grande famille Windows 11. Même si parfois, ça implique de bloquer certaines apps tierces un peu trop curieuses ou de laisser tomber le support de fonctionnalités exotiques comme Windows Mixed Reality . Mais c’est le prix à payer pour profiter d’un OS moderne et innovant (ou pas) comme Windows 11 ^^.

    Pour mettre à jour vos pilotes et enfin accéder au Saint Graal qu’est Windows 11, rien de plus simple : passez par Windows Update ou allez directement sur le site d’Intel. Une fois vos pilotes à jour, attendez 48h (le temps que Microsoft réalise que vous existez) et voilà, vous pourrez enfin voir à quoi ressemble le menu Démarrer de Windows 11. Spoiler : c’est pareil que Windows 10.

    Mais attention, cette mise à jour ne concerne que les versions Desktop de Windows, à savoir :

    • Windows 11, version 23H2
    • Windows 11, version 22H2
    • Windows 11, version 21H2
    • Windows 10, version 22H2
    • Windows 10, version 21H2
    • Windows 10 Enterprise LTSC 2019

    Les versions Serveur ne sont pas impactées par ce problème. Pour les administrateurs IT qui gèrent des parcs informatiques, vous pouvez déployer les pilotes mis à jour en utilisant des outils tels que Windows Update for Business , Intune ou Autopatch .

    Et si jamais après deux jours, Windows refuse toujours obstinément de vous laisser passer à la caisse pour acheter votre billet pour Windows 11, contactez le support ! A l’ancienne 🙂

    Sur ce, je vous laisse, j’ai un pilote à mettre à jour.

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      Raspberry Robin – Le malware furtif qui esquive les antivirus

      news.movim.eu / Korben · Friday, 12 April - 21:26 · 2 minutes

    Voici une histoire qui va vous donner des sueurs froides dans le dos juste avant d’aller faire dodo ! Figurez-vous que Raspberry Robin , ce satané malware plus fourbe qu’un présentateur de C8, est de retour pour une nouvelle tournée de piratage en 2024 façon Taylor Swift. Les chercheurs en cybersécurité de chez HP Wolf Security ont repéré ses traces et croyez-moi, il a plus d’un tour dans son sac pour passer entre les mailles du filet !

    Ce petit malin utilise des fichiers WSF (Windows Script Files) bien planqués sur différents domaines et sous-domaines pour se faufiler incognito. Et le pire, c’est qu’il arrive à berner ses victimes pour qu’elles aillent d’elles-mêmes sur ces pages web piégées. Une fois que le fichier WSF est exécuté, bim ! Il télécharge son payload principal, un DLL bien vicieux qui peut être n’importe quoi : du SocGholish, du Cobalt Strike, de l’IcedID, du BumbleBee, du TrueBot ou même du ransomware.

    Mais avant de télécharger son précieux DLL, il va mener une série de reconnaissances pour vérifier s’il n’est pas en train de se faire piéger dans un environnement d’analyse ou une machine virtuelle. Et si jamais il détecte la présence d’un antivirus comme Avast, Avira, Bitdefender, Check Point, ESET ou Kaspersky, il se met direct en mode furtif et reste planqué.

    Et comme si ça suffisait pas, il est même capable de bidouiller les règles d’exclusion de Microsoft Defender pour être sûr de passer entre les gouttes. C’est vraiment le Solid Snake des malwares ! Les scripts qu’il utilise ne sont même pas reconnus comme malveillants par les scanneurs sur VirusTotal, c’est dire à quel point il est balèze en infiltration.

    Alors c’est sûr, avec Raspberry Robin dans la nature, faut être sur ses gardes. Ce malware est une vraie plaie depuis qu’il a été découvert en 2021. Au début, il se planquait sur des clés USB avec un fichier LNK qui pointait vers son payload hébergée sur un appareil QNAP compromis. Mais maintenant, il a évolué et il est devenu encore plus sournois.

    Bref, gaffe à vous… Assurez-vous d’avoir un bon antivirus à jour, ne cliquez pas n’importe où et méfiez-vous comme de la peste des clés USB inconnues qui traînent.

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      Porter .NET sur Windows 95 ? Défi technique relevé !

      news.movim.eu / Korben · Friday, 12 April - 08:45 · 1 minute

    Aujourd’hui, j’aimerai vous parler d’un truc qui va en faire rêver plus d’un parmi vous : Faire tourner des applis .NET modernes sur ce bon vieux Windows 95 ! Impossible vous dites ? Et bah non, figurez-vous qu’un développeur un peu barré a réussi cet exploit !

    Ce génie du code s’appelle Matt et il a même partagé son projet dingue sur GitHub . Son objectif était simple : Backporter .NET 2.0 à 3.5 sur Windows 95 . À la base, même le support de Windows XP n’était pas prévu pour ces versions de .NET , alors Windows 95 , n’en parlons pas !

    Mais ça n’a pas découragé notre bidouilleur qui s’est retroussé les manches. Déjà, il a fallu installer Internet Explorer 5.01 et le Microsoft USB Supplement sur une version de Windows 95 OSR 2 . Pas le choix, c’est nécessaire pour que .NET puisse fonctionner.

    Ensuite, le plus gros du boulot a consisté à implémenter toutes les APIs Windows manquantes que .NET utilise sur les versions plus récentes de l’OS. Un vrai travail de titan et Matt a dû recoder des trucs dans tous les sens, intercepter des appels système, bref, il a mis les mains dans le cambouis et vous savez quoi ?

    Ça marche !

    Bon, c’est sûr que tout n’est pas parfait, il y a encore quelques bugs et incompatibilités par ci par là, mais on peut déjà faire tourner pas mal d’applications .NET sur Windows 95 grâce à son projet. La classe non ?

    Franchement, chapeau bas. C’est ce genre de projets fous qui font qu’on kiffe toujours autant l’informatique. Bon par contre, je ne suis pas sûr que ce soit très utile dans la vraie vie, mais qu’importe, l’idée c’est de repousser les limites !

    Je vous laisse avec ses explications. C’est un vrai film, vous allez voir !

    En tout cas, si vous voulez vous amuser à installer des applis .NET sur votre Windows 95 (ou dans une VM hein, on n’est pas des sauvages), n’hésitez pas à tester son projet. Vous pourrez ensuite mettre ça sur votre profil Tinder et frimer en montrant à votre futures conquêtes une capture écran de Paint.NET qui tourne comme par magie sur votre vieux coucou ! (Je plaisante, NE FAITES PAS ÇA !!)

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      Windows 11 – Les perfs sont décevantes, même sur les PC haut de gamme

      news.movim.eu / Korben · Thursday, 11 April - 14:17 · 2 minutes

    On pensait tous que Windows 11 allait révolutionner notre expérience sur PC, et dommage car malgré les promesses de Microsoft, celui-ci semble trainer des pieds, même sur des machines survitaminées. C’est en tout cas le constat amer que dresse Andy Young, un ancien ingénieur de la firme de Redmond, dans une publication sur Twitter.

    Le mec a un PC doté d’un processeur Intel Core i9 à 1600 dollars et de pas moins de 128 Go de RAM. Une bête de course taillée pour avaler les tâches les plus gourmandes sans sourciller. Et pourtant, lorsqu’il lance le menu Démarrer de Windows 11, c’est la douche froide. Les icônes peinent à s’afficher, les clics se perdent dans les limbes, bref, c’est le grand n’importe quoi.

    « Les performances sont comiquement mauvaises, mais que se passe-t-il à Redmond ? «

    Car oui, Andy Young n’est pas n’importe qui. Pendant 13 ans, il a travaillé chez Microsoft en tant qu’ingénieur logiciel senior. Il a participé au développement de Windows et connait les subtilités du système comme sa poche. Alors quand il voit son bébé patauger de la sorte, ça lui fait mal au cœur.

    « J’aime Windows, mais là, si les données suggèrent que le logiciel que vous avez construit frustre un pourcentage significatif d’utilisateurs, c’est qu’il y a encore du pain sur la planche. «

    Les réactions à son tweet ne se sont pas fait attendre. De nombreux utilisateurs ont partagé leur déception et leur agacement face aux performances en demi-teinte de Windows 11, y compris sur des configurations musclées. Lenteurs au démarrage, latence dans l’affichage des fenêtres, bugs en tout genre… Les plaintes sont légion.

    Alors, Windows 11 serait-il tout simplement un bide intersidéral ?

    Peut-être pas, mais force est de constater que l’ expérience utilisateur est loin d’être optimale, et ce malgré les mises à jour régulières déployées par Microsoft. La prochaine version du système, au nom de code Sun Valley 3 , arrivera-t-elle à redresser la barre ?

    On verra bien, mais en attendant, les utilisateurs les plus exigeants lorgnent de plus en plus du côté d’Apple et surtout de Linux et de ses distributions légères et rapide.

    En tout cas, si Windows 11 semble un peu pataud, sachez qu’il existe de nombreuses astuces pour lui redonner du peps. Par exemple, désactivez les effets visuels inutiles, faire le ménage dans vos programmes lancés au démarrage, optimiser la base de registres… Bref, un peu de tuning bien senti peut faire des miracles. Et si vraiment rien n’y fait, vous pourrez toujours revenir à ce bon vieux Windows 10 en attendant des jours meilleurs.

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      German state gov. ditching Windows for Linux, 30K workers migrating

      news.movim.eu / ArsTechnica · Friday, 5 April - 19:03

    many penguins

    Enlarge (credit: Getty )

    Schleswig-Holstein, one of Germany’s 16 states, on Wednesday confirmed plans to move tens of thousands of systems from Microsoft Windows to Linux. The announcement follows previously established plans to migrate the state government off Microsoft Office in favor of open source LibreOffice.

    As spotted by The Document Foundation , the government has apparently finished its pilot run of LibreOffice and is now announcing plans to expand to more open source offerings.

    In 2021, the state government announced plans to move 25,000 computers to LibreOffice by 2026. At the time, Schleswig-Holstein said it had already been testing LibreOffice for two years.

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      Comment mettre un accent à une lettre majuscule À, É, È, Ç, Î, Ô, Û… pour Windows

      news.movim.eu / Numerama · Friday, 5 April - 16:27

    clavier touche

    Comment faire un à ou un é majuscule ? Des solutions existent, comme les raccourcis clavier pour ajouter des accents sur des lettres. Voici 5 astuces pour Windows pour mettre des accents sur une majuscule et ne plus peiner à écrire un « é maj ».

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      Pour garder un Windows 10 sécurisé, il va falloir payer

      news.movim.eu / Numerama · Thursday, 4 April - 08:22

    take my money

    La mise à jour de Windows 10 cessera définitivement à la mi-octobre 2025. Cependant, Microsoft a présenté début avril 2024 un programme payant pour les organisations qui ne seront pas en mesure de migrer vers Windows 11 d'ici là. Ce programme ne durera pas éternellement.

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      Copilot key is based on a button you probably haven’t seen since IBM’s Model M

      news.movim.eu / ArsTechnica · Wednesday, 3 April - 19:56 · 1 minute

    A Dell XPS 14 laptop with a Copilot key.

    Enlarge / A Dell XPS 14 laptop. The Copilot key is to the right of the right-Alt button. (credit: Dell )

    In January, Microsoft introduced a new key to Windows PC keyboards for the first time in 30 years. The Copilot key , dedicated to launching Microsoft's eponymous generative AI assistant, is already on some Windows laptops released this year. On Monday, Tom’s Hardware dug into the new addition and determined exactly what pressing the button does, which is actually pretty simple. Pushing a computer's integrated Copilot button is like pressing left-Shift + Windows key + F23 simultaneously.

    Tom's Hardware confirmed this after wondering if the Copilot key introduced a new scan code to Windows or if it worked differently. Using the scripting program AuthoHotkey with a new laptop with a Copilot button, Tom's Hardware discovered the keystrokes registered when a user presses the Copilot key. The publication confirmed with Dell that “this key assignment is standard for the Copilot key and done at Microsoft's direction.”

    F23

    Surprising to see in that string of keys is F23. Having a computer keyboard with a function row or rows that take you from F1 all the way to F23 is quite rare today. When I try to imagine a keyboard that comes with an F23 button, vintage keyboards come to mind, more specifically buckling spring keyboards from IBM.

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